KieferFanForum Everything about Kiefer Sutherland |
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| JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives | |
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EST CE QUE VOUS LISEZ CETTE HISTOIRE ? | Pas du tout.. | | 17% | [ 2 ] | Oui et j'aime beaucoup.. | | 75% | [ 9 ] | Oui et ce n'est franchement pas terrible | | 0% | [ 0 ] | Ah non ! Mais qu est ce que c'est que ça ?? | | 8% | [ 1 ] |
| Total des votes : 12 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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charlie Femme de Kiefer
Nombre de messages : 6465 Age : 51 Date d'inscription : 15/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 14:45 | |
| Kiefer resta avec les enfants pdt qu'ils emmenaient Lois, il la regarda monter dans le fourgon, impuissant, elle n'avait pas voulu qu'il vienne. Ca l'avait bcp blessé, il n'arrivait pas à percer la carapace, toutes ces semaines merveilleuses et elle était en train de se refermer comme une huitre... Il appela Jude et lui raconta, cherchant un peu de réconfort. JUDE essayant de le détendre : Et bien, j'ai tjs su qu'il ne fallait pas faire chier ta femme mais.. KIEFER sombre : Elle me fait peur Jude...Quand je pense qu'elle a flingué ce mec dans la même pièce que les enfants..Je ne sais pas quoi leur dire...Et puis merde ! Elle allait tellement bien ces derniers temps...on allait tellement bien. JUDE rassurant : Arrête de te prendre la tête, je comprend qu'un cow boy comme toi soit vexé que sa femme porte plus la culotte que lui... KIEFER : Non ce n'est pas ça ! Tu comprend, rien ne l'obligeait à les tuer ces gars, je donnais l'argent et ils les laissaient tranquille...Tu crois qu'elle a eu peur que je ne paie pas ? JUDE catégorique : Bien sur que non ! Mais elle a tjs dû se défendre seule contre les hommes, elle a apprit à se battre et puis....Tu ne sais pas comment c'était, peut être qu'elle a senti que leurs vies étaient en danger...Tu devrais parler avec elle. KIEFER triste : J'aimerai bien mais elle s'est braquée contre moi, elle pense que je lui en veut. JUDE sourit : On dirait qu'elle a raison. Tu l'aime, tu ne peux pas vivre sans elle, ce n'est pas une terroriste, elle a juste sauvé sa peau....Soutiens là, elle va avoir besoin de toi...Surtout que...Enfin des rumeurs circulent déjà ici, ça va sans doute faire les gros titres de la Presse et, les connaissant, ils ne vont pas hésiter à sortir les cadavres du placard. KIEFER : cool. Je te laisse, je te rappelle.
Arrivés à la maison, Lois essaya de tout raconter à la police. Elle savait que l'inspecteur qui la suivait epiait chacune de ses réactions. Le corps était encore là. Elle savait qu'elle aurait dû mais elle ne ressentait rien, absolument rien...Ni remord, ni regret, ni compassion...Elle était totalement vide INSPECTEUR : Ok Mme SUTHERLAND, nous en avons fini, je vais vous reconduire dans l'hôtel de votre choix, je vous laisse prendre qqs affaires, la maison va être indisponible qq jours. LOIS appuya son front contre la fenêtre : Vous pouvez m'appeler Lois, Mme SUTHERLAND c'est ma belle mère. Vous aussi...vous pensez que j'ai mal agi, que j'ai mis inutilement la vie de mes enfants en danger ? INSPECTEUR entrevoyant la 1ère faille : Je ne sais pas, peut être qu'ils ne vous auraient jamais laissé partir mais sincèrement j'en doute...Vous êtes tous sains et saufs, c'est le plus important non ? LOIS opina : Ils ne nous avaient jamais montré leurs visages...C est juste que...Enfin vous voyez, dans ce genre de situation, on n'est plus très rationnel. INSPECTEUR ayant envie de la serrer dans ses bras : Je sais, on a tous des réactions étranges parfois dont on ne se sait pas capable. LOIS se retourna pour le fixer dans les yeux : Peut être que vous ne le savez pas encore mais vous l'apprendrez bientôt, j'ai déjà tué qqun, il y a longtemps, de sang froid, par vengeance.. INSPECTEUR touché par son désarroi : Vous n'avez jamais été inquiétée pour ce meurtre et vous avez raison, c'était il y a longtemps lors je vais oublier cette conversation. LOIS sentit les larmes lui monter aux yeux, trop d'émotions remontaient à la surface, trop d'un coup, tout ce qu'elle avait voulu oublier ces années, elle se mit à pleurer. INSPECTEUR pensa"Enfin", il la prit dans ses bras : Ca va aller, je vais appeler votre mari et lui dire où vous retrouver, je l'attendrai avec vous. LOIS entre 2 sanglots : Merci mais je n'ai pas envie de le voir, vous ne voudriez pas m'emmener boire un verre ? J'ai vraiment besoin d'un remontant et je n'ai pas envie d'être seule. INSPECTEUR : Si vous voulez, je finis mon service dans 30 mns. LOIS : Comment vous vous appelez ? INSPECTEUR : Carlos madame. LOIS lui sourit à travers ses larmes : Merci Carlos. Il l'emmena boire un verre, puis 2. Elle lui parla, il l'écouta puis elle s'interessa à lui, lui posa des questions..Il se sentit flatté qu'une femme comme elle s'interesse à lui. Ils burent plus de 2 verres et la soirée prenait une tournure plutôt agréable en dépit des circonstances, il sentit qu'il devait la ramener maintenant. Ils marchèrent pour rentrer à l'hôtel, elle avait trop bu et s'accrocha à son bras, son corps était chaud, sa peau douce, ses long cheveux lui caressaient le bras, il était troublé par elle. Elle était jolie mais elle était surtout fascinante, il aimait les fortes têtes avec de la personnalité, il était servi..Il avait lu sa bio avant de l'interroger puis il avait rencontré et il avait eu immédiatement envie de la protéger...Elle allait être inculpée d'homicide, elle s'en sortirait sans doute sans une égragniture ; les circonstances, la présence des enfants dans la maison, sa célébrité.. A son bras, elle semblait si fragile, il avait envie de la prendre dans ses bras, de lui caresser les cheveux...Bien sur il n'en ferait rien, il n'oserait jamais. Ils arrivèrent à l'hôtel de Lois, il la raccompagnat jusqu'à sa porte. Elle lui sourit et fit glisser la main sur son bras, ses beaux yeux verts le fixèrent et elle lui sourit. LOIS : Merci, c'était vraiment... Ce fût ce moment que choisi son mari pour ouvrir la porte. KIEFER soulagé : Lois enfin ! Je commençais à m'inquiéter ! LOIS lui fit un petit sourire : L'inspecteur avait besoin de moi et puis après, il m'a emmené boire un verre parce...parce ...j'en avais vraiment besoin. KIEFER lui prit la main et l'attira à l'intérieur : D'accord chérie. A l'attention de Carlos : Merci bcp inspecteur, je suppose que nous allons nous revoir bientôt ? CARLOS : Certainement. Mme SUTHERLAND doit venir déposer officiellement demain au poste de Police, je passe la chercher à 10h00. KIEFER : OK à demain alors. Il referma la porte, Carlos vit Lois lui faire un petit signe de la main. Il détestait les blonds ! Kiefer bouillait en dedans mais décida de garder son calme, de toute façon, elle n'était pas dans un état pour parler de ce qui c'était passé, il la déposa sur le lit, elle se déshabilla et tourna le dos à Kiefer et s'endormis en une minute. Kiefer ne comprnnaît pas trop son état d'âme, comment peut-elle s'endormir aussi vite après une journée comme ça!!!! Il s'assit sur le canapé à côté du lit, la regarda dormir, il était plus troubler que elle et ce n'était pourtant pas lui qui a fait ce geste, parfois, il ne comprennaît pas ses réactions, il se disait que peut-être que l'effet va sortir plus tard. Il s'allongea à côté d'elle, il n'arrivait pas à s'endormir, trop de chose lui trota dans la tête, tout allait ci bien.....Il réussis à s'assouppir un peu quand s'oudait Lois se réveilla en hurlant! Elle était en sueur, en crise de panique. Kiefer sursota et essayait de la calmer, elle tremblait comme une feuille, elle avait froid, Kiefer la sera aussi fort qu'il put. KIEFER: C'est correct sweet, tout est correct, calme toi, je suis là et rien ne peut t'arriver.... LOIS: J'ai si peur...... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 15:16 | |
| Ils arrivèrent à l'hôtel de Lois, il la raccompagnat jusqu'à sa porte. Elle lui sourit et fit glisser la main sur son bras, ses beaux yeux verts le fixèrent et elle lui sourit. LOIS : Merci, c'était vraiment... Ce fût ce moment que choisi son mari pour ouvrir la porte. KIEFER soulagé : Lois enfin ! Je commençais à m'inquiéter ! LOIS lui fit un petit sourire : L'inspecteur avait besoin de moi et puis après, il m'a emmené boire un verre parce...parce ...j'en avais vraiment besoin. KIEFER lui prit la main et l'attira à l'intérieur : D'accord chérie. A l'attention de Carlos : Merci bcp inspecteur, je suppose que nous allons nous revoir bientôt ? CARLOS : Certainement. Mme SUTHERLAND doit venir déposer officiellement demain au poste de Police, je passe la chercher à 10h00. KIEFER : OK à demain alors. Il referma la porte, Carlos vit Lois lui faire un petit signe de la main. Il détestait les blonds ! Kiefer bouillait en dedans mais décida de garder son calme, de toute façon, elle n'était pas dans un état pour parler de ce qui c'était passé, il la déposa sur le lit, elle se déshabilla et tourna le dos à Kiefer et s'endormis en une minute. Kiefer ne comprnnaît pas trop son état d'âme, comment peut-elle s'endormir aussi vite après une journée comme ça!!!! Il s'assit sur le canapé à côté du lit, la regarda dormir, il était plus troubler que elle et ce n'était pourtant pas lui qui a fait ce geste, parfois, il ne comprennaît pas ses réactions, il se disait que peut-être que l'effet va sortir plus tard. Il s'allongea à côté d'elle, il n'arrivait pas à s'endormir, trop de chose lui trota dans la tête, tout allait ci bien.....Il réussis à s'assouppir un peu quand s'oudait Lois se réveilla en hurlant! Elle était en sueur, en crise de panique. Kiefer sursota et essayait de la calmer, elle tremblait comme une feuille, elle avait froid, Kiefer la sera aussi fort qu'il put. KIEFER: C'est correct sweet, tout est correct, calme toi, je suis là et rien ne peut t'arriver.... LOIS: J'ai si peur....C'était un horrible cauchemard, je le ratais...dans la salle de TV...Je tirais mais je le ratais.....Alors il s'en prenait aux enfants... KIEFER : Chut c'est fini, tu ne la pas raté Lois. LOIS : mais j'ai pris ce risque, j'ai risqué la vie des enfants... KIEFER lui prit le visage dans les mains : Tu as sauvé leur vie bébé, ils sont sains et saufs, arrête de te torturer avec ça, OK ? LOIS opina. KIEFER inquiet : Comment ça s'est passé avec cet imspecteur hier, tu crois qu'il va t'inculper de qqchose ? LOIS leva les yeux au ciel : D'homicides bien sur mais avec le N° de charme que je lui ai fait hier, je crois qu'il va me décharger au maximum. KIEFER la lâcha immédiatement : Le N° de charme...Je ne te pensais pas aussi machiavélique.. LOIS ironique : J'utilise les armes que j'ai pour me défendre et je ne suis pas douée uniquement avec les flingues. KIEFER se levant pour allumer une clope : Et tu comptes aller jusqu'au dans ton N° de charme ? LOIS soupira : Arrête ! Tous les jours, tu charme ton public, tes fans...Tu ne vas pas me reprocher de faire la même chose que toi ? KIEFER sur la défensive : Je ne suis pas comme ça ! LOIS sacarstique : Oh vraiment ?! Les petits sourires, les regards par en dessous...Dès qu'une fan s'approche de toi, tu ne peux pas t'en émpêcher ! Et tu ne t'en rend même plus compte... KIEFER la regarda longuement : Ok sans doute...Je ne veux pas me disputer avec toi, c'est juste que...dès que je vois un autre homme autour de toi ça me rend dingue ! LOIS sourit : Je sais....Tu saisi je veux juste crééer un lien avec ce flic, faire en sorte qu'il m aime bien, qu'il prenne ma défense... |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 17:12 | |
| Ils arrivèrent à l'hôtel de Lois, il la raccompagnat jusqu'à sa porte. Elle lui sourit et fit glisser la main sur son bras, ses beaux yeux verts le fixèrent et elle lui sourit. LOIS : Merci, c'était vraiment... Ce fût ce moment que choisi son mari pour ouvrir la porte. KIEFER soulagé : Lois enfin ! Je commençais à m'inquiéter ! LOIS lui fit un petit sourire : L'inspecteur avait besoin de moi et puis après, il m'a emmené boire un verre parce...parce ...j'en avais vraiment besoin. KIEFER lui prit la main et l'attira à l'intérieur : D'accord chérie. A l'attention de Carlos : Merci bcp inspecteur, je suppose que nous allons nous revoir bientôt ? CARLOS : Certainement. Mme SUTHERLAND doit venir déposer officiellement demain au poste de Police, je passe la chercher à 10h00. KIEFER : OK à demain alors. Il referma la porte, Carlos vit Lois lui faire un petit signe de la main. Il détestait les blonds ! Kiefer bouillait en dedans mais décida de garder son calme, de toute façon, elle n'était pas dans un état pour parler de ce qui c'était passé, il la déposa sur le lit, elle se déshabilla et tourna le dos à Kiefer et s'endormis en une minute. Kiefer ne comprnnaît pas trop son état d'âme, comment peut-elle s'endormir aussi vite après une journée comme ça!!!! Il s'assit sur le canapé à côté du lit, la regarda dormir, il était plus troubler que elle et ce n'était pourtant pas lui qui a fait ce geste, parfois, il ne comprennaît pas ses réactions, il se disait que peut-être que l'effet va sortir plus tard. Il s'allongea à côté d'elle, il n'arrivait pas à s'endormir, trop de chose lui trota dans la tête, tout allait ci bien.....Il réussis à s'assouppir un peu quand s'oudait Lois se réveilla en hurlant! Elle était en sueur, en crise de panique. Kiefer sursota et essayait de la calmer, elle tremblait comme une feuille, elle avait froid, Kiefer la sera aussi fort qu'il put. KIEFER: C'est correct sweet, tout est correct, calme toi, je suis là et rien ne peut t'arriver.... LOIS: J'ai si peur....C'était un horrible cauchemard, je le ratais...dans la salle de TV...Je tirais mais je le ratais.....Alors il s'en prenait aux enfants... KIEFER : Chut c'est fini, tu ne la pas raté Lois. LOIS : mais j'ai pris ce risque, j'ai risqué la vie des enfants... KIEFER lui prit le visage dans les mains : Tu as sauvé leur vie bébé, ils sont sains et saufs, arrête de te torturer avec ça, OK ? LOIS opina. KIEFER inquiet : Comment ça s'est passé avec cet imspecteur hier, tu crois qu'il va t'inculper de qqchose ? LOIS leva les yeux au ciel : D'homicides bien sur mais avec le N° de charme que je lui ai fait hier, je crois qu'il va me décharger au maximum. KIEFER la lâcha immédiatement : Le N° de charme...Je ne te pensais pas aussi machiavélique.. LOIS ironique : J'utilise les armes que j'ai pour me défendre et je ne suis pas douée uniquement avec les flingues. KIEFER se levant pour allumer une clope : Et tu comptes aller jusqu'au dans ton N° de charme ? LOIS soupira : Arrête ! Tous les jours, tu charme ton public, tes fans...Tu ne vas pas me reprocher de faire la même chose que toi ? KIEFER sur la défensive : Je ne suis pas comme ça ! LOIS sacarstique : Oh vraiment ?! Les petits sourires, les regards par en dessous...Dès qu'une fan s'approche de toi, tu ne peux pas t'en émpêcher ! Et tu ne t'en rend même plus compte... KIEFER la regarda longuement : Ok sans doute...Je ne veux pas me disputer avec toi, c'est juste que...dès que je vois un autre homme autour de toi ça me rend dingue ! LOIS sourit : Je sais....Tu saisi je veux juste crééer un lien avec ce flic, faire en sorte qu'il m aime bien, qu'il prenne ma défense... Kiefer la regarda avec un petit sourire triste : - Je ne veux pas te perdre sweeth… Je ne pourrais pas supporter de te perdre à nouveau ça me fait peur, je… Lois ne le laissa pas finir sa phrase, elle l’embrassa d’abord doucement sur la bouche pour le faire taire puis elle continua à l’embrasser dans le cou et lui murmura à l’oreille : - Moi non plus je ne veux pas te perdre… Tu es le seul que j'aime... Puis elle l’embrassa de nouveau mais de façon beaucoup plus prononcée, Kiefer répondit à ses baisers et s’abandonna avec bonheur sous ses mains expertes… oubliant pour quelques heures les évènements de la journée. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 18:41 | |
| Ils arrivèrent à l'hôtel de Lois, il la raccompagnat jusqu'à sa porte. Elle lui sourit et fit glisser la main sur son bras, ses beaux yeux verts le fixèrent et elle lui sourit. LOIS : Merci, c'était vraiment... Ce fût ce moment que choisi son mari pour ouvrir la porte. KIEFER soulagé : Lois enfin ! Je commençais à m'inquiéter ! LOIS lui fit un petit sourire : L'inspecteur avait besoin de moi et puis après, il m'a emmené boire un verre parce...parce ...j'en avais vraiment besoin. KIEFER lui prit la main et l'attira à l'intérieur : D'accord chérie. A l'attention de Carlos : Merci bcp inspecteur, je suppose que nous allons nous revoir bientôt ? CARLOS : Certainement. Mme SUTHERLAND doit venir déposer officiellement demain au poste de Police, je passe la chercher à 10h00. KIEFER : OK à demain alors. Il referma la porte, Carlos vit Lois lui faire un petit signe de la main. Il détestait les blonds ! Kiefer bouillait en dedans mais décida de garder son calme, de toute façon, elle n'était pas dans un état pour parler de ce qui c'était passé, il la déposa sur le lit, elle se déshabilla et tourna le dos à Kiefer et s'endormis en une minute. Kiefer ne comprnnaît pas trop son état d'âme, comment peut-elle s'endormir aussi vite après une journée comme ça!!!! Il s'assit sur le canapé à côté du lit, la regarda dormir, il était plus troubler que elle et ce n'était pourtant pas lui qui a fait ce geste, parfois, il ne comprennaît pas ses réactions, il se disait que peut-être que l'effet va sortir plus tard. Il s'allongea à côté d'elle, il n'arrivait pas à s'endormir, trop de chose lui trota dans la tête, tout allait ci bien.....Il réussis à s'assouppir un peu quand s'oudait Lois se réveilla en hurlant! Elle était en sueur, en crise de panique. Kiefer sursota et essayait de la calmer, elle tremblait comme une feuille, elle avait froid, Kiefer la sera aussi fort qu'il put. KIEFER: C'est correct sweet, tout est correct, calme toi, je suis là et rien ne peut t'arriver.... LOIS: J'ai si peur....C'était un horrible cauchemard, je le ratais...dans la salle de TV...Je tirais mais je le ratais.....Alors il s'en prenait aux enfants... KIEFER : Chut c'est fini, tu ne la pas raté Lois. LOIS : mais j'ai pris ce risque, j'ai risqué la vie des enfants... KIEFER lui prit le visage dans les mains : Tu as sauvé leur vie bébé, ils sont sains et saufs, arrête de te torturer avec ça, OK ? LOIS opina. KIEFER inquiet : Comment ça s'est passé avec cet imspecteur hier, tu crois qu'il va t'inculper de qqchose ? LOIS leva les yeux au ciel : D'homicides bien sur mais avec le N° de charme que je lui ai fait hier, je crois qu'il va me décharger au maximum. KIEFER la lâcha immédiatement : Le N° de charme...Je ne te pensais pas aussi machiavélique.. LOIS ironique : J'utilise les armes que j'ai pour me défendre et je ne suis pas douée uniquement avec les flingues. KIEFER se levant pour allumer une clope : Et tu comptes aller jusqu'au dans ton N° de charme ? LOIS soupira : Arrête ! Tous les jours, tu charme ton public, tes fans...Tu ne vas pas me reprocher de faire la même chose que toi ? KIEFER sur la défensive : Je ne suis pas comme ça ! LOIS sacarstique : Oh vraiment ?! Les petits sourires, les regards par en dessous...Dès qu'une fan s'approche de toi, tu ne peux pas t'en émpêcher ! Et tu ne t'en rend même plus compte... KIEFER la regarda longuement : Ok sans doute...Je ne veux pas me disputer avec toi, c'est juste que...dès que je vois un autre homme autour de toi ça me rend dingue ! LOIS sourit : Je sais....Tu saisi je veux juste crééer un lien avec ce flic, faire en sorte qu'il m aime bien, qu'il prenne ma défense... Kiefer la regarda avec un petit sourire triste : - Je ne veux pas te perdre sweeth… Je ne pourrais pas supporter de te perdre à nouveau ça me fait peur, je… Lois ne le laissa pas finir sa phrase, elle l’embrassa d’abord doucement sur la bouche pour le faire taire puis elle continua à l’embrasser dans le cou et lui murmura à l’oreille : - Moi non plus je ne veux pas te perdre… Tu es le seul que j'aime... Puis elle l’embrassa de nouveau mais de façon beaucoup plus prononcée, Kiefer répondit à ses baisers et s’abandonna avec bonheur sous ses mains expertes… oubliant pour quelques heures les évènements de la journée.
