KieferFanForum Everything about Kiefer Sutherland |
|
| JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives | |
| | |
EST CE QUE VOUS LISEZ CETTE HISTOIRE ? | Pas du tout.. | | 17% | [ 2 ] | Oui et j'aime beaucoup.. | | 75% | [ 9 ] | Oui et ce n'est franchement pas terrible | | 0% | [ 0 ] | Ah non ! Mais qu est ce que c'est que ça ?? | | 8% | [ 1 ] |
| Total des votes : 12 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Lun 23 Oct - 8:29 | |
| A cet instant, il ne sentit plus aucun obstacle entre lui et la femme qu'il aimait..Même si elle était éloignée géographiquement, elle était si proche de lui !! Il eut l'impression que la vie allait être facile pour eux maintenant. Il avait tort, la vie n'est jamais facile...pour personne !
Il l'apprit le lendemain en écoutant les infos ; Assouan avait fait l'objet d'une attaque terrosriste islamiste , ils étaient entré sur le site, avaient abattu une cinquantaine de touriste de différentes nationalités, prit en otage des dizaines d'autres... Il mit quelques secondes avant d'assimiler la nouvelle puis il sauta sur son téléphone pour appeler l'hôtel de Lois mais la ligne était coupée.. Il remit les infos, la journaliste confirmait que des américains faisaient parti des victimes et/ou des otages, elle donnait un n° pour obtenir des informations qu'il composa immédiatement...Celui ci sonnait occupé en permanence ! Il allait devenir dingue !! Son mobile se mît à sonner. SARAH : tu as écouté les infos ? KIEFER : Oui et je n'arrive à joindre personne pour avoir plus d'infos ! Tu sais où ils allaient aujourd hui ? SARAH en pleurs : Non ! Je sais juste qu'ils étaient à Assouan. Papa, j'ai si peur pour eux ! KIEFER était lui aussi totalement paniqué mais il se devait d'être fort pour sa fille : Ok calme toi tu veux.. On ne sait même pas où ils sont ! Et puis, Ils peuvent se débrouiller, ils connaissent la langue. SARAH : Je t'en prie ! Tu sais qu'ils risquent encore plus que les autres aux yeux de ces fous !! KIEFER : Ecoute, ma puce, j’arrive tout de suite. Ne t’en fais pas… Ça va aller…
Il essayait de se montrer rassurant mais il était lui-même très inquiet… il ne supporterait pas de perdre Lois, il le savait… pas après tout ce qu’ils avaient endurés… Il retrouva Sarah et Kiefer essaya de nouveau d’appeler le numéro qu’il avait eu aux infos mais sans succès. L’attente fut interminable, elle dura des heures puis soudain, son téléphone sonna… C’était Emad, sa voix était presque inaudible et il paraissait paniqué. - Je n’ai pas pu vous joindre plus tôt, c’est l’enfer ici…rassure Sarah, je vais bien et Selma aussi. Par contre… les terroristes ont fait parvenir une bande à la TV ici et ils ont montré tous leurs otages… maman était parmi eux… Elle n’était pas avec nous quand l’attaque a eu lieu… Je suis très inquiet pour elle !! Je ne sais pas quoi faire… Kiefer ne put dire un mot, il cru que son cœur allait s’arrêter, il était blême… il lacha le téléphone et Sarah le récupéra, elle parla longuement avec Emad.
SARAH lui prenant la main : Elle est vivante ! Tu ne dois penser à rien d'autre. KIEFER sous le choc : Quand est ce qu'EMAD revient ? SARAH : Je ne sais pas ! Ils attendent de voir le consul français mais je ne crois pas qu'ils rentreront sans elle. KIEFER perdu : Si elle revient.. SARAH determinée : Il faut que tu reste positif ! Je vais rappeler le N° d'Urgences pour savoir ce qu'on doit faire. KIEFER : Eh bébé ! Ne leur dit pas qui elle est, si ces malades apprennent avec qui elle est mariée, j'ai peur pour elle.
Sarah ascquiesa et se dirigea vers le bureau pour le laisser seul. Il s'assit sur le canapé, il était proche du malaise ! Comment avait il ete assez bête pour la laisser partir là bas toute seule ! Les images défilaient à la télévision, aux dernières nouvelles 52 américains faisaient parti des 129 otages, autant dire que cette nouvelle était relayée dans tous le pays ! Il craignait la réaction du gouvernenement U.S., il savait que jamais celui ci n'accepterait jamais un quelconque chantage..
Il était complètement perdu et ça le rendait fou de se sentir aussi impuissant… Bon dieu! Il fallait qu’elle s’en sorte… ça ne pouvait pas finir comme ça… il fallait faire quelque chose mais quoi ?… Pour la première fois de sa vie, il était complètement désemparé. Il alla chercher Eliott et le serra très fort dans ses bras… Les larmes lui coulaient sur les joues… On sonna à la porte, c’était Jude.
KIEFER se ressaisissant : Salut mec, qu est ce que tu fous à NYC ? JUDE : Ah ton avis ! Tu as des nouvelles ? KIEFER soupirant : Non rien, personne ne sait rien ! Emad a appelé, il était à l'hôtel avec sa soeur pendant l'attaque donc eux vont bien. Il sait que Lois fait parti des otages mais c'est tout. Personne ne sait ce que ces gars veulent, je ne sais même pas si elle est encore vivante.. D'ailleurs comment tu as fait pour être ici si vite ? Qui t'en a parlé ? JUDE : J'ai juste essayé de t'appeler ce matin sur ton tournage et c'est le réalisateur qui m'a appris la nouvelle..J'ai sauté dans le 1er vol ! Qu est ce que tu veux que je fasse ? SARAH entrant dans la pièce : Eh Jude, c'est bon de te voir. KIEFER interrompant leurs embrassades : Alors qu est ce qu'ils t ont dit ? SARAH penaude : Ils m'ont dit que Lois n'était pas américaine donc il va falloir que j'appelle les autorités françaises ! JUDE : Ok Ok, je vais m'occuper de ça ! Sarah appelle la nounou des petits, inutile qu'ils restent ici aujourd hui.
Kiefer se rassit devant la télévision, seule source d'information dans l'immédiat.
Jude alla passer quelques coups de téléphone et Sarah, après avoir contacté la nounou, vint s’asseoir auprès de son père et lui prit la main dans les siennes… SARAH : Tu dois garder espoir papa… tu sais bien que Lois n’aimerait pas te voir comme ça. Tu ne dois pas te laisser aller au moins pour Eliott, tu sais, malgré son jeune âge il se rend bien compte de tout ce que tu ressens, tu dois te montrer fort pour lui. KIEFER la voix enrouée : Je sais que tu as raison ma puce… je vais essayer… Il la prit dans ses bras et ils restèrent comme ça un bon moment… Jude revint au bout d’un certain temps… JUDE : J’ai pu avoir l’ambassade de France, ils m’ont dit que le Ministre des Affaires Etrangères était déjà en route pour essayer de parlementer avec les preneurs d’otages. Tu sais, c’est peut-être une bonne chose pour Lois d’être ressortissante française… le gouvernement US est loin d’être le meilleur pour ce genre de situation et je pense que les otages américains ont plus à craindre que les autres KIEFER : Sans doute, sans doute..
Elle avait chaud, ils étaient là depuis des heures, sur la terrasse du temple de Seth, sans eau et en plein soleil.. Elle était habituée à ce genre de régime mais pas ses compagnes d'infortune ! Ca lui permettait de garder un minimum les idées claires et elle devait bien être la seule dans ce cas là !! Ils l'avaient mise avec les autres femmes, les hommes ayant été chargé d'enterrer ceux qu'ils avaient abattu en entrant sur le site comme des forcenés la veille ! La terrasse du temple était à 3 m du sol, elle pouvait donc voir leurs va et vient ; Ils étaient nombreux et vraisemblablement sans aucun scrupule ! Elle n'avait pour l'instant pas communiqué avec les autres femmes, elles étaient environ 70 plus qqs enfants de toutes nationalités.. Elle hésitait à parler à ses geoliers en arabe car elle ne savait pas comment ils allaient le prendre, il n'y avait malheureusement aucune logique avec ces tarés ! Une des petites filles s'évanouit, Lois n'y tenant plus se leva et se dirigea vers l'homme armé qui les surveillait. Elle s'exprima en arabe en gardant bien la tête baissée en signe d'humilité et de respect LOIS : S'il vous plaît, nous avons besoin d'eau, les enfants ne pourront pas survivre sans. L'homme armée prent le visage de Lois et la pousse par terre avec un sourire moqueur, elle se congne la tête sur un mûret non loin d'elle, elle perdit connaîssance. Pendant ce temps Kiefer n'avait plus le contrôle de rien, il n'était pas capable de rester en place, il avait juste le goût d'aller la rejoindre et lui tenir compagnie, ll ne savait même pas si elle était vivante, son attacher de presse, son gérant, même Rocco, l'appelait sur son portable, mais il n'avait pas le goût de parler à personne, il voulait juste avoir des nouvelles. Sarah lui apporta un café. SARAH: Tiens papa, prend ça, ça va te faire du bien, il faut que tu penses positif, elle est sûrement en vie et tu sais comment elle a un fort carractère et comment elle se débrouille, elle connaît ce coin de pays comme les doigts de sa main, elle va sûrement racontrer quelqu'un qu'elle connaît, elle va s'en sortir. KIEFER: Justement, elle a trop de caractère, c'est ce qui me fait peur...
Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur ! |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Lun 23 Oct - 22:46 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : ... je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Lun 23 Oct - 23:49 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 0:15 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 0:34 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ! FEMME : Eh ! Où tu vas ?! LOIS lui attrapant la gorge : Ecoute ma jolie, je n'hésiterai pas une seconde entre la liberté et te cogner alors ferme là ! La femme se raidit et se tût immédiatement. LOIS : Comment tu t'appelles ? FEMME : Elisabeth. LOIS : Ok Elisabeth, alors on va sortir d'ici toutes les deux et une fois dehors, je pourrai aider les militaires à s'infiltrer ici par ces mêmes passages, ils pourront ainsi délivrer les otages. Je suis votre meilleure chance à toi et ton mari, tu me suis ? ELISABETH dans un soufle : Oui !