Il s'occupa des enfants le matin pour la laisser dormir, après les évévements de la veille, leur nounou les avait laissé tomber en rajoutant que Lois était complétement folle ! Kiefer avait bien entendu omis de rapporter ça à sa femme et il espérait que la nounou ne la descendrait pas auprès de la police. Vers 09h00, il vint la réveiller pour qu'elle se prépare pour sa déposition, il enleva doucement le drap qui la recouvrait en dévoilant petit à petit son corps. Les traces de liens avaient laissé 2 traces rouges autour de ces poignets et des énormes hématomes venaient d'apparaitre sur ses bras...Ca ne fit que rajouter à sa culpabilité ! Il se mit à regretter qu'elle ait tué ces 2 salopards car il aurait bien aimé se retrouver seul à seul avec eux !! L'inspecteur de la veille vint la chercher. Elle avait mis une robe rouge legère, dos nus, ses cheveux tombaient en une cascade de boucles. Kiefer adorait cette robe, l'inspecteur aussi apparement..Son regard s'attarda sur les hématomes sur ses bras, Kiefer commençat à comprendre le choix de cette robe, ça le fit sourire...Sa femme était bien plus diabolique qu'il ne l'imaginait et il se demanda combien de fois elle avait piégé lui aussi !!
Il les regarda partir par la fenêtre, l'inspecteur lui ouvrit la portière, il se croyait en rendez vous galant ou quoi celui là !!
Le poste de police de Grenade était juste à côté de l'hôtel, ils auraient presque pu y aller à pied. CARLOS : Vous avez bien dormi madame ? LOIS lui sourit : J'ai connu de nuits plus agréables...Carlos. CARLOS la regarda, elle avait 10 ans de plus que lui mais elle quand il était en sa présence, il se sentait pousser des ailes, il n'avait qu'une envie ; arrêter la voiture et l'embrasser, poser la main sur ses cuisses dorées et...il fallait qu'il se reprenne ! Elle était mariée, mère de famille, riche, célèbre et suspecte ! Il la fit assoir dans la salle d'interrogatoire et elle répéta ce qu'elle avait déjà dit la veille, en détail. Sa déposition fût enregistrée. On l'informa qu'elle allait être inculpée de double homicides mais qu'elle restait libre et que vu les circonstances, elle n'avait pas de souci à se faire, le juge allait sans doute lever les charges contre elle. A priori, l'avocat de Kiefer avait passé qqs coups dd fil, et il confirmait ce que la police venait de lui dire..Elle devait rester en Espagne pdt les 2 mois qui suivent pour des raisons strictement administratives mais elle pourrait ensuite rentrer chez elle. L'inspecteur la raccompagna jusqu'en bas. CARLOS : Vous voici presque libre ! Est ce que vous m'autorisez à vous inviter à déjeuner ? LOIS le dévisagea : |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 20:46 | |
| Il s'occupa des enfants le matin pour la laisser dormir, après les évévements de la veille, leur nounou les avait laissé tomber en rajoutant que Lois était complétement folle ! Kiefer avait bien entendu omis de rapporter ça à sa femme et il espérait que la nounou ne la descendrait pas auprès de la police. Vers 09h00, il vint la réveiller pour qu'elle se prépare pour sa déposition, il enleva doucement le drap qui la recouvrait en dévoilant petit à petit son corps. Les traces de liens avaient laissé 2 traces rouges autour de ces poignets et des énormes hématomes venaient d'apparaitre sur ses bras...Ca ne fit que rajouter à sa culpabilité ! Il se mit à regretter qu'elle ait tué ces 2 salopards car il aurait bien aimé se retrouver seul à seul avec eux !! L'inspecteur de la veille vint la chercher. Elle avait mis une robe rouge legère, dos nus, ses cheveux tombaient en une cascade de boucles. Kiefer adorait cette robe, l'inspecteur aussi apparement..Son regard s'attarda sur les hématomes sur ses bras, Kiefer commençat à comprendre le choix de cette robe, ça le fit sourire...Sa femme était bien plus diabolique qu'il ne l'imaginait et il se demanda combien de fois elle avait piégé lui aussi !!
Il les regarda partir par la fenêtre, l'inspecteur lui ouvrit la portière, il se croyait en rendez vous galant ou quoi celui là !!
Le poste de police de Grenade était juste à côté de l'hôtel, ils auraient presque pu y aller à pied. CARLOS : Vous avez bien dormi madame ? LOIS lui sourit : J'ai connu de nuits plus agréables...Carlos. CARLOS la regarda, elle avait 10 ans de plus que lui mais elle quand il était en sa présence, il se sentait pousser des ailes, il n'avait qu'une envie ; arrêter la voiture et l'embrasser, poser la main sur ses cuisses dorées et...il fallait qu'il se reprenne ! Elle était mariée, mère de famille, riche, célèbre et suspecte ! Il la fit assoir dans la salle d'interrogatoire et elle répéta ce qu'elle avait déjà dit la veille, en détail. Sa déposition fût enregistrée. On l'informa qu'elle allait être inculpée de double homicides mais qu'elle restait libre et que vu les circonstances, elle n'avait pas de souci à se faire, le juge allait sans doute lever les charges contre elle. A priori, l'avocat de Kiefer avait passé qqs coups dd fil, et il confirmait ce que la police venait de lui dire..Elle devait rester en Espagne pdt les 2 mois qui suivent pour des raisons strictement administratives mais elle pourrait ensuite rentrer chez elle. L'inspecteur la raccompagna jusqu'en bas. CARLOS : Vous voici presque libre ! Est ce que vous m'autorisez à vous inviter à déjeuner ? LOIS le dévisagea : A une condition. CARLOS haussa les sourcils en signe d'interrogation. LOIS : On se tutoie et on s'appelle par nos prénoms, inutile de me rappeler que j'ai 10 ans de plus que toi ! CARLOS rit : Ca marche ! Il l'emmena déjeuner dans un petit restaurant sympathique, il semblait tétanisé en sa présence, c'était mignon. LOIS : Je te fais peur ? CARLOS rougit : Non ! En fait....Je suis juste...un peu impressionné. Je n'ai pas l'habitude de fréquenter qqun comme vous...toi. LOIS : Tu habites près d'ici ? CARLOS : Oui à deux pas. LOIS portant son verre de vin à sa bouche : Tu as envie de me montrer ton appartement ? CARLOS surpris : Tu viendrais ? LOIS taquine : Je ne sais pas, faudrait que tu me le demandes... CARLOS appela la serveuse et régla l'addition puis à l'attention de Lois : On s'en va ? LOIS le suivit en silence, il ouvrit la porte de son appartement, elle y entra et posa son sac sur le canapé. Il s'accroupit et lui delaça ses chaussures puis se releva en lui caressa les jambes, une fois à sa hauteur, il l'embrassa, d'abord timidement puis plus passionément. Lois se débarrassa de sa robe en moins de 2, elle se recula pour le regarder enlever son tee-shirt. Il fit glisser ses sous vêtement et la comtempla, nue, se demandant encore ce qu'elle pouvait bien lui trouver...Elle l'attira à lui et l'empêcha de penser à autre chose qu'à elle, il fût englouti dans un tourbillon de sensualité.
CARLOS lui apporta ce qu'elle voulait, l'oubli ! Kiefer avait l'alcool pour se vider la tête, elle c'était les hommes ! Et ce garçon était comme elle l'imaginait, à ses pieds, rien de mieux pour le moral... Elle lui caressa la joue et se leva vers la salle de bains. Elle se rhabilla sous ses yeux. Elle s'assit sur le lit : Je dois partir. CARLOS : Tu reviendras ? LOIS l'embrassa : Je ne crois pas mais j'ai passé un formidable après midi. |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 23:20 | |
| Il s'occupa des enfants le matin pour la laisser dormir, après les évévements de la veille, leur nounou les avait laissé tomber en rajoutant que Lois était complétement folle ! Kiefer avait bien entendu omis de rapporter ça à sa femme et il espérait que la nounou ne la descendrait pas auprès de la police. Vers 09h00, il vint la réveiller pour qu'elle se prépare pour sa déposition, il enleva doucement le drap qui la recouvrait en dévoilant petit à petit son corps. Les traces de liens avaient laissé 2 traces rouges autour de ces poignets et des énormes hématomes venaient d'apparaitre sur ses bras...Ca ne fit que rajouter à sa culpabilité ! Il se mit à regretter qu'elle ait tué ces 2 salopards car il aurait bien aimé se retrouver seul à seul avec eux !! L'inspecteur de la veille vint la chercher. Elle avait mis une robe rouge legère, dos nus, ses cheveux tombaient en une cascade de boucles. Kiefer adorait cette robe, l'inspecteur aussi apparement..Son regard s'attarda sur les hématomes sur ses bras, Kiefer commençat à comprendre le choix de cette robe, ça le fit sourire...Sa femme était bien plus diabolique qu'il ne l'imaginait et il se demanda combien de fois elle avait piégé lui aussi !!
Il les regarda partir par la fenêtre, l'inspecteur lui ouvrit la portière, il se croyait en rendez vous galant ou quoi celui là !!
Le poste de police de Grenade était juste à côté de l'hôtel, ils auraient presque pu y aller à pied. CARLOS : Vous avez bien dormi madame ? LOIS lui sourit : J'ai connu de nuits plus agréables...Carlos. CARLOS la regarda, elle avait 10 ans de plus que lui mais elle quand il était en sa présence, il se sentait pousser des ailes, il n'avait qu'une envie ; arrêter la voiture et l'embrasser, poser la main sur ses cuisses dorées et...il fallait qu'il se reprenne ! Elle était mariée, mère de famille, riche, célèbre et suspecte ! Il la fit assoir dans la salle d'interrogatoire et elle répéta ce qu'elle avait déjà dit la veille, en détail. Sa déposition fût enregistrée. On l'informa qu'elle allait être inculpée de double homicides mais qu'elle restait libre et que vu les circonstances, elle n'avait pas de souci à se faire, le juge allait sans doute lever les charges contre elle. A priori, l'avocat de Kiefer avait passé qqs coups dd fil, et il confirmait ce que la police venait de lui dire..Elle devait rester en Espagne pdt les 2 mois qui suivent pour des raisons strictement administratives mais elle pourrait ensuite rentrer chez elle. L'inspecteur la raccompagna jusqu'en bas. CARLOS : Vous voici presque libre ! Est ce que vous m'autorisez à vous inviter à déjeuner ? LOIS le dévisagea : A une condition. CARLOS haussa les sourcils en signe d'interrogation. LOIS : On se tutoie et on s'appelle par nos prénoms, inutile de me rappeler que j'ai 10 ans de plus que toi ! CARLOS rit : Ca marche ! Il l'emmena déjeuner dans un petit restaurant sympathique, il semblait tétanisé en sa présence, c'était mignon. LOIS : Je te fais peur ? CARLOS rougit : Non ! En fait....Je suis juste...un peu impressionné. Je n'ai pas l'habitude de fréquenter qqun comme vous...toi. LOIS : Tu habites près d'ici ? CARLOS : Oui à deux pas. LOIS portant son verre de vin à sa bouche : Tu as envie de me montrer ton appartement ? CARLOS surpris : Tu viendrais ? LOIS taquine : Je ne sais pas, faudrait que tu me le demandes... CARLOS appela la serveuse et régla l'addition puis à l'attention de Lois : On s'en va ? LOIS le suivit en silence, il ouvrit la porte de son appartement, elle y entra et posa son sac sur le canapé. Il s'accroupit et lui delaça ses chaussures puis se releva en lui caressa les jambes, une fois à sa hauteur, il l'embrassa, d'abord timidement puis plus passionément. Lois se débarrassa de sa robe en moins de 2, elle se recula pour le regarder enlever son tee-shirt. Il fit glisser ses sous vêtement et la comtempla, nue, se demandant encore ce qu'elle pouvait bien lui trouver...Elle l'attira à lui et l'empêcha de penser à autre chose qu'à elle, il fût englouti dans un tourbillon de sensualité.
CARLOS lui apporta ce qu'elle voulait, l'oubli ! Kiefer avait l'alcool pour se vider la tête, elle c'était les hommes ! Et ce garçon était comme elle l'imaginait, à ses pieds, rien de mieux pour le moral... Elle lui caressa la joue et se leva vers la salle de bains. Elle se rhabilla sous ses yeux. Elle s'assit sur le lit : Je dois partir. CARLOS : Tu reviendras ? LOIS l'embrassa : Je ne crois pas mais j'ai passé un formidable après midi.
Lorsqu’elle arriva à l’hôtel il n’y avait personne, Kiefer lui avait laissé un mot : « J’espère que tu as passé un bon après-midi… j’ai essayé de te joindre ce midi au commissariat mais on m’a dit que tu étais déjà partie. J’emmène les enfants dîner en ville. » Elle essaya de le joindre sur son portable mais tomba sur la messagerie, elle savait d’instinct que c’était mauvais signe et qu’il devait être furieux contre elle… Elle se fit couler un bain et essaya de se vider la tête. Elle était couchée lorsqu’elle l’entendit rentrer avec les enfants. Il s’occupa de les coucher puis alla se servir une bonne rasade de whisky et s’installa sur la terrasse. Il n’avait aucune envie d’aller rejoindre Lois pour le moment, il était beaucoup trop chamboulé pour ça, il avait pris sur lui tout l’après-midi car les enfants étaient avec lui mais là, il avait besoin d’être seul. Il se prit la tête entre les mains et sentit sa gorge se serrer, tout allait trop bien depuis quelques mois, comment tout cela avait il pu changer en seulement deux jours… Lois, voyant que Kiefer ne se décidait pas à venir se coucher, se leva, enfila une robe de chambre et alla le retrouver. Il était debout, accoudé au balcon, le regard dans le vide… Il l’entendit arriver et lui dit d’un ton sec sans se retourner : - C’était plus fort que toi, tu n'as pas pu t'empêcher de faire ton numéro de charme jusqu'au bout, il a fallu que tu couches avec lui !! Une façon de le remercier sans doute… J'espère qu'il a apprécié à sa juste valeur. - Kiefer… Il se retourna et la fusilla du regard, elle vit tout de suite qu’il avait pleuré. - Non !! Surtout ne dis rien ! Je ne veux pas d’explications. J’ai pas besoin de savoir pourquoi tu as fait ça, j’ai juste besoin de prendre l’air. Il passa à côté d’elle sans un regard et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, il se retourna et la regarda droit dans les yeux avant d’ajouter : - Oublie cette histoire de mariage… Il laissa sa phrase en suspens un instant : -…C’était stupide de ma part. Puis il sortit sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit. Lois avait envie de le rattraper mais elle ne pouvait pas laisser les enfants seuls et puis surtout dans l'état où il était, ça ne servirait à rien... Elle savait qu’elle lui avait fait beaucoup de mal et elle s’en voulut une fois de plus. Kiefer ne rentra pas dormir cette nuit là ni celle d’après… Il s’était pris une chambre proche du lieu du tournage et il enchaînait les journées de boulot comme toujours pour évacuer sa peine… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Dim 1 Avr - 23:58 | |
| CARLOS lui apporta ce qu'elle voulait, l'oubli ! Kiefer avait l'alcool pour se vider la tête, elle c'était les hommes ! Et ce garçon était comme elle l'imaginait, à ses pieds, rien de mieux pour le moral... Elle lui caressa la joue et se leva vers la salle de bains. Elle se rhabilla sous ses yeux. Elle s'assit sur le lit : Je dois partir. CARLOS : Tu reviendras ? LOIS l'embrassa : Je ne crois pas mais j'ai passé un formidable après midi.
Lorsqu’elle arriva à l’hôtel il n’y avait personne, Kiefer lui avait laissé un mot : « J’espère que tu as passé un bon après-midi… j’ai essayé de te joindre ce midi au commissariat mais on m’a dit que tu étais déjà partie. J’emmène les enfants dîner en ville. » Elle essaya de le joindre sur son portable mais tomba sur la messagerie, elle savait d’instinct que c’était mauvais signe et qu’il devait être furieux contre elle… Elle se fit couler un bain et essaya de se vider la tête. Elle était couchée lorsqu’elle l’entendit rentrer avec les enfants. Il s’occupa de les coucher puis alla se servir une bonne rasade de whisky et s’installa sur la terrasse. Il n’avait aucune envie d’aller rejoindre Lois pour le moment, il était beaucoup trop chamboulé pour ça, il avait pris sur lui tout l’après-midi car les enfants étaient avec lui mais là, il avait besoin d’être seul. Il se prit la tête entre les mains et sentit sa gorge se serrer, tout allait trop bien depuis quelques mois, comment tout cela avait il pu changer en seulement deux jours… Lois, voyant que Kiefer ne se décidait pas à venir se coucher, se leva, enfila une robe de chambre et alla le retrouver. Il était debout, accoudé au balcon, le regard dans le vide… Il l’entendit arriver et lui dit d’un ton sec sans se retourner : - C’était plus fort que toi, tu n'as pas pu t'empêcher de faire ton numéro de charme jusqu'au bout, il a fallu que tu couches avec lui !! Une façon de le remercier sans doute… J'espère qu'il a apprécié à sa juste valeur. - Kiefer… Il se retourna et la fusilla du regard, elle vit tout de suite qu’il avait pleuré. - Non !! Surtout ne dis rien ! Je ne veux pas d’explications. J’ai pas besoin de savoir pourquoi tu as fait ça, j’ai juste besoin de prendre l’air. Il passa à côté d’elle sans un regard et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, il se retourna et la regarda droit dans les yeux avant d’ajouter : - Oublie cette histoire de mariage… Il laissa sa phrase en suspens un instant : -…C’était stupide de ma part. Puis il sortit sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit. Lois avait envie de le rattraper mais elle ne pouvait pas laisser les enfants seuls et puis surtout dans l'état où il était, ça ne servirait à rien... Elle savait qu’elle lui avait fait beaucoup de mal et elle s’en voulut une fois de plus. Kiefer ne rentra pas dormir cette nuit là ni celle d’après… Il s’était pris une chambre proche du lieu du tournage et il enchaînait les journées de boulot comme toujours pour évacuer sa peine.
Lois revit Carlos une seule fois, quand il lui annonçat qu'elle pouvait rentrer chez elle. CARLOS : Tu vas bien ? LOIS lui sourit : Non mais j'ai l'habitude.. CARLOS lui posa les mains sur ses épaules : Je ne t'oublierai pas Lois, si tu as besoin de moi, tu connais mon adresse. LOIS : Crois moi, il vaut mieux pour toi qu'on ne se revoit pas. CARLOS : Tu vas rentrer chez toi en Amérique ? LOIS : L'Amérique ce n'est pas chez moi....Et puis avec cette histoire, je ne suis pas prête d'y montrer le bout de mon nez. Elle ferma les yeux : J'ai bcp de pbs à régler, un passé à évacuer, des défauts à corriger, une vie à reprendre et je n'ai aucune idée de la façon dont je vais m'y prendre. CARLOS : Pourquoi tu veux changer, moi je t'aime comme tu es ?! LOIS : Tu dis ça parce que tu ne me connais pas, crois moi, je brise tous ceux qui m'aiment...Je ne peux pas m'en empêcher...Cette prise d'otage m'a secouée sans doute plus que je ne le croyais...Le juge est d'accord pour que je quitte l'Espagne ? CARLOS : Oui, tu es libre.
Elle passa à la maison, fit ses valises, dit au revoir à ses enfants, les confia à leur nouvelle nounou et partit pour l'aéroport. Quiiter Jonas était un déchirement mais elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle parte sinon elle finirait par leur faire du mal à eux aussi...Kiefer ne lui parlait plus alors elle lui laissa un mot à la Prod de son tournage... Elle regarda les avions attérir et décoller, elle avait connu et fait tellement de choses dans sa vie, sans doute plus que la plupart des gens mais pourtant elle se sentait comme une coquille vide...L'hotesse appela les passagers pour Bombay, Lois rejoignit les autres voyageurs.
Après une dure journée de tournage, Kiefer s'apprêtait à rentrer à son hôtel, il était vanné, vidé..comme tous les soirs depuis 10j. Le vigile l'appela pour lui donner un courrier, il reconnut l'écriture de Lois immédiatement. Il attendit d'être seul dans sa voiture pour ouvrir l'enveloppe. "Kiefer, je ne vais pas t'expliquer pourquoi j'ai fait ça, ça ne servirait à rien. Tu as clairement souhaité que je disparaisse de ta vie, je crois que c'est effectivement la meilleure à faire. Je te laisse les enfants, là où je vais, je ne peux pas les emmener. J'espère qu'un jour tu me pardonneras. Tu es le seul homme que j'ai vraiment aimé et c'est cette image que je garderai de toi"
Il froissa la lettre et la jeta par terre, il frappa plusieurs fois le volant puis se mit à pleurer. Il essuya les larmes du dos de la main et se précipita vers la maison. |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Lun 2 Avr - 1:05 | |
| CARLOS lui apporta ce qu'elle voulait, l'oubli ! Kiefer avait l'alcool pour se vider la tête, elle c'était les hommes ! Et ce garçon était comme elle l'imaginait, à ses pieds, rien de mieux pour le moral... Elle lui caressa la joue et se leva vers la salle de bains. Elle se rhabilla sous ses yeux. Elle s'assit sur le lit : Je dois partir. CARLOS : Tu reviendras ? LOIS l'embrassa : Je ne crois pas mais j'ai passé un formidable après midi.
Lorsqu’elle arriva à l’hôtel il n’y avait personne, Kiefer lui avait laissé un mot : « J’espère que tu as passé un bon après-midi… j’ai essayé de te joindre ce midi au commissariat mais on m’a dit que tu étais déjà partie. J’emmène les enfants dîner en ville. » Elle essaya de le joindre sur son portable mais tomba sur la messagerie, elle savait d’instinct que c’était mauvais signe et qu’il devait être furieux contre elle… Elle se fit couler un bain et essaya de se vider la tête. Elle était couchée lorsqu’elle l’entendit rentrer avec les enfants. Il s’occupa de les coucher puis alla se servir une bonne rasade de whisky et s’installa sur la terrasse. Il n’avait aucune envie d’aller rejoindre Lois pour le moment, il était beaucoup trop chamboulé pour ça, il avait pris sur lui tout l’après-midi car les enfants étaient avec lui mais là, il avait besoin d’être seul. Il se prit la tête entre les mains et sentit sa gorge se serrer, tout allait trop bien depuis quelques mois, comment tout cela avait il pu changer en seulement deux jours… Lois, voyant que Kiefer ne se décidait pas à venir se coucher, se leva, enfila une robe de chambre et alla le retrouver. Il était debout, accoudé au balcon, le regard dans le vide… Il l’entendit arriver et lui dit d’un ton sec sans se retourner : - C’était plus fort que toi, tu n'as pas pu t'empêcher de faire ton numéro de charme jusqu'au bout, il a fallu que tu couches avec lui !! Une façon de le remercier sans doute… J'espère qu'il a apprécié à sa juste valeur. - Kiefer… Il se retourna et la fusilla du regard, elle vit tout de suite qu’il avait pleuré. - Non !! Surtout ne dis rien ! Je ne veux pas d’explications. J’ai pas besoin de savoir pourquoi tu as fait ça, j’ai juste besoin de prendre l’air. Il passa à côté d’elle sans un regard et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, il se retourna et la regarda droit dans les yeux avant d’ajouter : - Oublie cette histoire de mariage… Il laissa sa phrase en suspens un instant : -…C’était stupide de ma part. Puis il sortit sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit. Lois avait envie de le rattraper mais elle ne pouvait pas laisser les enfants seuls et puis surtout dans l'état où il était, ça ne servirait à rien... Elle savait qu’elle lui avait fait beaucoup de mal et elle s’en voulut une fois de plus. Kiefer ne rentra pas dormir cette nuit là ni celle d’après… Il s’était pris une chambre proche du lieu du tournage et il enchaînait les journées de boulot comme toujours pour évacuer sa peine.
Lois revit Carlos une seule fois, quand il lui annonçat qu'elle pouvait rentrer chez elle. CARLOS : Tu vas bien ? LOIS lui sourit : Non mais j'ai l'habitude.. CARLOS lui posa les mains sur ses épaules : Je ne t'oublierai pas Lois, si tu as besoin de moi, tu connais mon adresse. LOIS : Crois moi, il vaut mieux pour toi qu'on ne se revoit pas. CARLOS : Tu vas rentrer chez toi en Amérique ? LOIS : L'Amérique ce n'est pas chez moi....Et puis avec cette histoire, je ne suis pas prête d'y montrer le bout de mon nez. Elle ferma les yeux : J'ai bcp de pbs à régler, un passé à évacuer, des défauts à corriger, une vie à reprendre et je n'ai aucune idée de la façon dont je vais m'y prendre. CARLOS : Pourquoi tu veux changer, moi je t'aime comme tu es ?! LOIS : Tu dis ça parce que tu ne me connais pas, crois moi, je brise tous ceux qui m'aiment...Je ne peux pas m'en empêcher...Cette prise d'otage m'a secouée sans doute plus que je ne le croyais...Le juge est d'accord pour que je quitte l'Espagne ? CARLOS : Oui, tu es libre.
Elle passa à la maison, fit ses valises, dit au revoir à ses enfants, les confia à leur nouvelle nounou et partit pour l'aéroport. Quiiter Jonas était un déchirement mais elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle parte sinon elle finirait par leur faire du mal à eux aussi...Kiefer ne lui parlait plus alors elle lui laissa un mot à la Prod de son tournage... Elle regarda les avions attérir et décoller, elle avait connu et fait tellement de choses dans sa vie, sans doute plus que la plupart des gens mais pourtant elle se sentait comme une coquille vide...L'hotesse appela les passagers pour Bombay, Lois rejoignit les autres voyageurs.
Après une dure journée de tournage, Kiefer s'apprêtait à rentrer à son hôtel, il était vanné, vidé..comme tous les soirs depuis 10j. Le vigile l'appela pour lui donner un courrier, il reconnut l'écriture de Lois immédiatement. Il attendit d'être seul dans sa voiture pour ouvrir l'enveloppe. "Kiefer, je ne vais pas t'expliquer pourquoi j'ai fait ça, ça ne servirait à rien. Tu as clairement souhaité que je disparaisse de ta vie, je crois que c'est effectivement la meilleure à faire. Je te laisse les enfants, là où je vais, je ne peux pas les emmener. J'espère qu'un jour tu me pardonneras. Tu es le seul homme que j'ai vraiment aimé et c'est cette image que je garderai de toi"
Il froissa la lettre et la jeta par terre, il frappa plusieurs fois le volant puis se mit à pleurer. Il essuya les larmes du dos de la main et se précipita vers la maison. Quand il arriva, Lois n'était pas là, la nourrice lui expliqua qu'elle était partie depuis environ 2 heures... Bon dieu il fallait qu'elle soit désespérée pour laisser ses enfants. Il prit Jonas dans ses bras et le serra très fort contre lui, il était encore si petit… Il fallait qu’il fasse quelque chose… Les enfants avaient besoin d’elle et lui aussi… Il laissa les enfants à la nourrice et se rendit immédiatement à l’aéroport… En chemin, il repensa à ces 10 derniers jours, cent fois il avait regardé sa messagerie pour voir si Lois avait laissé un message, il avait espéré secrètement tous les jours qu’elle vienne le retrouver ou qu‘elle lui fasse un signe… Plusieurs fois, il était venu jusqu’à la maison, avait hésité de longues minutes dans la voiture et jamais il n’avait trouvé le courage d’entrer… Et puis, tout à l’heure, quand il avait serré Jonas dans ses bras, il avait compris qu’il ne pouvait pas la laisser partir… Il arriva à l’aéroport et sortit en trombe de la voiture…
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Lun 2 Avr - 7:37 | |
| Lorsqu’elle arriva à l’hôtel il n’y avait personne, Kiefer lui avait laissé un mot : « J’espère que tu as passé un bon après-midi… j’ai essayé de te joindre ce midi au commissariat mais on m’a dit que tu étais déjà partie. J’emmène les enfants dîner en ville. » Elle essaya de le joindre sur son portable mais tomba sur la messagerie, elle savait d’instinct que c’était mauvais signe et qu’il devait être furieux contre elle… Elle se fit couler un bain et essaya de se vider la tête. Elle était couchée lorsqu’elle l’entendit rentrer avec les enfants. Il s’occupa de les coucher puis alla se servir une bonne rasade de whisky et s’installa sur la terrasse. Il n’avait aucune envie d’aller rejoindre Lois pour le moment, il était beaucoup trop chamboulé pour ça, il avait pris sur lui tout l’après-midi car les enfants étaient avec lui mais là, il avait besoin d’être seul. Il se prit la tête entre les mains et sentit sa gorge se serrer, tout allait trop bien depuis quelques mois, comment tout cela avait il pu changer en seulement deux jours… Lois, voyant que Kiefer ne se décidait pas à venir se coucher, se leva, enfila une robe de chambre et alla le retrouver. Il était debout, accoudé au balcon, le regard dans le vide… Il l’entendit arriver et lui dit d’un ton sec sans se retourner : - C’était plus fort que toi, tu n'as pas pu t'empêcher de faire ton numéro de charme jusqu'au bout, il a fallu que tu couches avec lui !! Une façon de le remercier sans doute… J'espère qu'il a apprécié à sa juste valeur. - Kiefer… Il se retourna et la fusilla du regard, elle vit tout de suite qu’il avait pleuré. - Non !! Surtout ne dis rien ! Je ne veux pas d’explications. J’ai pas besoin de savoir pourquoi tu as fait ça, j’ai juste besoin de prendre l’air. Il passa à côté d’elle sans un regard et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, il se retourna et la regarda droit dans les yeux avant d’ajouter : - Oublie cette histoire de mariage… Il laissa sa phrase en suspens un instant : -…C’était stupide de ma part. Puis il sortit sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit. Lois avait envie de le rattraper mais elle ne pouvait pas laisser les enfants seuls et puis surtout dans l'état où il était, ça ne servirait à rien... Elle savait qu’elle lui avait fait beaucoup de mal et elle s’en voulut une fois de plus. Kiefer ne rentra pas dormir cette nuit là ni celle d’après… Il s’était pris une chambre proche du lieu du tournage et il enchaînait les journées de boulot comme toujours pour évacuer sa peine.
Lois revit Carlos une seule fois, quand il lui annonçat qu'elle pouvait rentrer chez elle. CARLOS : Tu vas bien ? LOIS lui sourit : Non mais j'ai l'habitude.. CARLOS lui posa les mains sur ses épaules : Je ne t'oublierai pas Lois, si tu as besoin de moi, tu connais mon adresse. LOIS : Crois moi, il vaut mieux pour toi qu'on ne se revoit pas. CARLOS : Tu vas rentrer chez toi en Amérique ? LOIS : L'Amérique ce n'est pas chez moi....Et puis avec cette histoire, je ne suis pas prête d'y montrer le bout de mon nez. Elle ferma les yeux : J'ai bcp de pbs à régler, un passé à évacuer, des défauts à corriger, une vie à reprendre et je n'ai aucune idée de la façon dont je vais m'y prendre. CARLOS : Pourquoi tu veux changer, moi je t'aime comme tu es ?! LOIS : Tu dis ça parce que tu ne me connais pas, crois moi, je brise tous ceux qui m'aiment...Je ne peux pas m'en empêcher...Cette prise d'otage m'a secouée sans doute plus que je ne le croyais...Le juge est d'accord pour que je quitte l'Espagne ? CARLOS : Oui, tu es libre.
Elle passa à la maison, fit ses valises, dit au revoir à ses enfants, les confia à leur nouvelle nounou et partit pour l'aéroport. Quiiter Jonas était un déchirement mais elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle parte sinon elle finirait par leur faire du mal à eux aussi...Kiefer ne lui parlait plus alors elle lui laissa un mot à la Prod de son tournage... Elle regarda les avions attérir et décoller, elle avait connu et fait tellement de choses dans sa vie, sans doute plus que la plupart des gens mais pourtant elle se sentait comme une coquille vide...L'hotesse appela les passagers pour Bombay, Lois rejoignit les autres voyageurs.
Après une dure journée de tournage, Kiefer s'apprêtait à rentrer à son hôtel, il était vanné, vidé..comme tous les soirs depuis 10j. Le vigile l'appela pour lui donner un courrier, il reconnut l'écriture de Lois immédiatement. Il attendit d'être seul dans sa voiture pour ouvrir l'enveloppe. "Kiefer, je ne vais pas t'expliquer pourquoi j'ai fait ça, ça ne servirait à rien. Tu as clairement souhaité que je disparaisse de ta vie, je crois que c'est effectivement la meilleure à faire. Je te laisse les enfants, là où je vais, je ne peux pas les emmener. J'espère qu'un jour tu me pardonneras. Tu es le seul homme que j'ai vraiment aimé et c'est cette image que je garderai de toi"
Il froissa la lettre et la jeta par terre, il frappa plusieurs fois le volant puis se mit à pleurer. Il essuya les larmes du dos de la main et se précipita vers la maison. Quand il arriva, Lois n'était pas là, la nourrice lui expliqua qu'elle était partie depuis environ 2 heures... Bon dieu il fallait qu'elle soit désespérée pour laisser ses enfants. Il prit Jonas dans ses bras et le serra très fort contre lui, il était encore si petit… Il fallait qu’il fasse quelque chose… Les enfants avaient besoin d’elle et lui aussi… Il laissa les enfants à la nourrice et se rendit immédiatement à l’aéroport… En chemin, il repensa à ces 10 derniers jours, cent fois il avait regardé sa messagerie pour voir si Lois avait laissé un message, il avait espéré secrètement tous les jours qu’elle vienne le retrouver ou qu‘elle lui fasse un signe… Plusieurs fois, il était venu jusqu’à la maison, avait hésité de longues minutes dans la voiture et jamais il n’avait trouvé le courage d’entrer… Et puis, tout à l’heure, quand il avait serré Jonas dans ses bras, il avait compris qu’il ne pouvait pas la laisser partir… Il arriva à l’aéroport et sortit en trombe de la voiture…
L'aéroport de GRENADE était tout petit, il n'eut pas de mal à voir qu'il arrivait trop tard, Lois n'était nulle part...Il y avait 3 destinations qui venaient juste de s'envoler : PARIS, MILAN et BOMBAY..."La où je vais je e peux emmener les enfants" BOMBAY était donc la destination..Mais qu'est ce qu'elle allait foutre à BOMBAY !! Il appela Matthew. MATTHEW : Eh mon ami américain ! Comment vas tu ? KIEFER : Pas terrible. Il lui expliqua succintement la situation. KIEFER : Tu as une idée de ce qu'elle va faire là bas ? MATTHEW : Eh bien, elle a tjs eu envie de visiter l'Inde, le Népal..Je crois qu'elle a juste besoin de se retrouver...Tu sais, je lui ai parlé après qu'elle ait tué ces 2 gars, elle était drôlement secouée...Et tu sais comment elle est quand elle est mal, elle a besoin de sentir qu'elle plait, qu'on la désire...Enfin cet inspecteur, c'était sa bouteille de whisky à elle, je sais que tu n'as pas envie d'entendre ça mais ce n'était pas grave ! KIEFER soupira : Je sais tout ça mais ...je ne peux pas la laisser faire, ça me fait trop mal quand elle est comme ça ! MATTHEW : Si elle est partie, c'est qu'elle a besoin d'être seule, ça serait une erreur d'essayer de la retrouver...Elle t'a confié les enfants, occupe t en, elle reviendra d'elle même.. KIEFER cria : Quand ? Elle va revenir quand ! Qu est ce que je dis aux enfants ! Je ne peux pas imaginer qu'on va être encore séparé de longues semaines.. MATTHEW calme : C est mon avis..Tu en fais ce que tu en veux. Embrasse les enfants pour moi.