Elles crapahutèrent sous terre pendant des heures, crevant de soif et de peur car après 18 ans, Lois était un peu rouillée sur les hiéroglyphes ! Avec la seule lueur d'un briquet, elles se dirigèrent vers la sortie de Karnac dont Mani était si amoureux ! Elles débouchèrent dans la ville d'Assouan, juste derrière les forces armées en faction de vant le site. Lois interpella les militaires en arabe et très vite ceux ci allèrent chercher la délégation française, elle put enfin boire et pleurer.... |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 0:48 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ! FEMME : Eh ! Où tu vas ?! LOIS lui attrapant la gorge : Ecoute ma jolie, je n'hésiterai pas une seconde entre la liberté et te cogner alors ferme là ! La femme se raidit et se tût immédiatement. LOIS : Comment tu t'appelles ? FEMME : Elisabeth. LOIS : Ok Elisabeth, alors on va sortir d'ici toutes les deux et une fois dehors, je pourrai aider les militaires à s'infiltrer ici par ces mêmes passages, ils pourront ainsi délivrer les otages. Je suis votre meilleure chance à toi et ton mari, tu me suis ? ELISABETH dans un soufle : Oui !
Elles crapahutèrent sous terre pendant des heures, crevant de soif et de peur car après 18 ans, Lois était un peu rouillée sur les hiéroglyphes ! Avec la seule lueur d'un briquet, elles se dirigèrent vers la sortie de Karnac dont Mani était si amoureux ! Elles débouchèrent dans la ville d'Assouan, juste derrière les forces armées en faction de vant le site. Lois interpella les militaires en arabe et très vite ceux ci allèrent chercher la délégation française, elle put enfin boire et pleurer.... Quand elle reprit ses esprits et se retourna pour savoir comment elle allait, Lois ne trouva pas Elisabeth, elle s'était volatilisée. Elle demanda aux militaires s'ils avaient vu quelque chose ou quelqu'un s'éloigner ... mais rien, ils ne la prirent même pas au sérieux : elle était en état de choc ... Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais ...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 1:02 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ! FEMME : Eh ! Où tu vas ?! LOIS lui attrapant la gorge : Ecoute ma jolie, je n'hésiterai pas une seconde entre la liberté et te cogner alors ferme là ! La femme se raidit et se tût immédiatement. LOIS : Comment tu t'appelles ? FEMME : Elisabeth. LOIS : Ok Elisabeth, alors on va sortir d'ici toutes les deux et une fois dehors, je pourrai aider les militaires à s'infiltrer ici par ces mêmes passages, ils pourront ainsi délivrer les otages. Je suis votre meilleure chance à toi et ton mari, tu me suis ? ELISABETH dans un soufle : Oui !
Elles crapahutèrent sous terre pendant des heures, crevant de soif et de peur car après 18 ans, Lois était un peu rouillée sur les hiéroglyphes ! Avec la seule lueur d'un briquet, elles se dirigèrent vers la sortie de Karnac dont Mani était si amoureux ! Elles débouchèrent dans la ville d'Assouan, juste derrière les forces armées en faction de vant le site. Lois interpella les militaires en arabe et très vite ceux ci allèrent chercher la délégation française, elle put enfin boire et pleurer.
Quand elle reprit ses esprits et se retourna pour savoir comment elle allait, Lois ne trouva pas Elisabeth, elle s'était volatilisée. Elle demanda aux militaires s'ils avaient vu quelque chose ou quelqu'un s'éloigner ... mais rien, ils ne la prirent même pas au sérieux : elle était en état de choc ...
Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?! HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 1:21 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ! FEMME : Eh ! Où tu vas ?! LOIS lui attrapant la gorge : Ecoute ma jolie, je n'hésiterai pas une seconde entre la liberté et te cogner alors ferme là ! La femme se raidit et se tût immédiatement. LOIS : Comment tu t'appelles ? FEMME : Elisabeth. LOIS : Ok Elisabeth, alors on va sortir d'ici toutes les deux et une fois dehors, je pourrai aider les militaires à s'infiltrer ici par ces mêmes passages, ils pourront ainsi délivrer les otages. Je suis votre meilleure chance à toi et ton mari, tu me suis ? ELISABETH dans un soufle : Oui !
Elles crapahutèrent sous terre pendant des heures, crevant de soif et de peur car après 18 ans, Lois était un peu rouillée sur les hiéroglyphes ! Avec la seule lueur d'un briquet, elles se dirigèrent vers la sortie de Karnac dont Mani était si amoureux ! Elles débouchèrent dans la ville d'Assouan, juste derrière les forces armées en faction de vant le site. Lois interpella les militaires en arabe et très vite ceux ci allèrent chercher la délégation française, elle put enfin boire et pleurer.
Quand elle reprit ses esprits et se retourna pour savoir comment elle allait, Lois ne trouva pas Elisabeth, elle s'était volatilisée. Elle demanda aux militaires s'ils avaient vu quelque chose ou quelqu'un s'éloigner ... mais rien, ils ne la prirent même pas au sérieux : elle était en état de choc ...
Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?! HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit ...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 8:31 | |
| Lois repris ses esprits quelque temps après. Elle ne savait trop où elle était rendu, elle n'était pas à la même place que tout à l'heure. Là, c'était plus tranquille et il y a quelqu'un qui s'occuppait d'elle, elle s'était fendu la tête mais il ne l'avait pas laisser pour morte, elle trouvait ça étrange. Une personne s'approche de Lois, c'était un homme étranger mais pas arable, il ne fesait pas partie des otages. Homme étranger: Bonjour madame Lois. LOIS en se tenant la tête: Qui êtes -vous? Qu'est-ce que je fais ici? Homme étranger : Calmez vous, je suis un des médecins qu'ils ont autorisé à entrer sur le site. LOIS : Un médecin ?! Depuis quand les terroristes soignent leurs victimes ! MEDECIN souriant : Depuis qu'ils espèrent en tirer un paquet d'argent je suppose.. Ok Vous avez la tête dure ! Essayez de vous tenir tranquille et vous n'aurez pas problème. LOIS : Pas de problème ! Vous êtes un rigolo vous ! MEDECIN : Vous êtes américaine ? LOIS suspicieuse : Non, française. MEDECIN : Et qu'est ce qu'une belle femme comme vous fait tout de seule en Egypte ? LOIS de plus en plus troublé par l'attitude de ce gars : Je suis une simple touriste, juste une touriste.. Vous avez vu les autres otages ? Comment vont ils ? MEDECIN : je n'ai été autorisé qu'à voir les femmes en haut du temple et vous. Depuis qu'elles ont été réhydratées et que le soleil s'est couché, elles vont beaucoup mieux. LOIS : Que pouvez vous me dire sur l'extérieur ? MEDECIN : Pas grand chose malheureusement ! Je reviendrai vous voir, je crois qu'ils vont vous ramener avec les autres maintenant. Essayez de faire attention à votre tête !
Elle le regarda partir, ce type ne l'inspirait pas du tout. Un type vint effectivement la chercher pour la ramener sans ménagement avec les autres femmes. La nuit évitait la brûlure du soleil mais il faisait encore très chaud. Au moins, avaient elles à boire et à manger. FEMME à l'attention de Lois : Nous avions peur pour toi, nous avons cru qu'il t'avait tuée ce malade. LOIS avec un petit sourire: Il m'a juste refilé une migraine atroce ! Enfin le médecin m'a donné un antalgique, ça devrait aller mieux. FEMME : Tu as un accent européen, d'où viens tu ? LOIS : Paris FEMME avec un sourire triste : Ah la France ! On a longuement hésité avec l'Egypte avant d'opter pour cette dernière avec mon mari. Si on avait su !! LOIS : Ou est il ? FEMME : La dernière fois qu'on s'est vu c'est qu'ils ont séparé hommes et femmes. LOIS lui prenant la main : J'ai vu des caméramen en revenant, vous avez été filmé ? FEMME : Oh oui une par une ! Il fallait dire son nom, sa nationalité, combien son pays était vilain et à quel point on voulait rentrer ! Une belle séance d'humiliation publique ! LOIS réfléchissant à toute vitesse : Merde ! Mon mari va être fou d'inquiétude s'il ne me voit pas sur cette vidéo ! FEMME : Il est resté en France ? LOIS préférant mentir : Il est resté chez nous, il avait un boulot super important !! FEMME : J'ai toujours dit que le travail était salvateur !
Oubliant le danger qui l'entourait, Lois était complètement obnubilée par le fait que Kiefer ne comprendrait pas de ne pas l'avoir vu ... ou plutôt comprendrait trop bien ....
Pendant ce temps, Kiefer passait tous les coups de fil qu'il pouvait à des gens influant voire à des personnes sans importance ... il ne savait plus trop ce qu'il faisait ... sa vie venait de chavirer quand le dernier coup de fil qu'il reçut l'acheva : MARC : Allo ? ... c'est Marc ... tu tiens le coup ? KIEFER : A ton avis ? MARC : Je viens de voir les revendications terroristes à la télévison française ... Ils ont fait défiler toutes les ressortissantes française une par une devant une caméra avant de réclamer la libération de je ne sais quel groupuscule soufiste ... Lois n'était pas parmi elles ... tu sais si elle est avec les américaines ? KIEFER desemparé : Non non, les autorités françaises nouns ont confirmé sa présence il y a quelques heures ! Merde je ne comprend plus rien ! Qu est ce qu ils ont dit d'autre ? Il y a eu d'autres images !? MARC resta muet. KIEFER : Marc ! Qu est ce qui se passe ?! MARC : Ils vont abattre un otage toutes les heures, le 01er a été déjà exécuté mais on ne sait rien sur lui. Kiefer racroccha et sortit dans le jardin ; Il avait envie d'être dans sa maison sur la mer à L.A., il avait envie d'être avec Lois. Si elle revenait, ils se marieraient devant leurs familles et tous leurs amis, plus jamais, il ne la laissera seule à cause de son travail, plus jamais !