Il racrocha, il savait que Matthew avait raison, elle avait des choses à régler et elle voulait les faire seule...Il avait encore 2 semaines de travail ici après il aviserait. 2 semaines difficiles; travailler, passer du temps avec les petits, imagine ce que faisait Lois à chaque instant..avec qui elle était....Dès que le téléphone sonnait, il espérait que ce soit elle.... Il savait qu'elle allait bien car elle avait appelé Emad plusieurs fois ainsi que les enfants quand il était au travail. Elle l'évitait et ça lui faisait mal... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 0:28 | |
| L'aéroport de GRENADE était tout petit, il n'eut pas de mal à voir qu'il arrivait trop tard, Lois n'était nulle part...Il y avait 3 destinations qui venaient juste de s'envoler : PARIS, MILAN et BOMBAY..."La où je vais je e peux emmener les enfants" BOMBAY était donc la destination..Mais qu'est ce qu'elle allait foutre à BOMBAY !! Il appela Matthew. MATTHEW : Eh mon ami américain ! Comment vas tu ? KIEFER : Pas terrible. Il lui expliqua succintement la situation. KIEFER : Tu as une idée de ce qu'elle va faire là bas ? MATTHEW : Eh bien, elle a tjs eu envie de visiter l'Inde, le Népal..Je crois qu'elle a juste besoin de se retrouver...Tu sais, je lui ai parlé après qu'elle ait tué ces 2 gars, elle était drôlement secouée...Et tu sais comment elle est quand elle est mal, elle a besoin de sentir qu'elle plait, qu'on la désire...Enfin cet inspecteur, c'était sa bouteille de whisky à elle, je sais que tu n'as pas envie d'entendre ça mais ce n'était pas grave ! KIEFER soupira : Je sais tout ça mais ...je ne peux pas la laisser faire, ça me fait trop mal quand elle est comme ça ! MATTHEW : Si elle est partie, c'est qu'elle a besoin d'être seule, ça serait une erreur d'essayer de la retrouver...Elle t'a confié les enfants, occupe t en, elle reviendra d'elle même.. KIEFER cria : Quand ? Elle va revenir quand ! Qu est ce que je dis aux enfants ! Je ne peux pas imaginer qu'on va être encore séparé de longues semaines.. MATTHEW calme : C est mon avis..Tu en fais ce que tu en veux. Embrasse les enfants pour moi.
Il racrocha, il savait que Matthew avait raison, elle avait des choses à régler et elle voulait les faire seule...Il avait encore 2 semaines de travail ici après il aviserait. 2 semaines difficiles; travailler, passer du temps avec les petits, imagine ce que faisait Lois à chaque instant..avec qui elle était....Dès que le téléphone sonnait, il espérait que ce soit elle.... Il savait qu'elle allait bien car elle avait appelé Emad plusieurs fois ainsi que les enfants quand il était au travail. Elle l'évitait et ça lui faisait mal d'un autre côté, il l'avait viré de sa vie alors...
Lui qui n'ouvrait jamais un relevé de compte avait épluché ses relevés de cartes pour savoir où elle était mais elle n'avait pas retiré un dollar...Juste les 1 000 EUROS à l'aéroport de Grenade...Elle n'utilisait pas son portable qu'elle avait laissé à la maison. Ca l'inquiétait, il ne savait pas de quoi elle vivait. Son tournage se finissait demain, lls allaient rentrer à L.A., sans elle...
Elle aimait l'Asie et elle y avait vécu de nbreuses années mais elle n'était pas préparée à ça ! L'inde était à part, si belle et si cruelle...Ses palais majestueux cotoyaient la misère la plus noire, dans la rue il n'était pas rare d'enjamber les cadavres... L'artiste qu'elle était ne savait plus où donner de la tête devant toutes les merveilles qui s'offraient à elle, la mère était déchirée de voir les enfants mourir de faim. sur le trottoir. Elle savait qu'elle devait trouver rapidement du travail si elle voulait rester. Elle avait laissé son téléphone en Espagne et jeté sa carte VISA dans une poubelle. Dans son sac à dos, il n'y avait pas grand chose.. Elle avait loué une petite chambre dans un quartier calme, elle avait posé une photo de Kiefer et des enfants sur la table de nuit, son seul bien. Parfois la nuit, elle avait si mal qu'elle en aurait hurlé...Elle avait essayé l'Opium mais ça ne lui avait apporté aucun réconfort. Un soir qu'elle rentrait dans sa chambre, elle croisa son voisin de chambre, ils se regardèrent, leurs vêtements trempés de sueur... HOMME : Salut, ça ne vous dis pas un verre, rien que de penser à me retrouver seul sur mon lit avec comme seul compagnon mon ventilateur grinçant, j'ai des envies de meurtres ! LOIS lui sourit : Si je peux éviter un meurtre ! J'ai le temps de prendre une douche ? HOMME rit : Oui, on se retrouve au petit café en face ? LOIS : Ok.
Il était déjà là quand elle ressortit. LOIS commanda une bière au serveur. HOMME : Je m'appelle Christobald, inutile de rire, je suis blindé ! Appelez moi Chris. LOIS sourit : Et moi Lois et non je ne suis pas venue avec Superman ! CHRIS surpris: Française ? LOIS : C est mon pays d'adoption mais ce n'est pas ma nationalité. Toi par contre, tu as l'accent de Marseille ! CHRIS se mettant à parler français : Grillé ! Je suis heureux de pouvoir parler français...Tu es en vacances ? LOIS vague : Pas vraiment...Et toi ? CHRIS : Non, je travaille pour une OMG, je suis en transit ici, je dois partir pour Dehli à la fin de la semaine. LOIS sourit : Oh "French doctor" ! CHRIS embarrassé : C est ça |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 2:07 | |
| L'aéroport de GRENADE était tout petit, il n'eut pas de mal à voir qu'il arrivait trop tard, Lois n'était nulle part...Il y avait 3 destinations qui venaient juste de s'envoler : PARIS, MILAN et BOMBAY..."La où je vais je e peux emmener les enfants" BOMBAY était donc la destination..Mais qu'est ce qu'elle allait foutre à BOMBAY !! Il appela Matthew. MATTHEW : Eh mon ami américain ! Comment vas tu ? KIEFER : Pas terrible. Il lui expliqua succintement la situation. KIEFER : Tu as une idée de ce qu'elle va faire là bas ? MATTHEW : Eh bien, elle a tjs eu envie de visiter l'Inde, le Népal..Je crois qu'elle a juste besoin de se retrouver...Tu sais, je lui ai parlé après qu'elle ait tué ces 2 gars, elle était drôlement secouée...Et tu sais comment elle est quand elle est mal, elle a besoin de sentir qu'elle plait, qu'on la désire...Enfin cet inspecteur, c'était sa bouteille de whisky à elle, je sais que tu n'as pas envie d'entendre ça mais ce n'était pas grave ! KIEFER soupira : Je sais tout ça mais ...je ne peux pas la laisser faire, ça me fait trop mal quand elle est comme ça ! MATTHEW : Si elle est partie, c'est qu'elle a besoin d'être seule, ça serait une erreur d'essayer de la retrouver...Elle t'a confié les enfants, occupe t en, elle reviendra d'elle même.. KIEFER cria : Quand ? Elle va revenir quand ! Qu est ce que je dis aux enfants ! Je ne peux pas imaginer qu'on va être encore séparé de longues semaines.. MATTHEW calme : C est mon avis..Tu en fais ce que tu en veux. Embrasse les enfants pour moi.
Il racrocha, il savait que Matthew avait raison, elle avait des choses à régler et elle voulait les faire seule...Il avait encore 2 semaines de travail ici après il aviserait. 2 semaines difficiles; travailler, passer du temps avec les petits, imagine ce que faisait Lois à chaque instant..avec qui elle était....Dès que le téléphone sonnait, il espérait que ce soit elle.... Il savait qu'elle allait bien car elle avait appelé Emad plusieurs fois ainsi que les enfants quand il était au travail. Elle l'évitait et ça lui faisait mal d'un autre côté, il l'avait viré de sa vie alors...
Lui qui n'ouvrait jamais un relevé de compte avait épluché ses relevés de cartes pour savoir où elle était mais elle n'avait pas retiré un dollar...Juste les 1 000 EUROS à l'aéroport de Grenade...Elle n'utilisait pas son portable qu'elle avait laissé à la maison. Ca l'inquiétait, il ne savait pas de quoi elle vivait. Son tournage se finissait demain, lls allaient rentrer à L.A., sans elle...
Elle aimait l'Asie et elle y avait vécu de nbreuses années mais elle n'était pas préparée à ça ! L'inde était à part, si belle et si cruelle...Ses palais majestueux cotoyaient la misère la plus noire, dans la rue il n'était pas rare d'enjamber les cadavres... L'artiste qu'elle était ne savait plus où donner de la tête devant toutes les merveilles qui s'offraient à elle, la mère était déchirée de voir les enfants mourir de faim. sur le trottoir. Elle savait qu'elle devait trouver rapidement du travail si elle voulait rester. Elle avait laissé son téléphone en Espagne et jeté sa carte VISA dans une poubelle. Dans son sac à dos, il n'y avait pas grand chose.. Elle avait loué une petite chambre dans un quartier calme, elle avait posé une photo de Kiefer et des enfants sur la table de nuit, son seul bien. Parfois la nuit, elle avait si mal qu'elle en aurait hurlé...Elle avait essayé l'Opium mais ça ne lui avait apporté aucun réconfort. Un soir qu'elle rentrait dans sa chambre, elle croisa son voisin de chambre, ils se regardèrent, leurs vêtements trempés de sueur... HOMME : Salut, ça ne vous dis pas un verre, rien que de penser à me retrouver seul sur mon lit avec comme seul compagnon mon ventilateur grinçant, j'ai des envies de meurtres ! LOIS lui sourit : Si je peux éviter un meurtre ! J'ai le temps de prendre une douche ? HOMME rit : Oui, on se retrouve au petit café en face ? LOIS : Ok.
Il était déjà là quand elle ressortit. LOIS commanda une bière au serveur. HOMME : Je m'appelle Christobald, inutile de rire, je suis blindé ! Appelez moi Chris. LOIS sourit : Et moi Lois et non je ne suis pas venue avec Superman ! CHRIS surpris: Française ? LOIS : C est mon pays d'adoption mais ce n'est pas ma nationalité. Toi par contre, tu as l'accent de Marseille ! CHRIS se mettant à parler français : Grillé ! Je suis heureux de pouvoir parler français...Tu es en vacances ? LOIS vague : Pas vraiment...Et toi ? CHRIS : Non, je travaille pour une OMG, je suis en transit ici, je dois partir pour Dehli à la fin de la semaine. LOIS sourit : Oh "French doctor" ! CHRIS embarrassé : C est ça... Et toi alors ? Si tu n’es pas en vacances, qu’est tu donc venue faire ici ? LOIS : En fait, ma vie est assez compliquée en ce moment… j’avais besoin de prendre un peu de recul et j’ai toujours adoré l’Asie. Elle lui raconta en détail ces anciens chantiers, Chris l’écoutait d’un air passionné et ils passèrent une bonne partie de la soirée à boire et à se raconter leurs vies. Lorsqu’ils rentrèrent à leurs chambres, Chris lui fit promettre de manger avec lui le lendemain soir et Lois accepta heureuse de pouvoir se changer les idées.
Kiefer était rentré à Los Angeles avec les enfants. Il était inquiet pour Elliot, il faisait beaucoup de cauchemars depuis que sa mère était partie… Lorsque ça arrivait, Kiefer le prenait avec lui et le berçait dans ses bras jusqu’à ce qu’il se rendorme. Un jour, n’y tenant plus, il alla voir Sarah et Emad espérant avoir des nouvelles de Lois mais celle-ci n’avait pas appelé depuis plusieurs jours. Sarah lui proposa de garder les enfants avec eux deux ou trois jours pour leur changer les idées et Kiefer accepta. Il rentra à son appart et appela ses potes, il avait une envie irrépressible de sortir et de boire un verre… Ils firent la tournée des bars et Kiefer but jusqu’à ne plus penser à rien. Il passa toute la semaine suivante entre Ironworks et les soirées arrosées entre potes. Certains soirs il rentrait avec une fille, d’autres pas, de toute façon la seule chose qu’il voulait c’était ne plus penser à rien, se vider la tête. Il avait récupéré les enfants et quand il sortait, il les confiait à la nounou. Lois n’avait toujours pas donné de signe de vie, ni aux enfants, ni à Emad… Une nuit où il était rentré fort tard, Kiefer fut réveillé par les cris d’Eliott, il bondit hors de son lit et entra dans la chambre de son fils. Eliott était assis sur son lit, il était en sueur et il délirait complètement. Kiefer ne l’avait jamais vu dans cet état, il appela les urgences…
Pendant ce temps à Bombay, Lois s’était fait embaucher grâce à Chris, elle s’occupait des enfants malades et tous les soirs, Chris et elle se retrouvaient pour boire un verre, manger ensembles et déambuler dans les rues avant de rentrer se coucher. Lois avait emménagé dans la chambre de Chris et elle était heureuse même si elle savait qu’il devait partir. Un jour qu‘elle s’occupait d’une petite indienne qui avait à peu près l’âge de Tess, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas appelé ses enfants depuis plus de 10 jours, elle profita donc d’une pause pour appeler Emad… Il décrocha à la première sonnerie : - Salut Emad ! - Maman ?! Tu pourrais appeler un peu plus souvent, je te rappelle quand même que tu as des enfants et que tu ne nous as laissé ni adresse ni numéro de téléphone où te joindre... Lois ne comprenait pas pourquoi Emad était si énervé après elle, lui qui ne perdait jamais son sang-froid d'ordinaire. - Ecoute, je suis désolée, j'ai trouvé du boulot auprès d'enfants malades et... - Et bien avant de t'occuper des enfants des autres, tu devrais commencer par t'occuper des tiens !! je te signale que ton fils Eliott est hospitalisé depuis 3 jours... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 8:05 | |
| LOIS sourit : Oh "French doctor" ! CHRIS embarrassé : C est ça .Et toi alors ? Si tu n’es pas en vacances, qu’est tu donc venue faire ici ? LOIS : En fait, ma vie est assez compliquée en ce moment… j’avais besoin de prendre un peu de recul et j’ai toujours adoré l’Asie. Elle lui raconta en détail ces anciens chantiers, Chris l’écoutait d’un air passionné et ils passèrent une bonne partie de la soirée à boire et à se raconter leurs vies. Lorsqu’ils rentrèrent à leurs chambres, Chris lui fit promettre de manger avec lui le lendemain soir et Lois accepta heureuse de pouvoir se changer les idées.
Kiefer était rentré à Los Angeles avec les enfants. Il était inquiet pour Elliot, il faisait beaucoup de cauchemars depuis que sa mère était partie… Lorsque ça arrivait, Kiefer le prenait avec lui et le berçait dans ses bras jusqu’à ce qu’il se rendorme. Un jour, n’y tenant plus, il alla voir Sarah et Emad espérant avoir des nouvelles de Lois mais celle-ci n’avait pas appelé depuis plusieurs jours. Sarah lui proposa de garder les enfants avec eux deux ou trois jours pour leur changer les idées et Kiefer accepta. Il rentra à son appart et appela ses potes, il avait une envie irrépressible de sortir et de boire un verre… Ils firent la tournée des bars et Kiefer but jusqu’à ne plus penser à rien. Il passa toute la semaine suivante entre Ironworks et les soirées arrosées entre potes. Certains soirs il rentrait avec une fille, d’autres pas, de toute façon la seule chose qu’il voulait c’était ne plus penser à rien, se vider la tête. Il avait récupéré les enfants et quand il sortait, il les confiait à la nounou. Lois n’avait toujours pas donné de signe de vie, ni aux enfants, ni à Emad… Une nuit où il était rentré fort tard, Kiefer fut réveillé par les cris d’Eliott, il bondit hors de son lit et entra dans la chambre de son fils. Eliott était assis sur son lit, il était en sueur et il délirait complètement. Kiefer ne l’avait jamais vu dans cet état, il appela les urgences…
Pendant ce temps à Bombay, Lois s’était fait embaucher grâce à Chris, elle s’occupait des enfants malades et tous les soirs, Chris et elle se retrouvaient pour boire un verre, manger ensembles et déambuler dans les rues avant de rentrer se coucher. Lois avait emménagé dans la chambre de Chris et elle était heureuse même si elle savait qu’il devait partir. Un jour qu‘elle s’occupait d’une petite indienne qui avait à peu près l’âge de Tess, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas appelé ses enfants depuis plus de 10 jours, elle profita donc d’une pause pour appeler Emad… Il décrocha à la première sonnerie : - Salut Emad ! - Maman ?! Tu pourrais appeler un peu plus souvent, je te rappelle quand même que tu as des enfants et que tu ne nous as laissé ni adresse ni numéro de téléphone où te joindre ! Lois ne comprenait pas pourquoi Emad était si énervé après elle, lui qui ne perdait jamais son sang-froid d'ordinaire. - Ecoute, je suis désolée, j'ai trouvé du boulot auprès d'enfants malades et... - Et bien avant de t'occuper des enfants des autres, tu devrais commencer par t'occuper des tiens !! je te signale que ton fils Eliott est hospitalisé depuis 3 jours LOIS sentant le sol s'ouvrir sous ses pieds : Qu'est ce qu'il a ? EMAD se calma tout d'un coup : Rien...Enfin rien de grave. Excuse moi de t'avoir crié dessus mais j'étais très inquiet pour toi... Tu vas rentrer ? LOIS : non non Emad, je ne vais pas rentrer. Je me suis donnée un an et je ne suis partie que depuis 6 semaines. EMAD : Donne moi un N° Maman ?!! LOIS fût touchée, Emad ne l'appelait jamais maman.. : Ok chéri, je quitte l'endroit où je vis demain. J'arriverai à destination dans 2/3 jours, je te rappelerai de là-bas. EMAD insistant : Là bas où ? LOIS changeant de sujet : Comment vont les autres ? EMAD soupira : Ca va ..Eliott est un peu perturbé par ton départ, Jonas est magnifique, les filles vont très bien et.....ton mari LOIS le coupa net : Ce n'est plus mon mari. EMAD reprit comme si de rien n'était : lui, ça ne va pas fort...Il ne bosse pas, il sort et boit bcp. LOIS : Prend soin de lui chéri...Je suis si tellement désolée pour ça mais .. EMAD plus doux : Laisse tomber maman, je sais tout ça c'est juste que...Enfin je le vois si malheureux et puis j'ai peur que tu reviennes, il soit avec qq d'autre... LOIS avait envisagé plus une fois cette idée : Ca je me doute que l'essaim est lâché depuis que je suis partie mais...Ca serait peut être une bonne chose pour lui. Elle vit Chris arriver vers elle tout sourire. LOIS : Je dois te laisser mon chéri, j'appelerai Eliott dès que je pourrai...Je t'aime.
CHRIS les traits tirés : Oh qui a droit à un "je t'aime" de la plus belle femme de Bombay ? LOIS lui répondit par un sourire enigmatique...Chris avait apprit à ne pas poser de question mais ce n'était pas un pb pour lui, la seule chose qui l'interessait vraiment, c'était son job. CHRIS épongeant son front : Tu vas bien ? LOIS : Oui. CHRIS : Tant mieux ! Parce qu'aller à Delhi par la route, ça va être une vraie galère.. Alors ce soir, je t'emmène manger où tu veux, ce que tu veux et ensuite....On fera ce que tu veux ! LOIS se serra contre lui, il fût surprit et la serra à son tour... Elle ne parla pas d'elle, ne se confiait pas...Ils passaient toutes leurs soirées ensemble mais ils n'étaient pas vraiment amis ni même amants...Enfin ça, il espérait que ça change ce soir ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 22:36 | |
| Pendant ce temps à Bombay, Lois s’était fait embaucher grâce à Chris, elle s’occupait des enfants malades et tous les soirs, Chris et elle se retrouvaient pour boire un verre, manger ensembles et déambuler dans les rues avant de rentrer se coucher. Lois avait emménagé dans la chambre de Chris et elle était heureuse même si elle savait qu’il devait partir. Un jour qu‘elle s’occupait d’une petite indienne qui avait à peu près l’âge de Tess, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas appelé ses enfants depuis plus de 10 jours, elle profita donc d’une pause pour appeler Emad… Il décrocha à la première sonnerie : - Salut Emad ! - Maman ?! Tu pourrais appeler un peu plus souvent, je te rappelle quand même que tu as des enfants et que tu ne nous as laissé ni adresse ni numéro de téléphone où te joindre ! Lois ne comprenait pas pourquoi Emad était si énervé après elle, lui qui ne perdait jamais son sang-froid d'ordinaire. - Ecoute, je suis désolée, j'ai trouvé du boulot auprès d'enfants malades et... - Et bien avant de t'occuper des enfants des autres, tu devrais commencer par t'occuper des tiens !! je te signale que ton fils Eliott est hospitalisé depuis 3 jours LOIS sentant le sol s'ouvrir sous ses pieds : Qu'est ce qu'il a ? EMAD se calma tout d'un coup : Rien...Enfin rien de grave. Excuse moi de t'avoir crié dessus mais j'étais très inquiet pour toi... Tu vas rentrer ? LOIS : non non Emad, je ne vais pas rentrer. Je me suis donnée un an et je ne suis partie que depuis 6 semaines. EMAD : Donne moi un N° Maman ?!! LOIS fût touchée, Emad ne l'appelait jamais maman.. : Ok chéri, je quitte l'endroit où je vis demain. J'arriverai à destination dans 2/3 jours, je te rappelerai de là-bas. EMAD insistant : Là bas où ? LOIS changeant de sujet : Comment vont les autres ? EMAD soupira : Ca va ..Eliott est un peu perturbé par ton départ, Jonas est magnifique, les filles vont très bien et.....ton mari LOIS le coupa net : Ce n'est plus mon mari. EMAD reprit comme si de rien n'était : lui, ça ne va pas fort...Il ne bosse pas, il sort et boit bcp. LOIS : Prend soin de lui chéri...Je suis si tellement désolée pour ça mais .. EMAD plus doux : Laisse tomber maman, je sais tout ça c'est juste que...Enfin je le vois si malheureux et puis j'ai peur que tu reviennes, il soit avec qq d'autre... LOIS avait envisagé plus une fois cette idée : Ca je me doute que l'essaim est lâché depuis que je suis partie mais...Ca serait peut être une bonne chose pour lui. Elle vit Chris arriver vers elle tout sourire. LOIS : Je dois te laisser mon chéri, j'appelerai Eliott dès que je pourrai...Je t'aime.
CHRIS les traits tirés : Oh qui a droit à un "je t'aime" de la plus belle femme de Bombay ? LOIS lui répondit par un sourire enigmatique...Chris avait apprit à ne pas poser de question mais ce n'était pas un pb pour lui, la seule chose qui l'interessait vraiment, c'était son job. CHRIS épongeant son front : Tu vas bien ? LOIS : Oui. CHRIS : Tant mieux ! Parce qu'aller à Delhi par la route, ça va être une vraie galère.. Alors ce soir, je t'emmène manger où tu veux, ce que tu veux et ensuite....On fera ce que tu veux ! LOIS se serra contre lui, il fût surprit et la serra à son tour... Elle ne parla pas d'elle, ne se confiait pas...Ils passaient toutes leurs soirées ensemble mais ils n'étaient pas vraiment amis ni même amants...Enfin ça, il espérait que ça change ce soir ! LOIS se reprit rapidement : Ce soir, c'est la fin des célébrations de la fête de la Déesse, tout le monde va se baigner dans le Gange pour la purification, on y va ? CHRIS ouvrit les yeux en grand :Tu n'es pas sérieuse ! Tu ne veux pas aller te baigner dans le Gange !! C'est glacial et plein de saloperies. LOIS sourit et haussa les épaules : Et bien, tu te contenteras de me regarder !!
Des milliers de gens étaient massés sur les bords du Gange, au signal tout le monde descendit dans le fleuve, tranquillement, sans se presser. Chris avait raison, c'était absolument glacial et franchement crade mais, au milieu de tout ces gens, sentir toute leur ferveur, ça lui procura un immense bien être. Quand un Indou lui immergea la tête sous l'eau, elle se laissa faire et quand elle ressortit de l'eau, elle afficha le plus beau sourire que Chris lui ait vu depuis 6 semaines. Sa chemise était collée à elle comme une seconde peau, mettant en valeur ses seins, ses longs cheveux dégoulinaient. Elle se retourna pour chercher Chris du regard parmi la foule de touriste restée sur les bords. Ce fût cette image d'elle, très sexy, rayonnante et sereine qu'un photographe américain venu couvrir cet évenement imortalisa. Sans le savoir, elle allait faire le tour de la planète dans les jours qui venaient.
Elle sortit tremblante de froid, elle rentra à l'hôtel avec Chris pour se changer puis ils ressortirent dîner. Pour la 1ère fois depuis qu'ils se connaissaient, elle le sentait nerveux, tendu... LOIS en rentrant du restaurant : Y'a qqchose qui ne va pas ? CHRIS surpris : Non tout va bien, pourquoi tu dis ça ? LOIS : Parce que tu es hyper nerveux et stressé. CHRIS se sentit rougir comme un gamin :...Je suis juste...un peu intimidé. LOIS rit : Intimidé par moi ! Comme ça ? D'un seul coup... CHRIS lui prit la main et l'embrassa avec fougue. Son contact était agréable et puis c'était un compagnon de route gentil et attentionné, elle le laissa donc faire. LOIS sourit : C'était ça qui te rendait nerveux ? CHRIS : Plutôt ce qui pourrait se passer après ? Dans ma vie, il n'y a que le boulot, ça fait si longtemps que je ne me suis pas interessé à une femme que je ne sais plus trop comment faire.. LOIS le trouvant mignon, lui caressa les cheveux : Alors laisse moi faire OK ? Il n'eut pas à le regretter, elle se montra tendre et entreprenante même s'il la sentit un peu absente...Ils firent leurs valises en hâte et s'endormirent enfin dans la jeep qui était venue les chercher pour Dehli.
Quand Kiefer sortit le lendemain.. |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 23:16 | |
| Pendant ce temps à Bombay, Lois s’était fait embaucher grâce à Chris, elle s’occupait des enfants malades et tous les soirs, Chris et elle se retrouvaient pour boire un verre, manger ensembles et déambuler dans les rues avant de rentrer se coucher. Lois avait emménagé dans la chambre de Chris et elle était heureuse même si elle savait qu’il devait partir. Un jour qu‘elle s’occupait d’une petite indienne qui avait à peu près l’âge de Tess, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas appelé ses enfants depuis plus de 10 jours, elle profita donc d’une pause pour appeler Emad… Il décrocha à la première sonnerie : - Salut Emad ! - Maman ?! Tu pourrais appeler un peu plus souvent, je te rappelle quand même que tu as des enfants et que tu ne nous as laissé ni adresse ni numéro de téléphone où te joindre ! Lois ne comprenait pas pourquoi Emad était si énervé après elle, lui qui ne perdait jamais son sang-froid d'ordinaire. - Ecoute, je suis désolée, j'ai trouvé du boulot auprès d'enfants malades et... - Et bien avant de t'occuper des enfants des autres, tu devrais commencer par t'occuper des tiens !! je te signale que ton fils Eliott est hospitalisé depuis 3 jours LOIS sentant le sol s'ouvrir sous ses pieds : Qu'est ce qu'il a ? EMAD se calma tout d'un coup : Rien...Enfin rien de grave. Excuse moi de t'avoir crié dessus mais j'étais très inquiet pour toi... Tu vas rentrer ? LOIS : non non Emad, je ne vais pas rentrer. Je me suis donnée un an et je ne suis partie que depuis 6 semaines. EMAD : Donne moi un N° Maman ?!! LOIS fût touchée, Emad ne l'appelait jamais maman.. : Ok chéri, je quitte l'endroit où je vis demain. J'arriverai à destination dans 2/3 jours, je te rappelerai de là-bas. EMAD insistant : Là bas où ? LOIS changeant de sujet : Comment vont les autres ? EMAD soupira : Ca va ..Eliott est un peu perturbé par ton départ, Jonas est magnifique, les filles vont très bien et.....ton mari LOIS le coupa net : Ce n'est plus mon mari. EMAD reprit comme si de rien n'était : lui, ça ne va pas fort...Il ne bosse pas, il sort et boit bcp. LOIS : Prend soin de lui chéri...Je suis si tellement désolée pour ça mais .. EMAD plus doux : Laisse tomber maman, je sais tout ça c'est juste que...Enfin je le vois si malheureux et puis j'ai peur que tu reviennes, il soit avec qq d'autre... LOIS avait envisagé plus une fois cette idée : Ca je me doute que l'essaim est lâché depuis que je suis partie mais...Ca serait peut être une bonne chose pour lui. Elle vit Chris arriver vers elle tout sourire. LOIS : Je dois te laisser mon chéri, j'appelerai Eliott dès que je pourrai...Je t'aime.
CHRIS les traits tirés : Oh qui a droit à un "je t'aime" de la plus belle femme de Bombay ? LOIS lui répondit par un sourire enigmatique...Chris avait apprit à ne pas poser de question mais ce n'était pas un pb pour lui, la seule chose qui l'interessait vraiment, c'était son job. CHRIS épongeant son front : Tu vas bien ? LOIS : Oui. CHRIS : Tant mieux ! Parce qu'aller à Delhi par la route, ça va être une vraie galère.. Alors ce soir, je t'emmène manger où tu veux, ce que tu veux et ensuite....On fera ce que tu veux ! LOIS se serra contre lui, il fût surprit et la serra à son tour... Elle ne parla pas d'elle, ne se confiait pas...Ils passaient toutes leurs soirées ensemble mais ils n'étaient pas vraiment amis ni même amants...Enfin ça, il espérait que ça change ce soir ! LOIS se reprit rapidement : Ce soir, c'est la fin des célébrations de la fête de la Déesse, tout le monde va se baigner dans le Gange pour la purification, on y va ? CHRIS ouvrit les yeux en grand :Tu n'es pas sérieuse ! Tu ne veux pas aller te baigner dans le Gange !! C'est glacial et plein de saloperies. LOIS sourit et haussa les épaules : Et bien, tu te contenteras de me regarder !!
Des milliers de gens étaient massés sur les bords du Gange, au signal tout le monde descendit dans le fleuve, tranquillement, sans se presser. Chris avait raison, c'était absolument glacial et franchement crade mais, au milieu de tout ces gens, sentir toute leur ferveur, ça lui procura un immense bien être. Quand un Indou lui immergea la tête sous l'eau, elle se laissa faire et quand elle ressortit de l'eau, elle afficha le plus beau sourire que Chris lui ait vu depuis 6 semaines. Sa chemise était collée à elle comme une seconde peau, mettant en valeur ses seins, ses longs cheveux dégoulinaient. Elle se retourna pour chercher Chris du regard parmi la foule de touriste restée sur les bords. Ce fût cette image d'elle, très sexy, rayonnante et sereine qu'un photographe américain venu couvrir cet évenement imortalisa. Sans le savoir, elle allait faire le tour de la planète dans les jours qui venaient.
Elle sortit tremblante de froid, elle rentra à l'hôtel avec Chris pour se changer puis ils ressortirent dîner. Pour la 1ère fois depuis qu'ils se connaissaient, elle le sentait nerveux, tendu... LOIS en rentrant du restaurant : Y'a qqchose qui ne va pas ? CHRIS surpris : Non tout va bien, pourquoi tu dis ça ? LOIS : Parce que tu es hyper nerveux et stressé. CHRIS se sentit rougir comme un gamin :...Je suis juste...un peu intimidé. LOIS rit : Intimidé par moi ! Comme ça ? D'un seul coup... CHRIS lui prit la main et l'embrassa avec fougue. Son contact était agréable et puis c'était un compagnon de route gentil et attentionné, elle le laissa donc faire. LOIS sourit : C'était ça qui te rendait nerveux ? CHRIS : Plutôt ce qui pourrait se passer après ? Dans ma vie, il n'y a que le boulot, ça fait si longtemps que je ne me suis pas interessé à une femme que je ne sais plus trop comment faire.. LOIS le trouvant mignon, lui caressa les cheveux : Alors laisse moi faire OK ? Il n'eut pas à le regretter, elle se montra tendre et entreprenante même s'il la sentit un peu absente...Ils firent leurs valises en hâte et s'endormirent enfin dans la jeep qui était venue les chercher pour Dehli.
Quand Kiefer sortit le lendemain..en passant devant un kiosque à journaux, il tomba nez à nez avec la photo de Lois. Il acheta le journal et dévora l’article. Dieu qu’elle était belle sur cette photo !! Il resta plusieurs minutes à la regarder, elle avait l’air terriblement heureuse… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mar 3 Avr - 23:42 | |
| Elle sortit tremblante de froid, elle rentra à l'hôtel avec Chris pour se changer puis ils ressortirent dîner. Pour la 1ère fois depuis qu'ils se connaissaient, elle le sentait nerveux, tendu... LOIS en rentrant du restaurant : Y'a qqchose qui ne va pas ? CHRIS surpris : Non tout va bien, pourquoi tu dis ça ? LOIS : Parce que tu es hyper nerveux et stressé. CHRIS se sentit rougir comme un gamin :...Je suis juste...un peu intimidé. LOIS rit : Intimidé par moi ! Comme ça ? D'un seul coup... CHRIS lui prit la main et l'embrassa avec fougue. Son contact était agréable et puis c'était un compagnon de route gentil et attentionné, elle le laissa donc faire. LOIS sourit : C'était ça qui te rendait nerveux ? CHRIS : Plutôt ce qui pourrait se passer après ? Dans ma vie, il n'y a que le boulot, ça fait si longtemps que je ne me suis pas interessé à une femme que je ne sais plus trop comment faire.. LOIS le trouvant mignon, lui caressa les cheveux : Alors laisse moi faire OK ? Il n'eut pas à le regretter, elle se montra tendre et entreprenante même s'il la sentit un peu absente...Ils firent leurs valises en hâte et s'endormirent enfin dans la jeep qui était venue les chercher pour Dehli.
Quand Kiefer sortit le lendemain en passant devant un kiosque à journaux, il tomba nez à nez avec la photo de Lois. Il acheta le journal et dévora l’article. Dieu qu’elle était belle sur cette photo !! Il resta plusieurs minutes à la regarder, elle avait l’air terriblement heureuse et ça le rendait d'autant plus malheureux ! Enfin maintenant, il savait où elle était.. Bombay ! L'article ne parlait pas d'elle nominativement, c'était juste la photo d'une anonyme, une femme qui avait accrochée la pellicule...Il n'arrivait pas à passer à autre chose, Lois continuait de remplir sa vie...Avoir les enfants auprès de lui ne faisait que lui rappeler à quel point elle lui manquait...L'Inde, un des plus grands pays au Monde, il ne la retrouverait jamais !