Tout le monde sursauta au coup de feu ! Il déchira la nuit puis tous les terroristes chantèrent et écoutèrent les invectives de leur chef ! Les otages étaient terrorisés car ils ne comprenaient pas, Lois, elle, avait compris ce qui venait de se passer et elle était encore plus apeurée !! Si elle restait ici, elle allait mourir, elle le savait, les autres aussi le savait. MAIs elle avait un énorme avantage sur les autres, c'est qu'elle avait travaillé sur ce site il y 18 ans avec le meilleur archéologue de sa génération et, il lui avait montré tous les passages secrets et elle comptait bien utiliser ses connaissances. Seulement, elle n'arrivait pas à se résoudre de partir seule, en laissant tous ces gens derrière elle. Pourtant, elle ne pourrait pas tous les sauver. Mais qui était elle pour choisir ? Puis soudain l'image de son fils lui emplit le regard : ELIOT ! ... il marchait ... elle avait eu Kiefer au téléphone la veille et son petit bonhomme commençait à voler de ses propres ailes ... cette idée lui serra les entrailles ... égoïstement elle devait s'en sortir pour lui ... elle s'engouffra dans la première cavité qu'elle rencontra au dela de la pièce dans laquelle elles étaient séquestrées ... Elle ne voyait rien mais elle continuait d'avancer, si elle voulait vivre elle devait continuer ... tout à coup une main lui attrapa la cheville ! FEMME : Eh ! Où tu vas ?! LOIS lui attrapant la gorge : Ecoute ma jolie, je n'hésiterai pas une seconde entre la liberté et te cogner alors ferme là ! La femme se raidit et se tût immédiatement. LOIS : Comment tu t'appelles ? FEMME : Elisabeth. LOIS : Ok Elisabeth, alors on va sortir d'ici toutes les deux et une fois dehors, je pourrai aider les militaires à s'infiltrer ici par ces mêmes passages, ils pourront ainsi délivrer les otages. Je suis votre meilleure chance à toi et ton mari, tu me suis ? ELISABETH dans un soufle : Oui !
Elles crapahutèrent sous terre pendant des heures, crevant de soif et de peur car après 18 ans, Lois était un peu rouillée sur les hiéroglyphes ! Avec la seule lueur d'un briquet, elles se dirigèrent vers la sortie de Karnac dont Mani était si amoureux ! Elles débouchèrent dans la ville d'Assouan, juste derrière les forces armées en faction de vant le site. Lois interpella les militaires en arabe et très vite ceux ci allèrent chercher la délégation française, elle put enfin boire et pleurer.
Quand elle reprit ses esprits et se retourna pour savoir comment elle allait, Lois ne trouva pas Elisabeth, elle s'était volatilisée. Elle demanda aux militaires s'ils avaient vu quelque chose ou quelqu'un s'éloigner ... mais rien, ils ne la prirent même pas au sérieux : elle était en état de choc ...
Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?! HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite ! |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 10:49 | |
| Super Elisa... Dis moi, tu es réglée comme une horloge... tous les matins à 7h30, on a le droit à la suite de notre histoire préférée... c'est la nuit qui t'inspire comme ça ? En tout les cas , c'est un réel bonheur quand on se lève le matin de savoir qu'on va pouvoir se plonger dans la vie romancée de Kiefer... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 20:47 | |
| - Jack a écrit:
Dis moi, tu es réglée comme une horloge... tous les matins à 7h30, on a le droit à la suite de notre histoire préférée... c'est la nuit qui t'inspire comme ça ? A vrai dire, je pourrai écrire toute la journée, je me limite à 1 fois le matin et 1 fois le soir, histoire de ne pas monopoliser l'histoire ! Enfin j'essaie... |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 21:20 | |
| Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?! HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite !
L'homme ne faisait plus le malin, Kiefer lui avait révèlé ce qu'il avait de plus noir en lui ... il obtempéra sans discuter. Ils sautèrent dans un véhicule venu d'un autre âge, un auverland, espèce de Jeep made in france, Kiefer se demanda s'ils n'auraient pas mieux fait d'y aller à pied mais le temps pressait et ses pensées étaient bien au-delà de ces considérations. Ils se dirigèrent vers les éclats de lumières au loin, vers les fusillades ... l'armée française avait donné l'assault ...
Dans son tunnel, Lois jouait les éclaireuses, un groupe d'intervention derrière elle. Elle était convaincue qu'aider tous ces gens était ce qu'elle devait faire, elle n'avait jamais eu aucun doute sur le sujet ... pourtant elle aurait donné n'importe quoi pour avoir au moins pu parler à Kiefer avant ... Le radio l'approcha et lui tendit un téléphone satellite ... la réception était mauvaise à travers toutes ces vieilles pierres ... : Homme : Madame Sutherland, Lieutenant caporal Fournier, j'ai votre mari à côté de moi ... Kiefer : Allo, bébé ? comment tu vas mon ange ? Lois : Oh bien ! c'est bon de t'entendre Kiefer : j'ai eu si peur ... j'ai si peur ... Une déflagration assourdissante coupa nette la conversation ...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 23:17 | |
| Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?!
HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite ! L'homme ne faisait plus le malin, Kiefer lui avait révèlé ce qu'il avait de plus noir en lui ... il obtempéra sans discuter. Ils sautèrent dans un véhicule venu d'un autre âge, un auverland, espèce de Jeep made in france, Kiefer se demanda s'ils n'auraient pas mieux fait d'y aller à pied mais le temps pressait et ses pensées étaient bien au-delà de ces considérations. Ils se dirigèrent vers les éclats de lumières au loin, vers les fusillades ... l'armée française avait donné l'assault ...
Dans son tunnel, Lois jouait les éclaireuses, un groupe d'intervention derrière elle. Elle était convaincue qu'aider tous ces gens était ce qu'elle devait faire, elle n'avait jamais eu aucun doute sur le sujet ... pourtant elle aurait donné n'importe quoi pour avoir au moins pu parler à Kiefer avant ... Le radio l'approcha et lui tendit un téléphone satellite ... la réception était mauvaise à travers toutes ces vieilles pierres ... : HOMME : Madame Sutherland, Lieutenant caporal Fournier, j'ai votre mari à côté de moi KIEFER : Allo, bébé ? comment tu vas mon ange ? LOIS : Oh bien ! c'est bon de t'entendre KIEFER : j'ai eu si peur ... j'ai si peur ... Une déflagration assourdissante coupa nette la conversation ...
KIEFER hurlant : Qu est ce qui se passe ?! LT FOURNIER : Je ne sais pas, attendons qqs instants, je ne veux pas perturber l'équipe avec cet appel. KIEFER : Attendre ! Ils sont où ? LT FOURNIER hurlant : Vous commencez à m'emmerder ! J'ai 34 hommes là bas et j'espère qu'ils vont tous rentrer vivants maintenant vous posez votre cul ici et vous faîtes comme moi ; VOUS ATTENDEZ ! Et je vous préviens, je suis plus fort que vous alors n'essayez même pas de bouger une oreille.. KIEFER le regarda sans rien dire, puis sortit une clope et l'alluma en faisant les 100 pas dehors ! Le lieutenant se rapprocha de lui. LT FOURNIER : Désolée mon vieux, c'est une civile, mes gars ont eu pour instructions de prendre bien soin d'elle. Elle en a dans le pantalon pour une femme ! KIEFER : Ouais, ça tu peux le dire !
La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément.
|
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 24 Oct - 23:57 | |
| Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?!
HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite ! L'homme ne faisait plus le malin, Kiefer lui avait révèlé ce qu'il avait de plus noir en lui ... il obtempéra sans discuter. Ils sautèrent dans un véhicule venu d'un autre âge, un auverland, espèce de Jeep made in france, Kiefer se demanda s'ils n'auraient pas mieux fait d'y aller à pied mais le temps pressait et ses pensées étaient bien au-delà de ces considérations. Ils se dirigèrent vers les éclats de lumières au loin, vers les fusillades ... l'armée française avait donné l'assault ...
Dans son tunnel, Lois jouait les éclaireuses, un groupe d'intervention derrière elle. Elle était convaincue qu'aider tous ces gens était ce qu'elle devait faire, elle n'avait jamais eu aucun doute sur le sujet ... pourtant elle aurait donné n'importe quoi pour avoir au moins pu parler à Kiefer avant ... Le radio l'approcha et lui tendit un téléphone satellite ... la réception était mauvaise à travers toutes ces vieilles pierres ... : HOMME : Madame Sutherland, Lieutenant caporal Fournier, j'ai votre mari à côté de moi KIEFER : Allo, bébé ? comment tu vas mon ange ? LOIS : Oh bien ! c'est bon de t'entendre KIEFER : j'ai eu si peur ... j'ai si peur ... Une déflagration assourdissante coupa nette la conversation ...
KIEFER hurlant : Qu est ce qui se passe ?! LT FOURNIER : Je ne sais pas, attendons qqs instants, je ne veux pas perturber l'équipe avec cet appel. KIEFER : Attendre ! Ils sont où ? LT FOURNIER hurlant : Vous commencez à m'emmerder ! J'ai 34 hommes là bas et j'espère qu'ils vont tous rentrer vivants maintenant vous posez votre cul ici et vous faîtes comme moi ; VOUS ATTENDEZ ! Et je vous préviens, je suis plus fort que vous alors n'essayez même pas de bouger une oreille.. KIEFER le regarda sans rien dire, puis sortit une clope et l'alluma en faisant les 100 pas dehors ! Le lieutenant se rapprocha de lui. LT FOURNIER : Désolée mon vieux, c'est une civile, mes gars ont eu pour instructions de prendre bien soin d'elle. Elle en a dans le pantalon pour une femme ! KIEFER : Ouais, ça tu peux le dire !
La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément, il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre ...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 25 Oct - 7:43 | |
| Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?!
HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite ! L'homme ne faisait plus le malin, Kiefer lui avait révèlé ce qu'il avait de plus noir en lui ... il obtempéra sans discuter. Ils sautèrent dans un véhicule venu d'un autre âge, un auverland, espèce de Jeep made in france, Kiefer se demanda s'ils n'auraient pas mieux fait d'y aller à pied mais le temps pressait et ses pensées étaient bien au-delà de ces considérations. Ils se dirigèrent vers les éclats de lumières au loin, vers les fusillades ... l'armée française avait donné l'assault ...
Dans son tunnel, Lois jouait les éclaireuses, un groupe d'intervention derrière elle. Elle était convaincue qu'aider tous ces gens était ce qu'elle devait faire, elle n'avait jamais eu aucun doute sur le sujet ... pourtant elle aurait donné n'importe quoi pour avoir au moins pu parler à Kiefer avant ... Le radio l'approcha et lui tendit un téléphone satellite ... la réception était mauvaise à travers toutes ces vieilles pierres ... : HOMME : Madame Sutherland, Lieutenant caporal Fournier, j'ai votre mari à côté de moi KIEFER : Allo, bébé ? comment tu vas mon ange ? LOIS : Oh bien ! c'est bon de t'entendre KIEFER : j'ai eu si peur ... j'ai si peur ... Une déflagration assourdissante coupa nette la conversation ...
KIEFER hurlant : Qu est ce qui se passe ?! LT FOURNIER : Je ne sais pas, attendons qqs instants, je ne veux pas perturber l'équipe avec cet appel. KIEFER : Attendre ! Ils sont où ? LT FOURNIER hurlant : Vous commencez à m'emmerder ! J'ai 34 hommes là bas et j'espère qu'ils vont tous rentrer vivants maintenant vous posez votre cul ici et vous faîtes comme moi ; VOUS ATTENDEZ ! Et je vous préviens, je suis plus fort que vous alors n'essayez même pas de bouger une oreille.. KIEFER le regarda sans rien dire, puis sortit une clope et l'alluma en faisant les 100 pas dehors ! Le lieutenant se rapprocha de lui. LT FOURNIER : Désolée mon vieux, c'est une civile, mes gars ont eu pour instructions de prendre bien soin d'elle. Elle en a dans le pantalon pour une femme ! KIEFER : Ouais, ça tu peux le dire !
La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma. |
| | | charlie Femme de Kiefer
Nombre de messages : 6465 Age : 51 Date d'inscription : 15/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 25 Oct - 21:06 | |
| Pendant ce temps Kiefer avait sauté dans le premier avion pour le Caire, un ami influant lui avait donné un contact à l'ambassade de France ; il n'en pouvait plus d'attendre sans rien faire à des milliers de kilomètres, surtout qu'il commençait à douter qu'il ne la revoit jamais.
Les services secrets français s'entretenirent longuement avec Lois, elle leur parla de ses connaissances des passages secrets, leur décrivit ce qu'elle avait vu et entendu sur place et insista lourdement sur cette mystérieuse Elisabeth. HOMME 1 : Pourquoi cette femme se serait elle enfuie ? Ca n'a pas de sens, si elle avait été avec eux, elle vous aurez empêchée de partir ! LOIS : Je ne suis pas folle ! HOMME 2 : Vous avez reçu un violent coup à la tête. LOIS resta bouche bée : Ok, je ne dirai plus rien sans avoir parlé à mon mari aupréalable. HOMME 1 : Ca ne va pas être possible dans l'immédiat. LOIS les yeux flamboyant de colère : Pardon ?!
HOMME 2 : Nous ne pouvons nous permettre de vous lâcher dans la nature, la nouvelle de votre évasion pourrait faire basculer la situation. Aussi vous comprendrez que vous devez restée ici jusqu'au dénouement de cette opération. LOIS : Vous voulez clouer le bec aux américains, c'est ça ! Elisabeth est sans doute dans la même situation que moi chez eux ! HOMME 2 souriant : Oui mais elle, elle ne sait rien ! A cet instant, Lois se sentit vraiment seule ...
Kiefer arriva à l'ambassade de France à la nuit tombée. Un petit homme malingre le reçut dans un petit bureau miteux Homme : asseyez-vous ... Kiefer : avez-vous des nouvelles des otages et plus particulièrement savez-vous si ma femme .... Le petit homme ne le laissa pas finir Homme : votre femme ne fait pas partie des otages actuellement vivants, nos renseignements ne font pas état d'une femme répondant à la description que vous nous avez donnée... je suis désolé ... vous avez fait tout ce trajet pour rien ... L'homme ironique : peut-être même qu'elle n'a jamais été sur le site ... elle est peut-être en train de se la couler douce dans les bras d'un autre ... Le décallage horaire et le stress des dernières heures faisant, Kiefer eut envie de l'étrangler ... quand tout à coup une sirène retentit, l'homme sortit précipitement de la pièce et Kiefer le suivit mais il ne comprit rien car celui ci parla tantôt en arabe, tantôt en français mais trop vite..
Soudain, il regarda dehors et vit les lumières au dessus de Karnac ; des coups de feu ! Quand il avait repris l'avion intérieur du Caire à Assouan, il avait survolé le site, c'était gigantesque ! Et Lois avait raison, c'était fabuleux. Elle lui avait dit un jour : Quand tu es là bas, il s'est passé tant d'évenements avant ta venue que tu sais, implicitement, que rien ne pourra t'arriver" Il espérait qu'elle eut raison ! Le mec de l'ambassade repassa en courant devant lui et Kiefer profita d'être seul dans le couloir pour le choper et le plaquer contre le mur ! KIEFER : Dis moi la vérité ! Maintenant ! HOMME : Monsieur ! Je suis un représentant de l'Etat français ! KIEFER : Tu pourrais être Dieu en personne, ça ne changerait rien ! Ou est elle ?! Je sais qu'elle était retenue prisionnière là bas hier et l'otage abattu était un homme donc ? Il augmenta la pression sur le cou, l'homme devant rouge et paniqué. HOMME : Ok, elle s'est enfuit dans la nuit ! Elle est restée sur place pour aider nos troupes d'assauts à intervenir.
Il mit du temps à assimiler la nouvelle. Pourquoi ne l'avait elle pas appelé ! KIEFER : Tu m'emmènes là bas tout de suite ! L'homme ne faisait plus le malin, Kiefer lui avait révèlé ce qu'il avait de plus noir en lui ... il obtempéra sans discuter. Ils sautèrent dans un véhicule venu d'un autre âge, un auverland, espèce de Jeep made in france, Kiefer se demanda s'ils n'auraient pas mieux fait d'y aller à pied mais le temps pressait et ses pensées étaient bien au-delà de ces considérations. Ils se dirigèrent vers les éclats de lumières au loin, vers les fusillades ... l'armée française avait donné l'assault ...
Dans son tunnel, Lois jouait les éclaireuses, un groupe d'intervention derrière elle. Elle était convaincue qu'aider tous ces gens était ce qu'elle devait faire, elle n'avait jamais eu aucun doute sur le sujet ... pourtant elle aurait donné n'importe quoi pour avoir au moins pu parler à Kiefer avant ... Le radio l'approcha et lui tendit un téléphone satellite ... la réception était mauvaise à travers toutes ces vieilles pierres ... : HOMME : Madame Sutherland, Lieutenant caporal Fournier, j'ai votre mari à côté de moi KIEFER : Allo, bébé ? comment tu vas mon ange ? LOIS : Oh bien ! c'est bon de t'entendre KIEFER : j'ai eu si peur ... j'ai si peur ... Une déflagration assourdissante coupa nette la conversation ...
KIEFER hurlant : Qu est ce qui se passe ?! LT FOURNIER : Je ne sais pas, attendons qqs instants, je ne veux pas perturber l'équipe avec cet appel. KIEFER : Attendre ! Ils sont où ? LT FOURNIER hurlant : Vous commencez à m'emmerder ! J'ai 34 hommes là bas et j'espère qu'ils vont tous rentrer vivants maintenant vous posez votre cul ici et vous faîtes comme moi ; VOUS ATTENDEZ ! Et je vous préviens, je suis plus fort que vous alors n'essayez même pas de bouger une oreille.. KIEFER le regarda sans rien dire, puis sortit une clope et l'alluma en faisant les 100 pas dehors ! Le lieutenant se rapprocha de lui. LT FOURNIER : Désolée mon vieux, c'est une civile, mes gars ont eu pour instructions de prendre bien soin d'elle. Elle en a dans le pantalon pour une femme ! KIEFER : Ouais, ça tu peux le dire !
La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 25 Oct - 23:14 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine. |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 26 Oct - 0:24 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine.
Kiefer ne tenait plus en place, il avait eu tellement peur de la perdre qu‘il n’osait pas croire que tout ce cauchemar était bientôt fini… Il avait besoin d’être avec elle, de la toucher, il savait que seul ce contact physique pourrait le rassurer complètement… Emad était en grande discussion au téléphone avec Sarah. Selma s’approcha de Kiefer : SELMA : Je voulais te dire… je suis désolée de t’avoir si mal jugé… je t’en voulais de m’avoir pris ma mère… je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout lâché pour toi… mais aujourd’hui, j’ai compris… Ce voyage avec elle et tout ce qui est arrivé ces dernières heures, ça m’a ouvert les yeux. Je sais maintenant à quel point tu aimes ma mère et je sais qu’elle t’aime aussi… je vous souhaite sincèrement d’être heureux ensembles, vous le méritez… Et… je te demande pardon de t’avoir jugé si vite. KIEFER : Merci, ça me touche beaucoup… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Emad les rejoignit : EMAD : Sarah vous embrasse, elle a hâte de nous voir tous rentrer! Le médecin vint les chercher, il les rassura sur l’état de santé de Lois et les autorisa à entrer un moment mais leur demanda de ne pas trop la fatiguer. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 26 Oct - 0:40 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine.