Arrivés, après un voyage chaotique et épuisant, à Delhi, Lois et Chris s'installèrent à l'hôpital de fortune dont Chris venait de prendre la direction pour l'OMG qui le payait. La chambre était vraiment minimaliste et sommaire mais , ni elle, ni lui n'y prétèrent attention. Ce qui les attendait en salle de soins était bien plus préoccupante. Chris était passionné par son travail de médecin, une qualité qui ne laissait pas Lois indifférente. Elle fit comme à Bombay, elle se rendit utile avec les enfants, les femmes. Bcp avait besoin juste d'un peu d'attention et de soins banals. Le soir, elle sortit faire un tour dans le quartier où ils avaient été parachutés, difficile de faire pire...Elle tomba nez à nez avec un autre docteur, ils discutèrent un peu, il s'appellait Klaus. KLAUS épuisé : C'est difficile, surtout depuis qu'ils ont fermé l'orphelinat..Maintenant les gosses sont dans la rue avec tous les risques que cela comporte, c'est moche, surtout pour les filles. LOIS : Pourquoi ils ont fermé ? KLAUS lui fit un sourire fatigué : Money money..Tout le Monde se fout des gosses d'ici ! LOIS : Pas moi, pas nous.. KLAUS : Oui mais on est pas millionaire ! LOIS le saluant pensa, "toi peut être pas".. Elle rejoignit Chris et ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
Les semaines qui suivirent, Lois prit discrétement des renseignements sur l'orphelinat et commençat à envisager sa réouverture. Le bâtiment était à vendre, sa réfection allait demander un peu d'argent et bcp d'énergie. Elle savait qu'elle voulait éduquer les petites filles d'ici, les ouvrir sur le Monde et les sortir de leur misère. Elle savait que la plupart n'y parviendraient pas mais ça valait le coup et elle, ça la maintenait vivante. Son couple avec Chris était sympa, il était dans son Monde, la laissait dans le sien. Ils travaillaient côte à côte, ne se disputaient jamais. Un soir qu'ils dînaient en tête à tête, elle se décida à lui parler de l'orphelinat et de sa réouverture. CHRIS : Mais comment tu vas financer tout ça ? LOIS vague : L'argent c'est mon pb, je veux savoir ce que tu en penses ? CHRIS enthousiate : Je trouve ça fantastique évidement ! Et puis tu es tellement merveilleuse avec les enfants... Est ce que tu veux m'épouser ? LOIS ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit.. CHRIS lui prenant la main : Tu es tout ce que j'ai tjs voulu, tu es belle, passionnée, altruiste, tu ne me reproche jamais de faire passer mes patients avant toi, tu es heureuse de vivre dans ce taudis et...Je me sens tellement heureux dans tes bras.. LOIS n'en croyais pas ses oreilles : Chris, tu ne sais rien de moi.. CHRIS : Je me fous de ta vie d'avant, celle qui m'interesse c'est celle que tu partages avec moi maintenant. LOIS se leva brusquement : J'ai été mariée 3 fois, mes 2 premiers maris sont morts à cause de moi et j'ai brisé le coeur du dernier, alors crois moi, cest la pire idée que tu aies eu ! Oublies ça. Elle planta là, muet de stupefaction
|
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 4 Avr - 0:21 | |
| Elle sortit tremblante de froid, elle rentra à l'hôtel avec Chris pour se changer puis ils ressortirent dîner. Pour la 1ère fois depuis qu'ils se connaissaient, elle le sentait nerveux, tendu... LOIS en rentrant du restaurant : Y'a qqchose qui ne va pas ? CHRIS surpris : Non tout va bien, pourquoi tu dis ça ? LOIS : Parce que tu es hyper nerveux et stressé. CHRIS se sentit rougir comme un gamin :...Je suis juste...un peu intimidé. LOIS rit : Intimidé par moi ! Comme ça ? D'un seul coup... CHRIS lui prit la main et l'embrassa avec fougue. Son contact était agréable et puis c'était un compagnon de route gentil et attentionné, elle le laissa donc faire. LOIS sourit : C'était ça qui te rendait nerveux ? CHRIS : Plutôt ce qui pourrait se passer après ? Dans ma vie, il n'y a que le boulot, ça fait si longtemps que je ne me suis pas interessé à une femme que je ne sais plus trop comment faire.. LOIS le trouvant mignon, lui caressa les cheveux : Alors laisse moi faire OK ? Il n'eut pas à le regretter, elle se montra tendre et entreprenante même s'il la sentit un peu absente...Ils firent leurs valises en hâte et s'endormirent enfin dans la jeep qui était venue les chercher pour Dehli.
Quand Kiefer sortit le lendemain en passant devant un kiosque à journaux, il tomba nez à nez avec la photo de Lois. Il acheta le journal et dévora l’article. Dieu qu’elle était belle sur cette photo !! Il resta plusieurs minutes à la regarder, elle avait l’air terriblement heureuse et ça le rendait d'autant plus malheureux ! Enfin maintenant, il savait où elle était.. Bombay ! L'article ne parlait pas d'elle nominativement, c'était juste la photo d'une anonyme, une femme qui avait accrochée la pellicule...Il n'arrivait pas à passer à autre chose, Lois continuait de remplir sa vie...Avoir les enfants auprès de lui ne faisait que lui rappeler à quel point elle lui manquait...L'Inde, un des plus grands pays au Monde, il ne la retrouverait jamais !
Arrivés, après un voyage chaotique et épuisant, à Delhi, Lois et Chris s'installèrent à l'hôpital de fortune dont Chris venait de prendre la direction pour l'OMG qui le payait. La chambre était vraiment minimaliste et sommaire mais , ni elle, ni lui n'y prétèrent attention. Ce qui les attendait en salle de soins était bien plus préoccupante. Chris était passionné par son travail de médecin, une qualité qui ne laissait pas Lois indifférente. Elle fit comme à Bombay, elle se rendit utile avec les enfants, les femmes. Bcp avait besoin juste d'un peu d'attention et de soins banals. Le soir, elle sortit faire un tour dans le quartier où ils avaient été parachutés, difficile de faire pire...Elle tomba nez à nez avec un autre docteur, ils discutèrent un peu, il s'appellait Klaus. KLAUS épuisé : C'est difficile, surtout depuis qu'ils ont fermé l'orphelinat..Maintenant les gosses sont dans la rue avec tous les risques que cela comporte, c'est moche, surtout pour les filles. LOIS : Pourquoi ils ont fermé ? KLAUS lui fit un sourire fatigué : Money money..Tout le Monde se fout des gosses d'ici ! LOIS : Pas moi, pas nous.. KLAUS : Oui mais on est pas millionaire ! LOIS le saluant pensa, "toi peut être pas".. Elle rejoignit Chris et ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
Les semaines qui suivirent, Lois prit discrétement des renseignements sur l'orphelinat et commençat à envisager sa réouverture. Le bâtiment était à vendre, sa réfection allait demander un peu d'argent et bcp d'énergie. Elle savait qu'elle voulait éduquer les petites filles d'ici, les ouvrir sur le Monde et les sortir de leur misère. Elle savait que la plupart n'y parviendraient pas mais ça valait le coup et elle, ça la maintenait vivante. Son couple avec Chris était sympa, il était dans son Monde, la laissait dans le sien. Ils travaillaient côte à côte, ne se disputaient jamais. Un soir qu'ils dînaient en tête à tête, elle se décida à lui parler de l'orphelinat et de sa réouverture. CHRIS : Mais comment tu vas financer tout ça ? LOIS vague : L'argent c'est mon pb, je veux savoir ce que tu en penses ? CHRIS enthousiate : Je trouve ça fantastique évidement ! Et puis tu es tellement merveilleuse avec les enfants... Est ce que tu veux m'épouser ? LOIS ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit.. CHRIS lui prenant la main : Tu es tout ce que j'ai tjs voulu, tu es belle, passionnée, altruiste, tu ne me reproche jamais de faire passer mes patients avant toi, tu es heureuse de vivre dans ce taudis et...Je me sens tellement heureux dans tes bras.. LOIS n'en croyais pas ses oreilles : Chris, tu ne sais rien de moi.. CHRIS : Je me fous de ta vie d'avant, celle qui m'interesse c'est celle que tu partages avec moi maintenant. LOIS se leva brusquement : J'ai été mariée 3 fois, mes 2 premiers maris sont morts à cause de moi et j'ai brisé le coeur du dernier, alors crois moi, cest la pire idée que tu aies eu ! Oublies ça. Elle planta là, muet de stupefaction
De son côté, Kiefer passa toute la matinée à lire et relire l’article et à regarder la photo de Lois. Il ressassait tout ça dans sa tête… Il ne pouvait pas rester là à attendre indéfiniment sans savoir quand et surtout si Lois reviendrait vers lui, il fallait qu’il fasse quelque chose, qu’il en ait le coeur net. Si Lois ne voulait plus de lui, il avait besoin de l'entendre de sa bouche. Et surtout, s'il restait un espoir de la récupérer, il ne voulait pas le laisser passer. Il finit par se décider à appeler Emad : - Allo ? - Emad, c’est Kiefer. Est-ce que tu as eu des nouvelles de ta mère récemment ? Emad se sentit un peu gêné de ne pas avoir prévenu Kiefer : - Bah… elle a appelé il y a deux jours pour prendre des nouvelles… Kiefer plein d‘espoirs : Elle t’a laissé un numéro de téléphone ou une adresse ? - En fait non, elle m’a dit qu’elle devait partir ailleurs et qu’elle rappellerait une fois sur place mais elle n’a pas voulu m’en dire plus. Kiefer réfléchit à cent à l’heure puis demanda à Emad : - Ecoute… Est-ce que vous pourriez me garder les enfants pendant quelques temps ? - Oui bien sûr !! Mais qu’Est-ce que tu comptes faire ? - Je vais essayer de retrouver ta mère… Il faut que je sache… enfin… je ne peux pas rester là sans rien faire, je vais devenir complètement dingue. - Attends Kiefer ! Comment tu comptes la retrouver ? Elle n’est même plus à Bombay à l’heure qu’il est, je veux dire… elle peut être n’importe où. - Je sais… mais il faut que je le fasse. Il raccrocha, appela l’aéroport et prépara les valises des enfants. Puis il mit quelques affaires dans un sac pour lui avec le magazine qu’il avait acheté quelques heures auparavant… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 4 Avr - 0:48 | |
| Elle sortit tremblante de froid, elle rentra à l'hôtel avec Chris pour se changer puis ils ressortirent dîner. Pour la 1ère fois depuis qu'ils se connaissaient, elle le sentait nerveux, tendu... LOIS en rentrant du restaurant : Y'a qqchose qui ne va pas ? CHRIS surpris : Non tout va bien, pourquoi tu dis ça ? LOIS : Parce que tu es hyper nerveux et stressé. CHRIS se sentit rougir comme un gamin :...Je suis juste...un peu intimidé. LOIS rit : Intimidé par moi ! Comme ça ? D'un seul coup... CHRIS lui prit la main et l'embrassa avec fougue. Son contact était agréable et puis c'était un compagnon de route gentil et attentionné, elle le laissa donc faire. LOIS sourit : C'était ça qui te rendait nerveux ? CHRIS : Plutôt ce qui pourrait se passer après ? Dans ma vie, il n'y a que le boulot, ça fait si longtemps que je ne me suis pas interessé à une femme que je ne sais plus trop comment faire.. LOIS le trouvant mignon, lui caressa les cheveux : Alors laisse moi faire OK ? Il n'eut pas à le regretter, elle se montra tendre et entreprenante même s'il la sentit un peu absente...Ils firent leurs valises en hâte et s'endormirent enfin dans la jeep qui était venue les chercher pour Dehli.
Quand Kiefer sortit le lendemain en passant devant un kiosque à journaux, il tomba nez à nez avec la photo de Lois. Il acheta le journal et dévora l’article. Dieu qu’elle était belle sur cette photo !! Il resta plusieurs minutes à la regarder, elle avait l’air terriblement heureuse et ça le rendait d'autant plus malheureux ! Enfin maintenant, il savait où elle était.. Bombay ! L'article ne parlait pas d'elle nominativement, c'était juste la photo d'une anonyme, une femme qui avait accrochée la pellicule...Il n'arrivait pas à passer à autre chose, Lois continuait de remplir sa vie...Avoir les enfants auprès de lui ne faisait que lui rappeler à quel point elle lui manquait...L'Inde, un des plus grands pays au Monde, il ne la retrouverait jamais !
Arrivés, après un voyage chaotique et épuisant, à Delhi, Lois et Chris s'installèrent à l'hôpital de fortune dont Chris venait de prendre la direction pour l'OMG qui le payait. La chambre était vraiment minimaliste et sommaire mais , ni elle, ni lui n'y prétèrent attention. Ce qui les attendait en salle de soins était bien plus préoccupante. Chris était passionné par son travail de médecin, une qualité qui ne laissait pas Lois indifférente. Elle fit comme à Bombay, elle se rendit utile avec les enfants, les femmes. Bcp avait besoin juste d'un peu d'attention et de soins banals. Le soir, elle sortit faire un tour dans le quartier où ils avaient été parachutés, difficile de faire pire...Elle tomba nez à nez avec un autre docteur, ils discutèrent un peu, il s'appellait Klaus. KLAUS épuisé : C'est difficile, surtout depuis qu'ils ont fermé l'orphelinat..Maintenant les gosses sont dans la rue avec tous les risques que cela comporte, c'est moche, surtout pour les filles. LOIS : Pourquoi ils ont fermé ? KLAUS lui fit un sourire fatigué : Money money..Tout le Monde se fout des gosses d'ici ! LOIS : Pas moi, pas nous.. KLAUS : Oui mais on est pas millionaire ! LOIS le saluant pensa, "toi peut être pas".. Elle rejoignit Chris et ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
Les semaines qui suivirent, Lois prit discrétement des renseignements sur l'orphelinat et commençat à envisager sa réouverture. Le bâtiment était à vendre, sa réfection allait demander un peu d'argent et bcp d'énergie. Elle savait qu'elle voulait éduquer les petites filles d'ici, les ouvrir sur le Monde et les sortir de leur misère. Elle savait que la plupart n'y parviendraient pas mais ça valait le coup et elle, ça la maintenait vivante. Son couple avec Chris était sympa, il était dans son Monde, la laissait dans le sien. Ils travaillaient côte à côte, ne se disputaient jamais. Un soir qu'ils dînaient en tête à tête, elle se décida à lui parler de l'orphelinat et de sa réouverture. CHRIS : Mais comment tu vas financer tout ça ? LOIS vague : L'argent c'est mon pb, je veux savoir ce que tu en penses ? CHRIS enthousiate : Je trouve ça fantastique évidement ! Et puis tu es tellement merveilleuse avec les enfants... Est ce que tu veux m'épouser ? LOIS ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit.. CHRIS lui prenant la main : Tu es tout ce que j'ai tjs voulu, tu es belle, passionnée, altruiste, tu ne me reproche jamais de faire passer mes patients avant toi, tu es heureuse de vivre dans ce taudis et...Je me sens tellement heureux dans tes bras.. LOIS n'en croyais pas ses oreilles : Chris, tu ne sais rien de moi.. CHRIS : Je me fous de ta vie d'avant, celle qui m'interesse c'est celle que tu partages avec moi maintenant. LOIS se leva brusquement : J'ai été mariée 3 fois, mes 2 premiers maris sont morts à cause de moi et j'ai brisé le coeur du dernier, alors crois moi, cest la pire idée que tu aies eu ! Oublies ça. Elle planta là, muet de stupefaction
De son côté, Kiefer passa toute la matinée à lire et relire l’article et à regarder la photo de Lois. Il ressassait tout ça dans sa tête… Il ne pouvait pas rester là à attendre indéfiniment sans savoir quand et surtout si Lois reviendrait vers lui, il fallait qu’il fasse quelque chose, qu’il en ait le coeur net. Si Lois ne voulait plus de lui, il avait besoin de l'entendre de sa bouche. Et surtout, s'il restait un espoir de la récupérer, il ne voulait pas le laisser passer. Il finit par se décider à appeler Emad : - Allo ? - Emad, c’est Kiefer. Est-ce que tu as eu des nouvelles de ta mère récemment ? Emad se sentit un peu gêné de ne pas avoir prévenu Kiefer : - Bah… elle a appelé il y a deux jours pour prendre des nouvelles… Kiefer plein d‘espoirs : Elle t’a laissé un numéro de téléphone ou une adresse ? - En fait non, elle m’a dit qu’elle devait partir ailleurs et qu’elle rappellerait une fois sur place mais elle n’a pas voulu m’en dire plus. Kiefer réfléchit à cent à l’heure puis demanda à Emad : - Ecoute… Est-ce que vous pourriez me garder les enfants pendant quelques temps ? - Oui bien sûr !! Mais qu’Est-ce que tu comptes faire ? - Je vais essayer de retrouver ta mère… Il faut que je sache… enfin… je ne peux pas rester là sans rien faire, je vais devenir complètement dingue. - Attends Kiefer ! Comment tu comptes la retrouver ? Elle n’est même plus à Bombay à l’heure qu’il est, je veux dire… elle peut être n’importe où. - Je sais… mais il faut que je le fasse. Il raccrocha, appela l’aéroport et prépara les valises des enfants. Puis il mit quelques affaires dans un sac pour lui avec le magazine qu’il avait acheté quelques heures auparavant et partit pour Bombay.
Chris avait été déçu par la réaction de Lois, déçu de comprendre qu'il ne serait jamais l'homme de sa vie mais il reprit vite le dessus. Il ne lui posat plus de question et savoura chaque moment qu'ils passaient ensemble. La journée, elle était totalement absorbée par l'orphelinat et le soir, elle se soumettait totalement à lui et après tout, ça lui convenait parfaitement.
Après 10 jours passés à Bombay, Kiefer n'avait pas avancé d'un pouce, dans une ville de 15 millions d'habitants il ui était impossible de retrouver Lois sans un énorme coup de chance, et ce jour là, la chance était avec lui ! Son avocat l'appela. AVOCAT : Eh Kiefer, tu m'avais demandé de te prévenir si Lois déplaçait de l'argent et bien elle l'a fait hier. KIEFER plein d'espoir : Où ça ? AVOCAT : Elle a viré 300 000 USD dans une banque à Delhi. KIEFER étonné : 300 000 dollars ! Mais...?? AVOCAT : Je t'envoie les coordonnées de la banque ainsi que le n° de son compte là bas.
Il fût content de laisser Bombay derrière lui et atterit à Dehli dans la soirée. Le lendemain, il fut le 1er client de la banque en question. La confidentialité bancaire disparût comme par enchantement devant un billet de 100 USD et il obtint l'adresse donnée par Lois ; un hôpital d'une OMG dans un quartier pauvre. Il ne lui restait plus qu'à trouve le courage d'y aller.
Son arrivée passa totalement inapperçu tant les médecins étaient dépassé par le nombre de patient. Une des infirmières appela le directeur quand il demanda à parler à Lois. CHRIS : Salut, vous cherchez Lois ? KIEFER : Oui, c'est une de mes amies. CHRIS parût sceptique : Vraiment ? KIEFER affirmatif : Vraiment, elle ne vous a jamais parlé de moi ? CHRIS sourit : Lois ne parle jamais de rien, elle devrait être dans l'aile nord de l'hôpital avec les enfants.
KIEFER se dirigea vers l'endroit indiqué. Bien avant de la voir, il entendit sa voix. Accompagnée d'une guitare, elle chantait avec des petites filles. Ca lui coupa le souffle, il se forçat à avancer. Il la vit, entourée des enfants, amaigrie, la peau très bronzée couverte de tâches de rousseur, les cheveux attachés en chignon...Son coeur se consuma immédiatement. Leurs yeux se croisèrent et ce qu'il y vit lui réchauffa l'âme instantanément. |
| | | Jack Fille de Kiefer
Nombre de messages : 1754 Age : 55 Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 4 Avr - 2:06 | |
| Quand Kiefer sortit le lendemain en passant devant un kiosque à journaux, il tomba nez à nez avec la photo de Lois. Il acheta le journal et dévora l’article. Dieu qu’elle était belle sur cette photo !! Il resta plusieurs minutes à la regarder, elle avait l’air terriblement heureuse et ça le rendait d'autant plus malheureux ! Enfin maintenant, il savait où elle était.. Bombay ! L'article ne parlait pas d'elle nominativement, c'était juste la photo d'une anonyme, une femme qui avait accrochée la pellicule...Il n'arrivait pas à passer à autre chose, Lois continuait de remplir sa vie...Avoir les enfants auprès de lui ne faisait que lui rappeler à quel point elle lui manquait...L'Inde, un des plus grands pays au Monde, il ne la retrouverait jamais !