Kiefer ne tenait plus en place, il avait eu tellement peur de la perdre qu‘il n’osait pas croire que tout ce cauchemar était bientôt fini… Il avait besoin d’être avec elle, de la toucher, il savait que seul ce contact physique pourrait le rassurer complètement… Emad était en grande discussion au téléphone avec Sarah. Selma s’approcha de Kiefer : SELMA : Je voulais te dire… je suis désolée de t’avoir si mal jugé… je t’en voulais de m’avoir pris ma mère… je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout lâché pour toi… mais aujourd’hui, j’ai compris… Ce voyage avec elle et tout ce qui est arrivé ces dernières heures, ça m’a ouvert les yeux. Je sais maintenant à quel point tu aimes ma mère et je sais qu’elle t’aime aussi… je vous souhaite sincèrement d’être heureux ensembles, vous le méritez… Et… je te demande pardon de t’avoir jugé si vite. KIEFER : Merci, ça me touche beaucoup… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Emad les rejoignit : EMAD : Sarah vous embrasse, elle a hâte de nous voir tous rentrer! Le médecin vint les chercher, il les rassura sur l’état de santé de Lois et les autorisa à entrer un moment mais leur demanda de ne pas trop la fatiguer.
Selma et Emad se regardèrent ENSEMBLE : Vas y ! On repassera demain. Kiefer lui sourit en remerciement et entra dans la chambre. Ils n'eurent pas besoin de se parler, il s'allongea derrière elle, l'enserra de son bras et posa sa tête dans sa nuque. La minute suivante, ils s'endormirent, epuisés par le stress des dernières heures.
Quand il se réveilla le lendemain, elle était déjà debout, dans sa blouse d'hôpital, devant la fenêtre. Elle regardait la ville, le front contre le vitre. Un gros pansement sur l'arrière de sa tête, elle semblait plus petite, plus fragile. KIEFER : Salut ! LOIS se retournant : Salut KIEFER : Comment tu te sens ? LOIS : Heureuse d'être parmi les vivants !
On toqua à la porte et le Lt FOURNIER entra. LT FOURNIER : Bonjour Mme SUTHERLAND, je suis venu constater par moi même que vous alliez bien ! LOIS froide : Ce n'est pas grâce à vous mais oui, je vais bien. LT FOURNIER : Je suis désolé d'avoir dû vous forcer la main mais malheureusement les circonstances l'exigeaient..En tous cas, au nom de l'Etat français, je vous en remercie. Votre audace m'a vraiment impressioné ! 126 des 129 otages ont été sauvé grâce à vous, vous pouvez être fière ! 126 hommes et femmes de 7 nationalités différentes qui parlent de vous en ce moment même à la presse de leur pays, attendez vous à être une véritable star les jours à venir !! KIEFER se mit à rire !! Après avoir été le fils de, peut être vais je devenir le mari de.. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 26 Oct - 8:30 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine.
Kiefer ne tenait plus en place, il avait eu tellement peur de la perdre qu‘il n’osait pas croire que tout ce cauchemar était bientôt fini… Il avait besoin d’être avec elle, de la toucher, il savait que seul ce contact physique pourrait le rassurer complètement… Emad était en grande discussion au téléphone avec Sarah. Selma s’approcha de Kiefer : SELMA : Je voulais te dire… je suis désolée de t’avoir si mal jugé… je t’en voulais de m’avoir pris ma mère… je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout lâché pour toi… mais aujourd’hui, j’ai compris… Ce voyage avec elle et tout ce qui est arrivé ces dernières heures, ça m’a ouvert les yeux. Je sais maintenant à quel point tu aimes ma mère et je sais qu’elle t’aime aussi… je vous souhaite sincèrement d’être heureux ensembles, vous le méritez… Et… je te demande pardon de t’avoir jugé si vite. KIEFER : Merci, ça me touche beaucoup… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Emad les rejoignit : EMAD : Sarah vous embrasse, elle a hâte de nous voir tous rentrer! Le médecin vint les chercher, il les rassura sur l’état de santé de Lois et les autorisa à entrer un moment mais leur demanda de ne pas trop la fatiguer. Selma et Emad se regardèrent ENSEMBLE : Vas y ! On repassera demain. Kiefer lui sourit en remerciement et entra dans la chambre. Ils n'eurent pas besoin de se parler, il s'allongea derrière elle, l'enserra de son bras et posa sa tête dans sa nuque. La minute suivante, ils s'endormirent, epuisés par le stress des dernières heures.
Quand il se réveilla le lendemain, elle était déjà debout, dans sa blouse d'hôpital, devant la fenêtre. Elle regardait la ville, le front contre le vitre. Un gros pansement sur l'arrière de sa tête, elle semblait plus petite, plus fragile. KIEFER : Salut ! LOIS se retournant : Salut KIEFER : Comment tu te sens ? LOIS : Heureuse d'être parmi les vivants !
On toqua à la porte et le Lt FOURNIER entra. LT FOURNIER : Bonjour Mme SUTHERLAND, je suis venu constater par moi même que vous alliez bien ! LOIS froide : Ce n'est pas grâce à vous mais oui, je vais bien. LT FOURNIER : Je suis désolé d'avoir dû vous forcer la main mais malheureusement les circonstances l'exigeaient..En tous cas, au nom de l'Etat français, je vous en remercie. Votre audace m'a vraiment impressioné ! 126 des 129 otages ont été sauvé grâce à vous, vous pouvez être fière ! 126 hommes et femmes de 7 nationalités différentes qui parlent de vous en ce moment même à la presse de leur pays, attendez vous à être une véritable star les jours à venir !! KIEFER se mit à rire !! Après avoir été le fils de, peut être vais je devenir le mari de..
Ils attendirent tous les 02 la visite du médecin, ils se parlèrent peu parce que Lois n'arrivait pas encore à exprimer ce qu'elle avait ressenti là bas ; la peur primaire bien sur, le dégoût, la colère et puis l'excitation de l'action aussi !! Quant à lui, il avait tellement peur de la braquer ou de la blesser qu'il préférait respecter son silence même s'il savait qu'il était néfaste ! Le médecin la laissa partir sur la promesse qu'elle reviendrait en consultation pour son pansement à la tête tous les jours, les 03 prochains jours et, il exigea de prendre une photo avec elle ! Kiefer avait appelé son tournage à NEW YORK mais tout le monde là bas était déjà au courant ! Lois faisait la une de tous les grands journaux nationaux avec des articles élogieux; les américains affectionnaient particulièrement les histoires héroïques, celle ci était parfaite.. Le réalisateur lui assura également une semaine de break pour lui, il avait organisé les scènes en conséquences. Il avait donc encore une semaine de vacances ! Finalement, il allait visiter l'Egypte plus tôt que prévu..
Ils rentrèrent à leur hôtel retrouver les enfants, après l'excitation des retrouvailles, Lois dût aller s'allonger, elle était épuisée et sa tête la faisait souffrir aussi Kiefer en profité pour aller prendre un peu l'air |
| | | charlie Femme de Kiefer
Nombre de messages : 6465 Age : 51 Date d'inscription : 15/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 26 Oct - 19:04 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine.
Kiefer ne tenait plus en place, il avait eu tellement peur de la perdre qu‘il n’osait pas croire que tout ce cauchemar était bientôt fini… Il avait besoin d’être avec elle, de la toucher, il savait que seul ce contact physique pourrait le rassurer complètement… Emad était en grande discussion au téléphone avec Sarah. Selma s’approcha de Kiefer : SELMA : Je voulais te dire… je suis désolée de t’avoir si mal jugé… je t’en voulais de m’avoir pris ma mère… je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout lâché pour toi… mais aujourd’hui, j’ai compris… Ce voyage avec elle et tout ce qui est arrivé ces dernières heures, ça m’a ouvert les yeux. Je sais maintenant à quel point tu aimes ma mère et je sais qu’elle t’aime aussi… je vous souhaite sincèrement d’être heureux ensembles, vous le méritez… Et… je te demande pardon de t’avoir jugé si vite. KIEFER : Merci, ça me touche beaucoup… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Emad les rejoignit : EMAD : Sarah vous embrasse, elle a hâte de nous voir tous rentrer! Le médecin vint les chercher, il les rassura sur l’état de santé de Lois et les autorisa à entrer un moment mais leur demanda de ne pas trop la fatiguer. Selma et Emad se regardèrent ENSEMBLE : Vas y ! On repassera demain. Kiefer lui sourit en remerciement et entra dans la chambre. Ils n'eurent pas besoin de se parler, il s'allongea derrière elle, l'enserra de son bras et posa sa tête dans sa nuque. La minute suivante, ils s'endormirent, epuisés par le stress des dernières heures.
Quand il se réveilla le lendemain, elle était déjà debout, dans sa blouse d'hôpital, devant la fenêtre. Elle regardait la ville, le front contre le vitre. Un gros pansement sur l'arrière de sa tête, elle semblait plus petite, plus fragile. KIEFER : Salut ! LOIS se retournant : Salut KIEFER : Comment tu te sens ? LOIS : Heureuse d'être parmi les vivants !
On toqua à la porte et le Lt FOURNIER entra. LT FOURNIER : Bonjour Mme SUTHERLAND, je suis venu constater par moi même que vous alliez bien ! LOIS froide : Ce n'est pas grâce à vous mais oui, je vais bien. LT FOURNIER : Je suis désolé d'avoir dû vous forcer la main mais malheureusement les circonstances l'exigeaient..En tous cas, au nom de l'Etat français, je vous en remercie. Votre audace m'a vraiment impressioné ! 126 des 129 otages ont été sauvé grâce à vous, vous pouvez être fière ! 126 hommes et femmes de 7 nationalités différentes qui parlent de vous en ce moment même à la presse de leur pays, attendez vous à être une véritable star les jours à venir !! KIEFER se mit à rire !! Après avoir été le fils de, peut être vais je devenir le mari de..