Arrivés, après un voyage chaotique et épuisant, à Delhi, Lois et Chris s'installèrent à l'hôpital de fortune dont Chris venait de prendre la direction pour l'OMG qui le payait. La chambre était vraiment minimaliste et sommaire mais , ni elle, ni lui n'y prétèrent attention. Ce qui les attendait en salle de soins était bien plus préoccupante. Chris était passionné par son travail de médecin, une qualité qui ne laissait pas Lois indifférente. Elle fit comme à Bombay, elle se rendit utile avec les enfants, les femmes. Bcp avait besoin juste d'un peu d'attention et de soins banals. Le soir, elle sortit faire un tour dans le quartier où ils avaient été parachutés, difficile de faire pire...Elle tomba nez à nez avec un autre docteur, ils discutèrent un peu, il s'appellait Klaus. KLAUS épuisé : C'est difficile, surtout depuis qu'ils ont fermé l'orphelinat..Maintenant les gosses sont dans la rue avec tous les risques que cela comporte, c'est moche, surtout pour les filles. LOIS : Pourquoi ils ont fermé ? KLAUS lui fit un sourire fatigué : Money money..Tout le Monde se fout des gosses d'ici ! LOIS : Pas moi, pas nous.. KLAUS : Oui mais on est pas millionaire ! LOIS le saluant pensa, "toi peut être pas".. Elle rejoignit Chris et ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
Les semaines qui suivirent, Lois prit discrétement des renseignements sur l'orphelinat et commençat à envisager sa réouverture. Le bâtiment était à vendre, sa réfection allait demander un peu d'argent et bcp d'énergie. Elle savait qu'elle voulait éduquer les petites filles d'ici, les ouvrir sur le Monde et les sortir de leur misère. Elle savait que la plupart n'y parviendraient pas mais ça valait le coup et elle, ça la maintenait vivante. Son couple avec Chris était sympa, il était dans son Monde, la laissait dans le sien. Ils travaillaient côte à côte, ne se disputaient jamais. Un soir qu'ils dînaient en tête à tête, elle se décida à lui parler de l'orphelinat et de sa réouverture. CHRIS : Mais comment tu vas financer tout ça ? LOIS vague : L'argent c'est mon pb, je veux savoir ce que tu en penses ? CHRIS enthousiate : Je trouve ça fantastique évidement ! Et puis tu es tellement merveilleuse avec les enfants... Est ce que tu veux m'épouser ? LOIS ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit.. CHRIS lui prenant la main : Tu es tout ce que j'ai tjs voulu, tu es belle, passionnée, altruiste, tu ne me reproche jamais de faire passer mes patients avant toi, tu es heureuse de vivre dans ce taudis et...Je me sens tellement heureux dans tes bras.. LOIS n'en croyais pas ses oreilles : Chris, tu ne sais rien de moi.. CHRIS : Je me fous de ta vie d'avant, celle qui m'interesse c'est celle que tu partages avec moi maintenant. LOIS se leva brusquement : J'ai été mariée 3 fois, mes 2 premiers maris sont morts à cause de moi et j'ai brisé le coeur du dernier, alors crois moi, cest la pire idée que tu aies eu ! Oublies ça. Elle planta là, muet de stupefaction
De son côté, Kiefer passa toute la matinée à lire et relire l’article et à regarder la photo de Lois. Il ressassait tout ça dans sa tête… Il ne pouvait pas rester là à attendre indéfiniment sans savoir quand et surtout si Lois reviendrait vers lui, il fallait qu’il fasse quelque chose, qu’il en ait le coeur net. Si Lois ne voulait plus de lui, il avait besoin de l'entendre de sa bouche. Et surtout, s'il restait un espoir de la récupérer, il ne voulait pas le laisser passer. Il finit par se décider à appeler Emad : - Allo ? - Emad, c’est Kiefer. Est-ce que tu as eu des nouvelles de ta mère récemment ? Emad se sentit un peu gêné de ne pas avoir prévenu Kiefer : - Bah… elle a appelé il y a deux jours pour prendre des nouvelles… Kiefer plein d‘espoirs : Elle t’a laissé un numéro de téléphone ou une adresse ? - En fait non, elle m’a dit qu’elle devait partir ailleurs et qu’elle rappellerait une fois sur place mais elle n’a pas voulu m’en dire plus. Kiefer réfléchit à cent à l’heure puis demanda à Emad : - Ecoute… Est-ce que vous pourriez me garder les enfants pendant quelques temps ? - Oui bien sûr !! Mais qu’Est-ce que tu comptes faire ? - Je vais essayer de retrouver ta mère… Il faut que je sache… enfin… je ne peux pas rester là sans rien faire, je vais devenir complètement dingue. - Attends Kiefer ! Comment tu comptes la retrouver ? Elle n’est même plus à Bombay à l’heure qu’il est, je veux dire… elle peut être n’importe où. - Je sais… mais il faut que je le fasse. Il raccrocha, appela l’aéroport et prépara les valises des enfants. Puis il mit quelques affaires dans un sac pour lui avec le magazine qu’il avait acheté quelques heures auparavant et partit pour Bombay.
Chris avait été déçu par la réaction de Lois, déçu de comprendre qu'il ne serait jamais l'homme de sa vie mais il reprit vite le dessus. Il ne lui posat plus de question et savoura chaque moment qu'ils passaient ensemble. La journée, elle était totalement absorbée par l'orphelinat et le soir, elle se soumettait totalement à lui et après tout, ça lui convenait parfaitement.
Après 10 jours passés à Bombay, Kiefer n'avait pas avancé d'un pouce, dans une ville de 15 millions d'habitants il ui était impossible de retrouver Lois sans un énorme coup de chance, et ce jour là, la chance était avec lui ! Son avocat l'appela. AVOCAT : Eh Kiefer, tu m'avais demandé de te prévenir si Lois déplaçait de l'argent et bien elle l'a fait hier. KIEFER plein d'espoir : Où ça ? AVOCAT : Elle a viré 300 000 USD dans une banque à Delhi. KIEFER étonné : 300 000 dollars ! Mais...?? AVOCAT : Je t'envoie les coordonnées de la banque ainsi que le n° de son compte là bas.
Il fût content de laisser Bombay derrière lui et atterit à Dehli dans la soirée. Le lendemain, il fut le 1er client de la banque en question. La confidentialité bancaire disparût comme par enchantement devant un billet de 100 USD et il obtint l'adresse donnée par Lois ; un hôpital d'une OMG dans un quartier pauvre. Il ne lui restait plus qu'à trouve le courage d'y aller.
Son arrivée passa totalement inapperçu tant les médecins étaient dépassé par le nombre de patient. Une des infirmières appela le directeur quand il demanda à parler à Lois. CHRIS : Salut, vous cherchez Lois ? KIEFER : Oui, c'est une de mes amies. CHRIS parût sceptique : Vraiment ? KIEFER affirmatif : Vraiment, elle ne vous a jamais parlé de moi ? CHRIS sourit : Lois ne parle jamais de rien, elle devrait être dans l'aile nord de l'hôpital avec les enfants.
KIEFER se dirigea vers l'endroit indiqué. Bien avant de la voir, il entendit sa voix. Accompagnée d'une guitare, elle chantait avec des petites filles. Ca lui coupa le souffle, il se forçat à avancer. Il la vit, entourée des enfants, amaigrie, la peau très bronzée couverte de tâches de rousseur, les cheveux attachés en chignon...Son coeur se consuma immédiatement. Leurs yeux se croisèrent et ce qu'il y vit lui réchauffa l'âme instantanément. Lois, quant à elle,resta bouche bée et s’arrêta de chanter dès qu’elle le vit, elle n’en croyait pas ses yeux… Jamais elle n’aurait imaginé qu’il viendrait la retrouver jusqu’ici et pourtant Kiefer était là, devant elle…Son cœur battait à cent à l’heure et elle ne parvenait pas à détacher son regard du sien… A cet instant précis, elle réalisa à quel point il lui avait manqué. Elle s’excusa auprès des enfants, se leva et s’approcha de lui. Lorsqu’ils furent à quelques centimètres l’un de l’autre, Kiefer lui prit la main doucement et après quelques secondes, il l’attira contre lui pour la serrer tendrement dans ses bras et il murmura : - C’est si bon de te revoir sweeth… Elle se laissa aller et sentit des larmes couler le long de ses joues. Chris avait assisté à toute la scène et il comprit que Lois ne lui avait jamais vraiment appartenu et qu'elle ne lui appartiendrait jamais. Il n’avait jamais vu une telle étincelle dans ses yeux. Il les laissa seuls et retourna au boulot | |
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| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 4 Avr - 8:05 | |
| KIEFER se dirigea vers l'endroit indiqué. Bien avant de la voir, il entendit sa voix. Accompagnée d'une guitare, elle chantait avec des petites filles. Ca lui coupa le souffle, il se forçat à avancer. Il la vit, entourée des enfants, amaigrie, la peau très bronzée couverte de tâches de rousseur, les cheveux attachés en chignon...Son coeur se consuma immédiatement. Leurs yeux se croisèrent et ce qu'il y vit lui réchauffa l'âme instantanément. Lois, quant à elle,resta bouche bée et s’arrêta de chanter dès qu’elle le vit, elle n’en croyait pas ses yeux… Jamais elle n’aurait imaginé qu’il viendrait la retrouver jusqu’ici et pourtant Kiefer était là, devant elle…Son cœur battait à cent à l’heure et elle ne parvenait pas à détacher son regard du sien… A cet instant précis, elle réalisa à quel point il lui avait manqué. Elle s’excusa auprès des enfants, se leva et s’approcha de lui. Lorsqu’ils furent à quelques centimètres l’un de l’autre, Kiefer lui prit la main doucement et après quelques secondes, il l’attira contre lui pour la serrer tendrement dans ses bras et il murmura : - C’est si bon de te revoir sweeth… Elle se laissa aller et sentit des larmes couler le long de ses joues. Chris avait assisté à toute la scène et il comprit que Lois ne lui avait jamais vraiment appartenu et qu'elle ne lui appartiendrait jamais. Il n’avait jamais vu une telle étincelle dans ses yeux. Il les laissa seuls et retourna au boulot. LOIS s'efforçant d'arrêter ses larmes : Viens sortons d'ici. Elle lui prit la main et l'emmena près du Fleuve, ils s'assirent sur une pierre et regardèrent droit devant eux, n'osant pas s'affronter du regard. LOIS rompit le silence : Quand es tu arrivé ? KIEFER : Il y a 20 jours que je te cherche. LOIS incrédule : Mais comment as tu su pour l'Inde ? KIEFER sortit le magasine de son sac : Comme ça. LOIS regarda sa photo en 1ère page sans y croire : Merde ! Ca alors.. KIEFER : Et puis j'ai suivi l'argent, il m'a mené à toi. LOIS : ah oui, l'argent bien sur. Elle se retourna et le regarda droit dans les yeux : Je suis vraiment...heureuse de te voir, c'est une telle surprise ! Vous m'avez bcp manqué et la vie a été difficile ici au début. KIEFER lui prenant le visage dans les mains : Pourquoi tu es partie Lois, on était si heureux et puis tout s'est désagrégé en qqs heures...On aurait pû surmonter tout ça. LOIS baissa les yeux : Avoir tué ces hommes m'a chamboulée plus que je ne voulais me l'avouer...J'ai eu besoin de reconstruire qqchose, de dépenser mon énergie dans qqchose d'honorable, de faire du bien autour de moi et à toi...Je ne faisais que du mal. Quand tu as annulé notre mariage....Et bien, j'ai trouvé la force de repartir et de recommencer ailleurs. KIEFER parla plus fort : Mais Lois quand je t'ai dit ça, j'étais en colère et tu sais pourquoi ! Que tu me quitte, je peux comprendre mais les enfants ?! LOIS d'une voix forte : Je sais...Je sais mais je ne pouvais pas rester, j'avais envie de mourir tu comprend ! Tous les soirs je souhaitais ne jamais me réveiller, je n'avais plus aucune joie de vivre, aucune inspiration. Tout ce que je faisais, c'était de l'autodestruction comme Carlos. J'ai tjs été comme ça mais là, je le sais, tous es souvenirs sont revenus à la surface à ce moment là....J'essaies juste de sauver ma peau Kiefer ! KIEFER fût touché, elle ne s'était jamais confiée à lui, il la serra dans ses bras à nouveau : Ok je suis là maintenant...Tu aurai dû me parler de tout ça...Dans quel hôtel es tu descendu ? LOIS : Je vis à l'hôpital. KIEFER se figeat, elle le sentit : Avec qui ? LOIS franche : Avec le responsable de l'hôpital, c'est lui qui m'a aidée et trouvée ce job.. Elle regarda : Je croyais que je ne te reverrai jamais...Cet homme n'a pas d'importance pour moi, ils n'en ont jamais de toutes façons. KIEFER las : Ok va chercher tes affaires et explique lui que tu t'installes à l'hôtel avec moi. LOIS docile : D'accord. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Mer 4 Avr - 20:14 | |
| KIEFER se dirigea vers l'endroit indiqué. Bien avant de la voir, il entendit sa voix. Accompagnée d'une guitare, elle chantait avec des petites filles. Ca lui coupa le souffle, il se forçat à avancer. Il la vit, entourée des enfants, amaigrie, la peau très bronzée couverte de tâches de rousseur, les cheveux attachés en chignon...Son coeur se consuma immédiatement. Leurs yeux se croisèrent et ce qu'il y vit lui réchauffa l'âme instantanément. Lois, quant à elle,resta bouche bée et s’arrêta de chanter dès qu’elle le vit, elle n’en croyait pas ses yeux… Jamais elle n’aurait imaginé qu’il viendrait la retrouver jusqu’ici et pourtant Kiefer était là, devant elle…Son cœur battait à cent à l’heure et elle ne parvenait pas à détacher son regard du sien… A cet instant précis, elle réalisa à quel point il lui avait manqué. Elle s’excusa auprès des enfants, se leva et s’approcha de lui. Lorsqu’ils furent à quelques centimètres l’un de l’autre, Kiefer lui prit la main doucement et après quelques secondes, il l’attira contre lui pour la serrer tendrement dans ses bras et il murmura : - C’est si bon de te revoir sweeth… Elle se laissa aller et sentit des larmes couler le long de ses joues. Chris avait assisté à toute la scène et il comprit que Lois ne lui avait jamais vraiment appartenu et qu'elle ne lui appartiendrait jamais. Il n’avait jamais vu une telle étincelle dans ses yeux. Il les laissa seuls et retourna au boulot. LOIS s'efforçant d'arrêter ses larmes : Viens sortons d'ici. Elle lui prit la main et l'emmena près du Fleuve, ils s'assirent sur une pierre et regardèrent droit devant eux, n'osant pas s'affronter du regard. LOIS rompit le silence : Quand es tu arrivé ? KIEFER : Il y a 20 jours que je te cherche. LOIS incrédule : Mais comment as tu su pour l'Inde ? KIEFER sortit le magasine de son sac : Comme ça. LOIS regarda sa photo en 1ère page sans y croire : Merde ! Ca alors.. KIEFER : Et puis j'ai suivi l'argent, il m'a mené à toi. LOIS : ah oui, l'argent bien sur. Elle se retourna et le regarda droit dans les yeux : Je suis vraiment...heureuse de te voir, c'est une telle surprise ! Vous m'avez bcp manqué et la vie a été difficile ici au début. KIEFER lui prenant le visage dans les mains : Pourquoi tu es partie Lois, on était si heureux et puis tout s'est désagrégé en qqs heures...On aurait pû surmonter tout ça. LOIS baissa les yeux : Avoir tué ces hommes m'a chamboulée plus que je ne voulais me l'avouer...J'ai eu besoin de reconstruire qqchose, de dépenser mon énergie dans qqchose d'honorable, de faire du bien autour de moi et à toi...Je ne faisais que du mal. Quand tu as annulé notre mariage....Et bien, j'ai trouvé la force de repartir et de recommencer ailleurs. KIEFER parla plus fort : Mais Lois quand je t'ai dit ça, j'étais en colère et tu sais pourquoi ! Que tu me quitte, je peux comprendre mais les enfants ?! LOIS d'une voix forte : Je sais...Je sais mais je ne pouvais pas rester, j'avais envie de mourir tu comprend ! Tous les soirs je souhaitais ne jamais me réveiller, je n'avais plus aucune joie de vivre, aucune inspiration. Tout ce que je faisais, c'était de l'autodestruction comme Carlos. J'ai tjs été comme ça mais là, je le sais, tous es souvenirs sont revenus à la surface à ce moment là....J'essaies juste de sauver ma peau Kiefer ! KIEFER fût touché, elle ne s'était jamais confiée à lui, il la serra dans ses bras à nouveau : Ok je suis là maintenant...Tu aurai dû me parler de tout ça...Dans quel hôtel es tu descendu ? LOIS : Je vis à l'hôpital. KIEFER se figeat, elle le sentit : Avec qui ? LOIS franche : Avec le responsable de l'hôpital, c'est lui qui m'a aidée et trouvée ce job.. Elle regarda : Je croyais que je ne te reverrai jamais...Cet homme n'a pas d'importance pour moi, ils n'en ont jamais de toutes façons. KIEFER las : Ok va chercher tes affaires et explique lui que tu t'installes à l'hôtel avec moi. LOIS docile : D'accord.
Si Chris était contrarié par son départ subit, il n'en laissa rien paraître. CHRIS : C est ton mari ? LOIS : Oui enfin...Ex mari, enfin c'est compliqué. Je suis vraiment...désolée. CHRIS : Moi aussi Lois, moi aussi mais ce sont les enfants de l'orphelinat qui vont être le plus déçus. LOIS le regarda fixement : Chris, je te quitte mais je ne quitte pas l'Inde, je me suis engagée dans ce projet, j'irai jusqu'au bout. CHRIS surpris : Tu reste ? Je pensais que ton mari allait vite te sortir de ce taudis ! LOIS sentit ses épaules s'affaisser : Lui aussi doit le penser. Bon faut que j'y aille. Et....tu es un mec vraiment bien, sans le savoir, tu m'as bcp aidée. CHRIS la serra dans ses bras : Toi aussi, tu m'as ouvert les yeux, je crois que j'ai envie de me caser !