Ils attendirent tous les 02 la visite du médecin, ils se parlèrent peu parce que Lois n'arrivait pas encore à exprimer ce qu'elle avait ressenti là bas ; la peur primaire bien sur, le dégoût, la colère et puis l'excitation de l'action aussi !! Quant à lui, il avait tellement peur de la braquer ou de la blesser qu'il préférait respecter son silence même s'il savait qu'il était néfaste ! Le médecin la laissa partir sur la promesse qu'elle reviendrait en consultation pour son pansement à la tête tous les jours, les 03 prochains jours et, il exigea de prendre une photo avec elle ! Kiefer avait appelé son tournage à NEW YORK mais tout le monde là bas était déjà au courant ! Lois faisait la une de tous les grands journaux nationaux avec des articles élogieux; les américains affectionnaient particulièrement les histoires héroïques, celle ci était parfaite.. Le réalisateur lui assura également une semaine de break pour lui, il avait organisé les scènes en conséquences. Il avait donc encore une semaine de vacances ! Finalement, il allait visiter l'Egypte plus tôt que prévu..
Ils rentrèrent à leur hôtel retrouver les enfants, après l'excitation des retrouvailles, Lois dût aller s'allonger, elle était épuisée et sa tête la faisait souffrir aussi Kiefer en profité pour aller prendre un peu l'air
en sortant, il apperçu la corver de journalistes, il fit un pas en arrière mais décida d'affronter les médias une fois pour toute, il s'approcha d'eux avec sa cigarette en main. Journaliste: M. Sutherland, d'écrivez-nous ce que vous ressenter après ces événement qui viennent d'arriver. KIEFER: Ça va mieux, ma femme et mes enfants sont sains et sauf, Lois et moi on a eu peur de perdre les otages mais ma femme à été l'héroïne du début jusqu'à la fin, elle aurait pus laisser sa vie, elle a été forte et courageuse, elle va s'en remettre avec un peu de repos. Merci et on donnera une conférence en temps et lieu. Il rebrousse le chemin et revient à l'hôtel, il s'allonge au côté de Lois, il la touche, l'embrasse, c'était tellement bon de l'avoir à ses côtés, il lui carressa les cheveux au moment où elle se réveilla. KIEFER:HÉ!, tu as pus te reposer un peu? LOIS:Oui, ça fait du bien, je me fatigue vite et j'ai encore ce terrible mal de tête, j'ai hâte que tout se replace. KIEFER:Donne toi du temps, tu reviens de loin, je vais m'occupper de toi, j'ai encore une semaine off, on va en profiter pour ralxer ici, c'est si beau après la tempête, le calme est revenu. LOIS surprise:Tu es sérieux, tu veux rester ici, moi, je ne suis pas sûre de vouloir y rester, je m'ennuie d'Éliott et Li-Ann, ça fait un éterniter que je les ai vu, j'aimerais mieux rentrer à la maison, STP. KIEFER: | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 26 Oct - 23:54 | |
| La radio crachota et quelqu'un donna tous un tas de codes et de positions, les tirs s'estompèrent et les cris cessèrent. Le site devint soudainement étrangement calme. Kiefer vit les casques bleus pénétrer dans Karnac par la porte principale, quelques minutes après, les otages sortaient d'un pas rapide, il courut vers l'entrée et la vit presque immédiatement; elle était couverte de poussiere et avait plein de sang dans ses boucles rebelles mais elle était debout ! Quand elle le vit à son tour, elle s'immobilisa et le regarda intensément,il y avait plus d'amour dans ce regard que tout ce qu'elle avait jamais pu lui adresser jusqu'à présent. Après tout ce stress, Il avait envie de crier, pleurer, hurler ... un peu tout à la fois. Il s'élança vers elle. Ce n'est qu'au dernier moment qu'ils les vit. Ils se tenaient derrière elle, brandissant des fusils mitrailleurs dans son dos. La douleur fut encore plus intense que la première fois ... à peine retrouvée ...on la lui arrachait encore une fois. Il ne pu réprimer un cri : LOIS ! Tout s'enchaîna très vite, 2 bérets verts le jetèrent sur le côté, l'un des terrostistes lança une grenade, les snipers ouvrirent le feu, Lois et les 2 moudjidines s'écroulèrent alors que la grenade explosait ... tous disparurent dans un nuage de fumée et de terre.
Elle était allongée sur le dos, de la terre plein la bouche, ses oreilles bourdonnaient. Tous les gens s'agitaient autour d'elle, elle les voyait courir, fuir, hurler sans doute mais elle, elle n'entendait rien, tout était étrangement calme dans sa tête. Elle ne ressentait aucune douleur mais tout son corps était lourd et refusait de bouger. Peut être que c'est comme ça que cela doit se finir, sur le sol de Karnac, Mani la rappelle à lui. Elle le vit se pencher au dessus d'elle, elle sourit à la vue de ses beaux yeux bleus-verts, il lui parle mais elle ne l'entend pas. Elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle était heureuse qu'il soit venu la chercher mais elle était incapable de parler. Elle le vit pleurer et hurler quelque chose aux gens qui l'entourait, elle sentit qu'il la soulevait de terre, elle était bien, sereine, heureuse, elle ferma les yeux et sombra.
Il courut avec Lois dans les bras jusqu'à l'antenne médicale installée par les américains un peu plus loin. Il hurla qu'il avait besoin d'aide, le plus gros de l'équipe était partit sur le site mais un médecin et son équipe étaient restés là pour accueillir les premiers blessés. Ils arrachèrent Lois des bras de Kiefer et commencèrent la réanimation, elle sembalit avoir sombré dans le coma.
Il vie une de chapelle non loin de Lois, un petit banc pour prier avec une petite croix au dessus, il se mit à genou et pria du mieux qu'il peut, il navait jamais fait ça au paravent mais là il sentait le besoin de le faire, les larmes lui coulait au long de ses joues, il tramblait de peur, de peur de perdre Lois, il s'aperçue qu'il ne pourrait vivre sans elle, elle était son univers. Quelques instant plus tard, il se met debout à côté de Lois lui prenant la main. KIEFER avec un voix penaude: Laisse moi pas Lois, laisse nous pas, tu es forte de nature, tu vas y arriver, bat toi pour tes enfants si tu ne veux pas le faire pour moi, ils ont besoin de toi, montre leur la femme que tu es. MEDECIN en metant la main sur l'épaule de Kiefer: Elle est dans un état stable, nous ne pouvons nous prononcer pour l'instant, laissons les choses aller, le temps arrange bien des choses, elle a besoin de repos, même si elle est dans le comas, il faut la laisser se reposer, elle souffre d'un grand épuisement, allez prendre un café, ça va vous faire du bien. KIEFER: Merci...mais j'aime mieux rester au près d'elle... MEDECIN: Je reviendrai plus tard... Kiefer s'éttenda à côté d'elle, lui carressa les cheveux et lui donna un bec sur le frond. Il prit sa main et la serra fort contre lui, il ne voulait pas que personne lui enlève sa Lois, il voulait la garder pour lui seul. Il réussit à s'assoupir quelques instant, Une pression contre sa main le metta hort de son sommeil, il s'assoit dans le lit, il avait l'impression que Lois voulait se réveiller.
Il s'assit sur son lit et lui parla doucement, son coeur failli éclater quand elle ouvrit les yeux ! Elle cilla plusieurs fois avant de fixer son regard sur lui. KIEFER : Eh bébé ! Comment tu te sens ? LOIS : J'ai soif et j'ai une migraine atroce ! KIEFER se mit à rire et l'embrassa frénétiquement : Je t'aime, Je t'aime, je t'aime !! LOIS le repoussant gentiment: Pitié ! Tu veux m'étouffer ! KIEFER : Je vais chercher un médecin. LOIS : Et à boire STP !!
Le médecin l'examina, lui fit différents tests neurologiques et un scanner. MEDECIN : Vu ce que vous venez de subir, vous êtes en parfaite santé ! Et j'en suis ravi car comme pour beaucoup d'Egyptiens, vous êtes devenue mon héroine !! LOIS : Mon Dieu ! Et pourquoi ça ?! MEDECIN : Parce que vous avez réussi à sauver bien des vies en utilisant le savoir des anciens et pour nous, constater qu'une étrangère aime et respecte notre Histoire nous remplit de joie. ASSOUAN est une petite ville finalement, je sais également qu'il y a longtemps vous avez vécu ici et que vous y avez aimé plus que la terre d'Egypte. LOIS : Je ne suis pas sure de vouloir y revenir une 03ème fois ! Mais d'où tenez vous tout ça !? MEDECIN souriant espièglement : De vos enfants ! Ils attendent avec votre mari blond !! Mais tout ce que j'ai dit est vrai, dans les rues d'Assouan, vous êtes une héroine.
Kiefer ne tenait plus en place, il avait eu tellement peur de la perdre qu‘il n’osait pas croire que tout ce cauchemar était bientôt fini… Il avait besoin d’être avec elle, de la toucher, il savait que seul ce contact physique pourrait le rassurer complètement… Emad était en grande discussion au téléphone avec Sarah. Selma s’approcha de Kiefer : SELMA : Je voulais te dire… je suis désolée de t’avoir si mal jugé… je t’en voulais de m’avoir pris ma mère… je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout lâché pour toi… mais aujourd’hui, j’ai compris… Ce voyage avec elle et tout ce qui est arrivé ces dernières heures, ça m’a ouvert les yeux. Je sais maintenant à quel point tu aimes ma mère et je sais qu’elle t’aime aussi… je vous souhaite sincèrement d’être heureux ensembles, vous le méritez… Et… je te demande pardon de t’avoir jugé si vite. KIEFER : Merci, ça me touche beaucoup… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Emad les rejoignit : EMAD : Sarah vous embrasse, elle a hâte de nous voir tous rentrer! Le médecin vint les chercher, il les rassura sur l’état de santé de Lois et les autorisa à entrer un moment mais leur demanda de ne pas trop la fatiguer. Selma et Emad se regardèrent ENSEMBLE : Vas y ! On repassera demain. Kiefer lui sourit en remerciement et entra dans la chambre. Ils n'eurent pas besoin de se parler, il s'allongea derrière elle, l'enserra de son bras et posa sa tête dans sa nuque. La minute suivante, ils s'endormirent, epuisés par le stress des dernières heures.
Quand il se réveilla le lendemain, elle était déjà debout, dans sa blouse d'hôpital, devant la fenêtre. Elle regardait la ville, le front contre le vitre. Un gros pansement sur l'arrière de sa tête, elle semblait plus petite, plus fragile. KIEFER : Salut ! LOIS se retournant : Salut KIEFER : Comment tu te sens ? LOIS : Heureuse d'être parmi les vivants !
On toqua à la porte et le Lt FOURNIER entra. LT FOURNIER : Bonjour Mme SUTHERLAND, je suis venu constater par moi même que vous alliez bien ! LOIS froide : Ce n'est pas grâce à vous mais oui, je vais bien. LT FOURNIER : Je suis désolé d'avoir dû vous forcer la main mais malheureusement les circonstances l'exigeaient..En tous cas, au nom de l'Etat français, je vous en remercie. Votre audace m'a vraiment impressioné ! 126 des 129 otages ont été sauvé grâce à vous, vous pouvez être fière ! 126 hommes et femmes de 7 nationalités différentes qui parlent de vous en ce moment même à la presse de leur pays, attendez vous à être une véritable star les jours à venir !! KIEFER se mit à rire !! Après avoir été le fils de, peut être vais je devenir le mari de..
Ils attendirent tous les 02 la visite du médecin, ils se parlèrent peu parce que Lois n'arrivait pas encore à exprimer ce qu'elle avait ressenti là bas ; la peur primaire bien sur, le dégoût, la colère et puis l'excitation de l'action aussi !! Quant à lui, il avait tellement peur de la braquer ou de la blesser qu'il préférait respecter son silence même s'il savait qu'il était néfaste ! Le médecin la laissa partir sur la promesse qu'elle reviendrait en consultation pour son pansement à la tête tous les jours, les 03 prochains jours et, il exigea de prendre une photo avec elle ! Kiefer avait appelé son tournage à NEW YORK mais tout le monde là bas était déjà au courant ! Lois faisait la une de tous les grands journaux nationaux avec des articles élogieux; les américains affectionnaient particulièrement les histoires héroïques, celle ci était parfaite.. Le réalisateur lui assura également une semaine de break pour lui, il avait organisé les scènes en conséquences. Il avait donc encore une semaine de vacances ! Finalement, il allait visiter l'Egypte plus tôt que prévu..
Ils rentrèrent à leur hôtel retrouver les enfants, après l'excitation des retrouvailles, Lois dût aller s'allonger, elle était épuisée et sa tête la faisait souffrir aussi Kiefer en profité pour aller prendre un peu l'air en sortant, il apperçu la corver de journalistes, il fit un pas en arrière mais décida d'affronter les médias une fois pour toute, il s'approcha d'eux avec sa cigarette en main. Journaliste: M. Sutherland, d'écrivez-nous ce que vous ressenter après ces événement qui viennent d'arriver. KIEFER: Ça va mieux, ma femme et mes enfants sont sains et sauf, Lois et moi on a eu peur de perdre les otages mais ma femme à été l'héroïne du début jusqu'à la fin, elle aurait pus laisser sa vie, elle a été forte et courageuse, elle va s'en remettre avec un peu de repos. Merci et on donnera une conférence en temps et lieu. Il rebrousse le chemin et revient à l'hôtel, il s'allonge au côté de Lois, il la touche, l'embrasse, c'était tellement bon de l'avoir à ses côtés, il lui carressa les cheveux au moment où elle se réveilla. KIEFER:HÉ!, tu as pus te reposer un peu? LOIS: Oui, ça fait du bien, je me fatigue vite et j'ai encore ce terrible mal de tête, j'ai hâte que tout se replace. KIEFER: Donne toi du temps, tu reviens de loin, je vais m'occupper de toi, j'ai encore une semaine off, on va en profiter pour ralxer ici, c'est si beau après la tempête, le calme est revenu. LOIS surprise:Tu es sérieux, tu veux rester ici, moi, je ne suis pas sûre de vouloir y rester, je m'ennuie d'Éliott et Li-Ann, ça fait un éterniter que je les ai vu, j'aimerais mieux rentrer à la maison, STP. KIEFER: Comme tu voudras mais tu me parles de l'Egypte depuis si longtemps et avec tant de passion que j'aurai aimé partager cette découverte avec toi. LOIS s'asseyant dans le lit : c'est vrai tu as raison et puis je viens d'avoir Jude au téléphone, il paraît que je suis une star dans ton royaume !! L'avantage c'est que tu es encore plus riche grâce à moi car mon album est en train d'exploser les ventes ! KIEFER : Excellente nouvelle, non ? LOIS : Bien sur mais j'aurai aimé que son succès soit plus légitime, enfin ! Du coup, la perspective d'être assaillie par les journalistes me refroidit un peu !! Habille toi ; pantalon leger, chapeau, lunette, tee-shirt et pull, je t'emmène là où j'habitais autrefois, je t'emmène dans la merveilleuse Nubie ! KIEFER en se levant : A quoi va me servir un pull ? LOIS : Parce que j'espère pouvoir dormir sur une félouque aux abords des îles Elephantines et que parfois, le nuit tombée, on aime se couvrir. KIEFER : Ca m'a l'air très exotique tout ça ! LOIS : Cest féérique, le ciel est totalement différent ici la nuit ! Ensuite, ABOU SIMBEL et puis nous repartirons du Caire car il est inconcevable d'aller en Egypte sans se frotter aux Pyramides. Tu verras, on repart différent de ce pays. Mais une chose à la fois, pour l'instant, en route pour la Nubie ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Ven 27 Oct - 8:24 | |
| On toqua à la porte et le Lt FOURNIER entra. LT FOURNIER : Bonjour Mme SUTHERLAND, je suis venu constater par moi même que vous alliez bien ! LOIS froide : Ce n'est pas grâce à vous mais oui, je vais bien. LT FOURNIER : Je suis désolé d'avoir dû vous forcer la main mais malheureusement les circonstances l'exigeaient..En tous cas, au nom de l'Etat français, je vous en remercie. Votre audace m'a vraiment impressioné ! 126 des 129 otages ont été sauvé grâce à vous, vous pouvez être fière ! 126 hommes et femmes de 7 nationalités différentes qui parlent de vous en ce moment même à la presse de leur pays, attendez vous à être une véritable star les jours à venir !! KIEFER se mit à rire !! Après avoir été le fils de, peut être vais je devenir le mari de..
Ils attendirent tous les 02 la visite du médecin, ils se parlèrent peu parce que Lois n'arrivait pas encore à exprimer ce qu'elle avait ressenti là bas ; la peur primaire bien sur, le dégoût, la colère et puis l'excitation de l'action aussi !! Quant à lui, il avait tellement peur de la braquer ou de la blesser qu'il préférait respecter son silence même s'il savait qu'il était néfaste ! Le médecin la laissa partir sur la promesse qu'elle reviendrait en consultation pour son pansement à la tête tous les jours, les 03 prochains jours et, il exigea de prendre une photo avec elle ! Kiefer avait appelé son tournage à NEW YORK mais tout le monde là bas était déjà au courant ! Lois faisait la une de tous les grands journaux nationaux avec des articles élogieux; les américains affectionnaient particulièrement les histoires héroïques, celle ci était parfaite.. Le réalisateur lui assura également une semaine de break pour lui, il avait organisé les scènes en conséquences. Il avait donc encore une semaine de vacances ! Finalement, il allait visiter l'Egypte plus tôt que prévu..
Ils rentrèrent à leur hôtel retrouver les enfants, après l'excitation des retrouvailles, Lois dût aller s'allonger, elle était épuisée et sa tête la faisait souffrir aussi Kiefer en profité pour aller prendre un peu l'air en sortant, il apperçu la corver de journalistes, il fit un pas en arrière mais décida d'affronter les médias une fois pour toute, il s'approcha d'eux avec sa cigarette en main. Journaliste: M. Sutherland, d'écrivez-nous ce que vous ressenter après ces événement qui viennent d'arriver. KIEFER: Ça va mieux, ma femme et mes enfants sont sains et sauf, Lois et moi on a eu peur de perdre les otages mais ma femme à été l'héroïne du début jusqu'à la fin, elle aurait pus laisser sa vie, elle a été forte et courageuse, elle va s'en remettre avec un peu de repos. Merci et on donnera une conférence en temps et lieu. Il rebrousse le chemin et revient à l'hôtel, il s'allonge au côté de Lois, il la touche, l'embrasse, c'était tellement bon de l'avoir à ses côtés, il lui carressa les cheveux au moment où elle se réveilla. KIEFER:HÉ!, tu as pus te reposer un peu? LOIS: Oui, ça fait du bien, je me fatigue vite et j'ai encore ce terrible mal de tête, j'ai hâte que tout se replace. KIEFER: Donne toi du temps, tu reviens de loin, je vais m'occupper de toi, j'ai encore une semaine off, on va en profiter pour ralxer ici, c'est si beau après la tempête, le calme est revenu. LOIS surprise:Tu es sérieux, tu veux rester ici, moi, je ne suis pas sûre de vouloir y rester, je m'ennuie d'Éliott et Li-Ann, ça fait un éterniter que je les ai vu, j'aimerais mieux rentrer à la maison, STP. KIEFER: Comme tu voudras mais tu me parles de l'Egypte depuis si longtemps et avec tant de passion que j'aurai aimé partager cette découverte avec toi. LOIS s'asseyant dans le lit : c'est vrai tu as raison et puis je viens d'avoir Jude au téléphone, il paraît que je suis une star dans ton royaume !! L'avantage c'est que tu es encore plus riche grâce à moi car mon album est en train d'exploser les ventes ! KIEFER : Excellente nouvelle, non ? LOIS : Bien sur mais j'aurai aimé que son succès soit plus légitime, enfin ! Du coup, la perspective d'être assaillie par les journalistes me refroidit un peu !! Habille toi ; pantalon leger, chapeau, lunette, tee-shirt et pull, je t'emmène là où j'habitais autrefois, je t'emmène dans la merveilleuse Nubie ! KIEFER en se levant : A quoi va me servir un pull ? LOIS : Parce que j'espère pouvoir dormir sur une félouque aux abords des îles Elephantines et que parfois, le nuit tombée, on aime se couvrir. KIEFER : Ca m'a l'air très exotique tout ça ! LOIS : Cest féérique, le ciel est totalement différent ici la nuit ! Ensuite, ABOU SIMBEL et puis nous repartirons du Caire car il est inconcevable d'aller en Egypte sans se frotter aux Pyramides. Tu verras, on repart différent de ce pays. Mais une chose à la fois, pour l'instant, en route pour la Nubie !
Ils se préparèrent, dirent au revoir au enfants et demandèrent à sortir par une porte secondaire de l'hôtel afin d'échapper aux journalistes. Elle l'entraîna vers le Nil où elle commença à marchander avec les propriétaires de félouques. Très vite, un petit attroupement se fit autour d'elle et les gens, hommes et femmes, lui parlirent avec déférence, essayèrent de la toucher...Une femme la prît même dans ses bras. Par contre, lui, tout le monde s'en foutait ! Progressivement, il devait reculer pour laisser passer de nouveaux arrivants, ça lui rappela le temps où son père était une star et lui n'était rien ! Lois réussit à s'échapper de ces fervents admirateurs et ils purent embarquer sur une grande félouque, l'intérieur était sommaire et elle était dirigée par un ancien que les dents avaient quitté depuis longtemps !! Lois discuta un peu avec le vieil homme, il aimait l'entendre parler arabe ; cette langue était belle et elle lui allait si bien. Puis elle le rejoignit :
LOIS : C'est parti ! Asseyons nous et profitons du spectacle ! La traversée ne dure pas plus de 30 ou 45 mns.. Elle s'assit à côté de lui, se pelotonna contre lui et ils regadèrent en silence toutes les félouques qui naviguaient sur le Nil dans un ballet majestueux. Le fleuve scintillait sous le soleil au Zénith, de fortes odeurs de lotus leur chatouillaient le nez. Dès qu'ils croisaient une autre félouque, tout le monde se disait bonjour d'un signe de la main interminable, des enfants naviguaient dans des petites coques de noix. Assouan s'éloignait de leur yeux mais ils pouvaient encore admirer une partie du site de Karnac qui avait failli coûter la vie à Lois !! |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Sam 28 Oct - 12:37 | |
| Ils se préparèrent, dirent au revoir au enfants et demandèrent à sortir par une porte secondaire de l'hôtel afin d'échapper aux journalistes. Elle l'entraîna vers le Nil où elle commença à marchander avec les propriétaires de félouques. Très vite, un petit attroupement se fit autour d'elle et les gens, hommes et femmes, lui parlirent avec déférence, essayèrent de la toucher...Une femme la prît même dans ses bras. Par contre, lui, tout le monde s'en foutait ! Progressivement, il devait reculer pour laisser passer de nouveaux arrivants, ça lui rappela le temps où son père était une star et lui n'était rien ! Lois réussit à s'échapper de ces fervents admirateurs et ils purent embarquer sur une grande félouque, l'intérieur était sommaire et elle était dirigée par un ancien que les dents avaient quitté depuis longtemps !! Lois discuta un peu avec le vieil homme, il aimait l'entendre parler arabe ; cette langue était belle et elle lui allait si bien. Puis elle le rejoignit :
LOIS : C'est parti ! Asseyons nous et profitons du spectacle ! La traversée ne dure pas plus de 30 ou 45 mns.. Elle s'assit à côté de lui, se pelotonna contre lui et ils regadèrent en silence toutes les félouques qui naviguaient sur le Nil dans un ballet majestueux. Le fleuve scintillait sous le soleil au Zénith, de fortes odeurs de lotus leur chatouillaient le nez. Dès qu'ils croisaient une autre félouque, tout le monde se disait bonjour d'un signe de la main interminable, des enfants naviguaient dans des petites coques de noix. Assouan s'éloignait de leur yeux mais ils pouvaient encore admirer une partie du site de Karnac qui avait failli coûter la vie à Lois !!
A la nuit tombée, ils s'étaient arrêtés manger dans une petite échoppe non loin d'un village de pêcheurs. Ils marchaient maintenant main dans la main au bord du Nil. Kiefer avait voulu se déchausser mais Lois l'en avait dissuadé en riant, ce pays était aussi beau qu'il pouvait être dangeureux : après les émotions de ces derniers jours, s'ils pouvaient éviter les piqures de scorpions c'était aussi bien ! Lois le ramena sur la félouque, leur guide était parti dormir sans doute au village. LOIS : ici tu peux retirer tes chaussures ... voire plus si tu veux Kiefer s'approcha d'elle et glissa ses mains sous son tee-shirt.Mêmes ses seins avaient la taille parfaite, ils s'ajustaient parfaitement au creu de ses mains ... Il l'allongea avec douceur au fond de l'embarcation et lui fit l'amour avec passion et éxotisme. Ils allumèrent une cigarette, la nuit était belle et également sûrement magnifiée par le plaisir des sens. Il s'était assis derrière elle, l'enlassant. Elle ne put s'empêcher de se moquer de lui et de le taquiner quand il se résolu à mettre le pull qu'il avait failli ne pas emmener le matin même ...
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Sam 28 Oct - 18:06 | |
| Ils se préparèrent, dirent au revoir au enfants et demandèrent à sortir par une porte secondaire de l'hôtel afin d'échapper aux journalistes. Elle l'entraîna vers le Nil où elle commença à marchander avec les propriétaires de félouques. Très vite, un petit attroupement se fit autour d'elle et les gens, hommes et femmes, lui parlirent avec déférence, essayèrent de la toucher...Une femme la prît même dans ses bras. Par contre, lui, tout le monde s'en foutait ! Progressivement, il devait reculer pour laisser passer de nouveaux arrivants, ça lui rappela le temps où son père était une star et lui n'était rien ! Lois réussit à s'échapper de ces fervents admirateurs et ils purent embarquer sur une grande félouque, l'intérieur était sommaire et elle était dirigée par un ancien que les dents avaient quitté depuis longtemps !! Lois discuta un peu avec le vieil homme, il aimait l'entendre parler arabe ; cette langue était belle et elle lui allait si bien. Puis elle le rejoignit :
LOIS : C'est parti ! Asseyons nous et profitons du spectacle ! La traversée ne dure pas plus de 30 ou 45 mns.. Elle s'assit à côté de lui, se pelotonna contre lui et ils regadèrent en silence toutes les félouques qui naviguaient sur le Nil dans un ballet majestueux. Le fleuve scintillait sous le soleil au Zénith, de fortes odeurs de lotus leur chatouillaient le nez. Dès qu'ils croisaient une autre félouque, tout le monde se disait bonjour d'un signe de la main interminable, des enfants naviguaient dans des petites coques de noix. Assouan s'éloignait de leur yeux mais ils pouvaient encore admirer une partie du site de Karnac qui avait failli coûter la vie à Lois !!
A la nuit tombée, ils s'étaient arrêtés manger dans une petite échoppe non loin d'un village de pêcheurs. Ils marchaient maintenant main dans la main au bord du Nil. Kiefer avait voulu se déchausser mais Lois l'en avait dissuadé en riant, ce pays était aussi beau qu'il pouvait être dangeureux : après les émotions de ces derniers jours, s'ils pouvaient éviter les piqures de scorpions c'était aussi bien ! Lois le ramena sur la félouque, leur guide était parti dormir sans doute au village. LOIS : ici tu peux retirer tes chaussures ... voire plus si tu veux Kiefer s'approcha d'elle et glissa ses mains sous son tee-shirt.Mêmes ses seins avaient la taille parfaite, ils s'ajustaient parfaitement au creu de ses mains ... Il l'allongea avec douceur au fond de l'embarcation et lui fit l'amour avec passion et éxotisme. Ils allumèrent une cigarette, la nuit était belle et également sûrement magnifiée par le plaisir des sens. Il s'était assis derrière elle, l'enlassant. Elle ne put s'empêcher de se moquer de lui et de le taquiner quand il se résolu à mettre le pull qu'il avait failli ne pas emmener le matin même, heureusement pour lui, Lois savait comment le réchauffer.. Elle lui parla aussi beaucoup cette nuit là de la vie qu'elle avait vécu ici, c'était rare qu'elle se confie autant alors il n'osât pas l"interrompre, ni lui poser de question. Ils regardèrent le soleil se lever sur le Nil, c'était un spectacle merveilleux qu'il regardèrent en silence.
KIEFER : C'est vraiment extraordinaire, je suis si heureux d'être là, avec toi, dans ce décor somptueux. LOIS la gorge nouée : Oui mais je ne suis pas sure que revenir pour moi fût une bonne idée. KIEFER étonné : Pourquoi ? Quand je te parlais au téléphone de NY, tu avais l'air si heureuse ? LOIS : Ca oui, à tel point que je n'ai pas franchement envie de repartir aux Etas Unis, je crois que ma place est ici. KIEFER doucement : Ca non bébé, ta place est avec moi à NY puis dans le Montana. On a toute la vie pour revenir ici avec les petits et je te promet qu'on le fera car, moi aussi, j'ai envie d'y revenir mais tu sais qu'on ne pourrait être heureux en y vivant tout le temps. LOIS triste : Je sais ! Je vais demander qu'on nous ramène à Assouan. On va se reposer aujourd hui et demain, je t'emmènerai à ABOU SIMBEL : Un joyau en plein desert, puis elle ajouta en souriant, Tu verra, c'est là bas que les jumeaux ont été conçus, ça t'inspira peut être..
|
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives | |
| |
| | | | JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|