Kiefer était descendu dans un magnifique hôtel. A peine arrivée, elle se précipita dans la salle de bains, 8 semaines sans une vraie douche...Ce confort là lui avait manqué !! En sortant, elle s'allongeat près de lui.. KIEFER : Qu est ce que tu comptes faire maintenant ? Est ce que tu vas rentrer avec moi où est ce que je dois tirer définitivement un trait sur toi ? J'ai vraiment besoin de savoir.. LOIS colla son visage face au sien, si proche qu'il pouvait sentir son souffle lui caresser le visage : Les 300 000 USD c'est pour réouvrir un orphelinat. J'en suis tout au début, j'ai des mois de tractations et de refections devant moi avant qu'il soit opérationnel et qu'il puisse tourner sans moi. Je ne rentrerai pas avant ça, c'est...vraiment important moi. KIEFER contrarié par cette réponse : Si tu t'occupais de tes propres enfants d'abord ? LOIS : Si je m'occupais de toi d'abord, c'est sans doute ça ta pensée...Ecoute, je ne peux pas te forcer à m'attendre ni à me comprendre...Quand j'aurai fini ici, je reviendrai et mon amour pour toi sera tjs le même. Ni le temps, ni la distance ni changeront quoique ce soit. KIEFER incrédule : Tu me demande de t'attendre ? Je suis fatigué de t'attendre... LOIS : Alors refais ta vie sans moi...Je ne peux pas renoncer à ce projet, j'ai vécu ce que la plupart des gamines vivent ici, je sais que je peux les aider à s'en sortir.. KIEFER s'emporta et se redressa d'un seul coup : Des gamines malheureuses, y'en a plein LOS ANGELES, tu ne veux pas rentrer, c'est tout ! LOIS resta allongée : Je me suis engagée ici, je leur ait donné de l'espoir...Cest ma décision, tu voulais l'entendre. KIEFER énervé : Bordel Lois quand tu rentreras, tu ne pourras même pas reconnaître Jonas ! LOIS : Il faut croire que je ne suis pas la mère parfaite que tu croyais ! Je serai de retour d'ici 6 à 8 mois. Je ne chercherai pas à te revoir si tu le souhaites, on peut se dire adieu ici et maintenant où tu peux m'attendre. KIEFER la dévisagea longuement |
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| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 5 Avr - 8:22 | |
| KIEFER se dirigea vers l'endroit indiqué. Bien avant de la voir, il entendit sa voix. Accompagnée d'une guitare, elle chantait avec des petites filles. Ca lui coupa le souffle, il se forçat à avancer. Il la vit, entourée des enfants, amaigrie, la peau très bronzée couverte de tâches de rousseur, les cheveux attachés en chignon...Son coeur se consuma immédiatement. Leurs yeux se croisèrent et ce qu'il y vit lui réchauffa l'âme instantanément. Lois, quant à elle,resta bouche bée et s’arrêta de chanter dès qu’elle le vit, elle n’en croyait pas ses yeux… Jamais elle n’aurait imaginé qu’il viendrait la retrouver jusqu’ici et pourtant Kiefer était là, devant elle…Son cœur battait à cent à l’heure et elle ne parvenait pas à détacher son regard du sien… A cet instant précis, elle réalisa à quel point il lui avait manqué. Elle s’excusa auprès des enfants, se leva et s’approcha de lui. Lorsqu’ils furent à quelques centimètres l’un de l’autre, Kiefer lui prit la main doucement et après quelques secondes, il l’attira contre lui pour la serrer tendrement dans ses bras et il murmura : - C’est si bon de te revoir sweeth… Elle se laissa aller et sentit des larmes couler le long de ses joues. Chris avait assisté à toute la scène et il comprit que Lois ne lui avait jamais vraiment appartenu et qu'elle ne lui appartiendrait jamais. Il n’avait jamais vu une telle étincelle dans ses yeux. Il les laissa seuls et retourna au boulot. LOIS s'efforçant d'arrêter ses larmes : Viens sortons d'ici. Elle lui prit la main et l'emmena près du Fleuve, ils s'assirent sur une pierre et regardèrent droit devant eux, n'osant pas s'affronter du regard. LOIS rompit le silence : Quand es tu arrivé ? KIEFER : Il y a 20 jours que je te cherche. LOIS incrédule : Mais comment as tu su pour l'Inde ? KIEFER sortit le magasine de son sac : Comme ça. LOIS regarda sa photo en 1ère page sans y croire : Merde ! Ca alors.. KIEFER : Et puis j'ai suivi l'argent, il m'a mené à toi. LOIS : ah oui, l'argent bien sur. Elle se retourna et le regarda droit dans les yeux : Je suis vraiment...heureuse de te voir, c'est une telle surprise ! Vous m'avez bcp manqué et la vie a été difficile ici au début. KIEFER lui prenant le visage dans les mains : Pourquoi tu es partie Lois, on était si heureux et puis tout s'est désagrégé en qqs heures...On aurait pû surmonter tout ça. LOIS baissa les yeux : Avoir tué ces hommes m'a chamboulée plus que je ne voulais me l'avouer...J'ai eu besoin de reconstruire qqchose, de dépenser mon énergie dans qqchose d'honorable, de faire du bien autour de moi et à toi...Je ne faisais que du mal. Quand tu as annulé notre mariage....Et bien, j'ai trouvé la force de repartir et de recommencer ailleurs. KIEFER parla plus fort : Mais Lois quand je t'ai dit ça, j'étais en colère et tu sais pourquoi ! Que tu me quitte, je peux comprendre mais les enfants ?! LOIS d'une voix forte : Je sais...Je sais mais je ne pouvais pas rester, j'avais envie de mourir tu comprend ! Tous les soirs je souhaitais ne jamais me réveiller, je n'avais plus aucune joie de vivre, aucune inspiration. Tout ce que je faisais, c'était de l'autodestruction comme Carlos. J'ai tjs été comme ça mais là, je le sais, tous es souvenirs sont revenus à la surface à ce moment là....J'essaies juste de sauver ma peau Kiefer ! KIEFER fût touché, elle ne s'était jamais confiée à lui, il la serra dans ses bras à nouveau : Ok je suis là maintenant...Tu aurai dû me parler de tout ça...Dans quel hôtel es tu descendu ? LOIS : Je vis à l'hôpital. KIEFER se figeat, elle le sentit : Avec qui ? LOIS franche : Avec le responsable de l'hôpital, c'est lui qui m'a aidée et trouvée ce job.. Elle regarda : Je croyais que je ne te reverrai jamais...Cet homme n'a pas d'importance pour moi, ils n'en ont jamais de toutes façons. KIEFER las : Ok va chercher tes affaires et explique lui que tu t'installes à l'hôtel avec moi. LOIS docile : D'accord.
Si Chris était contrarié par son départ subit, il n'en laissa rien paraître. CHRIS : C est ton mari ? LOIS : Oui enfin...Ex mari, enfin c'est compliqué. Je suis vraiment...désolée. CHRIS : Moi aussi Lois, moi aussi mais ce sont les enfants de l'orphelinat qui vont être le plus déçus. LOIS le regarda fixement : Chris, je te quitte mais je ne quitte pas l'Inde, je me suis engagée dans ce projet, j'irai jusqu'au bout. CHRIS surpris : Tu reste ? Je pensais que ton mari allait vite te sortir de ce taudis ! LOIS sentit ses épaules s'affaisser : Lui aussi doit le penser. Bon faut que j'y aille. Et....tu es un mec vraiment bien, sans le savoir, tu m'as bcp aidée. CHRIS la serra dans ses bras : Toi aussi, tu m'as ouvert les yeux, je crois que j'ai envie de me caser !
Kiefer était descendu dans un magnifique hôtel. A peine arrivée, elle se précipita dans la salle de bains, 8 semaines sans une vraie douche...Ce confort là lui avait manqué !! En sortant, elle s'allongeat près de lui.. KIEFER : Qu est ce que tu comptes faire maintenant ? Est ce que tu vas rentrer avec moi où est ce que je dois tirer définitivement un trait sur toi ? J'ai vraiment besoin de savoir.. LOIS colla son visage face au sien, si proche qu'il pouvait sentir son souffle lui caresser le visage : Les 300 000 USD c'est pour réouvrir un orphelinat. J'en suis tout au début, j'ai des mois de tractations et de refections devant moi avant qu'il soit opérationnel et qu'il puisse tourner sans moi. Je ne rentrerai pas avant ça, c'est...vraiment important moi. KIEFER contrarié par cette réponse : Si tu t'occupais de tes propres enfants d'abord ? LOIS : Si je m'occupais de toi d'abord, c'est sans doute ça ta pensée...Ecoute, je ne peux pas te forcer à m'attendre ni à me comprendre...Quand j'aurai fini ici, je reviendrai et mon amour pour toi sera tjs le même. Ni le temps, ni la distance ni changeront quoique ce soit. KIEFER incrédule : Tu me demande de t'attendre ? Je suis fatigué de t'attendre... LOIS : Alors refais ta vie sans moi...Je ne peux pas renoncer à ce projet, j'ai vécu ce que la plupart des gamines vivent ici, je sais que je peux les aider à s'en sortir.. KIEFER s'emporta et se redressa d'un seul coup : Des gamines malheureuses, y'en a plein LOS ANGELES, tu ne veux pas rentrer, c'est tout ! LOIS resta allongée : Je me suis engagée ici, je leur ait donné de l'espoir...Cest ma décision, tu voulais l'entendre. KIEFER énervé : Bordel Lois quand tu rentreras, tu ne pourras même pas reconnaître Jonas ! LOIS : Il faut croire que je ne suis pas la mère parfaite que tu croyais ! Je serai de retour d'ici 6 à 8 mois. Je ne chercherai pas à te revoir si tu le souhaites, on peut se dire adieu ici et maintenant où tu peux m'attendre. KIEFER la dévisagea longuement : Je pourrai rester ici ? LOIS lui sourit : Qui s'occuperait des enfants ? Jonas est trop petit pour vivre ici...Et puis tu ne peux pas couper de ton boulot aussi longtemps pour vivre ici, tu deviendrai dingue. KIEFER soupira : C est quand je suis loin de toi que je deviens dingue. LOIS l'attira à elle : Reste un peu et reviens me voir quand tu voudras, les visites ne sont pas interdites, tu peux même venir avec les plus grands.. KIEFER l'écrasa de tout son poid et enfouit son visage dans son cou : 8 mois Lois.. LOIS ne répondit pas, elle passa ses 2 mains sous son tee shirt et lui caressa le creux des reins, là ou l'infini avait été tatoué.. Sa peau était moite et exalait l'odeur qu'elle aimait temps. Il releva la tête et sans plus de cérémonie lui ouvrit son peignoir pour caresser son corps doré par le soleil et embrassa chaque cm2 de sa peau. Lois s'abandonna avec volupté et profita de cette trève pleinement. Aucun autre corps ne lui procurait autant de plaisir, dès qu'ils étaient ensemble, tout s'electrisait...Rien de rationnel, c'était juste elle et lui, ils étaient juste fait pour être ensemble..Elle avait rencontré de bien meilleurs amants que lui mais ils ne lui avaient apporté une telle plénitude. |
| | | KS Co-Productrice de Kiefer
Nombre de messages : 1075 Age : 53 Date d'inscription : 08/12/2005
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 5 Avr - 17:20 | |
| Kiefer était descendu dans un magnifique hôtel. A peine arrivée, elle se précipita dans la salle de bains, 8 semaines sans une vraie douche...Ce confort là lui avait manqué !! En sortant, elle s'allongeat près de lui.. KIEFER : Qu est ce que tu comptes faire maintenant ? Est ce que tu vas rentrer avec moi où est ce que je dois tirer définitivement un trait sur toi ? J'ai vraiment besoin de savoir.. LOIS colla son visage face au sien, si proche qu'il pouvait sentir son souffle lui caresser le visage : Les 300 000 USD c'est pour réouvrir un orphelinat. J'en suis tout au début, j'ai des mois de tractations et de refections devant moi avant qu'il soit opérationnel et qu'il puisse tourner sans moi. Je ne rentrerai pas avant ça, c'est...vraiment important moi. KIEFER contrarié par cette réponse : Si tu t'occupais de tes propres enfants d'abord ? LOIS : Si je m'occupais de toi d'abord, c'est sans doute ça ta pensée...Ecoute, je ne peux pas te forcer à m'attendre ni à me comprendre...Quand j'aurai fini ici, je reviendrai et mon amour pour toi sera tjs le même. Ni le temps, ni la distance ni changeront quoique ce soit. KIEFER incrédule : Tu me demande de t'attendre ? Je suis fatigué de t'attendre... LOIS : Alors refais ta vie sans moi...Je ne peux pas renoncer à ce projet, j'ai vécu ce que la plupart des gamines vivent ici, je sais que je peux les aider à s'en sortir.. KIEFER s'emporta et se redressa d'un seul coup : Des gamines malheureuses, y'en a plein LOS ANGELES, tu ne veux pas rentrer, c'est tout ! LOIS resta allongée : Je me suis engagée ici, je leur ait donné de l'espoir...Cest ma décision, tu voulais l'entendre. KIEFER énervé : Bordel Lois quand tu rentreras, tu ne pourras même pas reconnaître Jonas ! LOIS : Il faut croire que je ne suis pas la mère parfaite que tu croyais ! Je serai de retour d'ici 6 à 8 mois. Je ne chercherai pas à te revoir si tu le souhaites, on peut se dire adieu ici et maintenant où tu peux m'attendre. KIEFER la dévisagea longuement : Je pourrai rester ici ? LOIS lui sourit : Qui s'occuperait des enfants ? Jonas est trop petit pour vivre ici...Et puis tu ne peux pas couper de ton boulot aussi longtemps pour vivre ici, tu deviendrai dingue. KIEFER soupira : C est quand je suis loin de toi que je deviens dingue. LOIS l'attira à elle : Reste un peu et reviens me voir quand tu voudras, les visites ne sont pas interdites, tu peux même venir avec les plus grands.. KIEFER l'écrasa de tout son poid et enfouit son visage dans son cou : 8 mois Lois.. LOIS ne répondit pas, elle passa ses 2 mains sous son tee shirt et lui caressa le creux des reins, là ou l'infini avait été tatoué.. Sa peau était moite et exalait l'odeur qu'elle aimait temps. Il releva la tête et sans plus de cérémonie lui ouvrit son peignoir pour caresser son corps doré par le soleil et embrassa chaque cm2 de sa peau. Lois s'abandonna avec volupté et profita de cette trève pleinement. Aucun autre corps ne lui procurait autant de plaisir, dès qu'ils étaient ensemble, tout s'electrisait...Rien de rationnel, c'était juste elle et lui, ils étaient juste fait pour être ensemble..Elle avait rencontré de bien meilleurs amants que lui mais ils ne lui avaient apporté une telle plénitude. Elle s’endormit. Au petit matin quand elle se réveilla elle était seule. Les affaires de Kiefer n’étaient plus là, seul un mot posé à côté du bouquet de fleurs de la chambre « je t’aime. C’est sans toi que je deviens dingue ». Son cœur se serra, sur l’instant elle l’aurait suivi au bout du monde, mais c’est ici qu’elle était désormais engagée, ici qu’elle pourrait faire du bien alors qu’elle lui avait fait tant de mal. Elle réprima ses larmes, jeta en vrac ses quelques affaires dans son sac, ainsi que les savonnettes de l’hôtel et partit pour l’hopital. En arrivant, Chris prenait un pseudo-café à l’ombre d’une toile de tente qui servait de tonnelle. Elle se réfugia dans ses bras sans dire un seul mot. CHRIS : qu’est-ce qui t’arrive ? … LOIS : ne dis rien s’il te plait. Tiens du savon pour les enfants, dit-elle en vidant la poche de son sac. Elle contourna le bâtiment principal de l’hôpital pour se diriger vers l’orphelinat. Elle était à 2 doigts de se mettre à pleurer quand elle le vit dans la vase jusqu’aux genoux, en train de prêter main forte à la réparation du réservoir d’eau … | |
| | | charlie Femme de Kiefer
Nombre de messages : 6465 Age : 51 Date d'inscription : 15/02/2006
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 5 Avr - 17:58 | |
| Elle s’endormit. Au petit matin quand elle se réveilla elle était seule. Les affaires de Kiefer n’étaient plus là, seul un mot posé à côté du bouquet de fleurs de la chambre « je t’aime. C’est sans toi que je deviens dingue ». Son cœur se serra, sur l’instant elle l’aurait suivi au bout du monde, mais c’est ici qu’elle était désormais engagée, ici qu’elle pourrait faire du bien alors qu’elle lui avait fait tant de mal. Elle réprima ses larmes, jeta en vrac ses quelques affaires dans son sac, ainsi que les savonnettes de l’hôtel et partit pour l’hopital. En arrivant, Chris prenait un pseudo-café à l’ombre d’une toile de tente qui servait de tonnelle. Elle se réfugia dans ses bras sans dire un seul mot. CHRIS : qu’est-ce qui t’arrive ? … LOIS : ne dis rien s’il te plait. Tiens du savon pour les enfants, dit-elle en vidant la poche de son sac. Elle contourna le bâtiment principal de l’hôpital pour se diriger vers l’orphelinat. Elle était à 2 doigts de se mettre à pleurer quand elle le vit dans la vase jusqu’aux genoux, en train de prêter main forte à la réparation du réservoir d’eau … Elle décida de lui porter main forte, elle alla chercher une pelle et des bottes, elle arriva à côté de lui. LOIS avec un sourire:On a besoin d'aide? KIEFER avec un sourire forcé: ouais, ça ne sera pas de tord, plus on est plus que le tout va être réparer dans pas long. Kiefer se défoulait en pelletent la boue qui se trouvait dans le réservoir, il en avait besoin, il fallait qu'il prenne une décision, soit tout abandonner pour venir aider Lois et amener les enfant ici ou bien l'oublier pour toujours, couper tout contact avec elle, c'est drastique mais il était tanné de toutjours répetter la même chose aux enfants. De son côté Lois se sentis complètement désorienter en voyant Kiefer travailler aussi fort. Une fois fini, il débarca de cette fameuse vase, alla prendre une douche, si on peut appeller ça une douche.... Il se rabilla et alla se promener sur un petit chemin de terre qui longait un ruisseau, en chemin, il croisa deux jeune jouant de la guitare et chantant devant des enfants de la fain, ces enfants étaient souvent abandonner, le coeur de Kiefer batta de tristesse devant se spectacle qui s'offrait devant lui, il décida de se joindre à eux pour participer un peu à leur bonheur. Ces enfant avait souvent besoin d'amour et de chaleur humaine, besoin qu'on s'occuppe d'eux, le sourire de Kiefer était revenue en voyant ces jeunes sourire au moin un fois dans la journée. Lois nut le temps de se retourner pour voir Kiefer, il était partie comme une éclaire, elle voulait temps lui reparler, lui espliquer....elle emprunta le même chemin de terre que Kiefer avait pris quelques minutes avant, elle attendi sa voix au loin, elle courru et l'apperçu parmis ces jeunes, il avait l'air heureux, elle s'accotta sur un arbre et se mit à pleurer, elle trouva sa beau. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Jeu 5 Avr - 22:59 | |
| Elle s’endormit. Au petit matin quand elle se réveilla elle était seule. Les affaires de Kiefer n’étaient plus là, seul un mot posé à côté du bouquet de fleurs de la chambre « je t’aime. C’est sans toi que je deviens dingue ». Son cœur se serra, sur l’instant elle l’aurait suivi au bout du monde, mais c’est ici qu’elle était désormais engagée, ici qu’elle pourrait faire du bien alors qu’elle lui avait fait tant de mal. Elle réprima ses larmes, jeta en vrac ses quelques affaires dans son sac, ainsi que les savonnettes de l’hôtel et partit pour l’hopital. En arrivant, Chris prenait un pseudo-café à l’ombre d’une toile de tente qui servait de tonnelle. Elle se réfugia dans ses bras sans dire un seul mot. CHRIS : qu’est-ce qui t’arrive ? … LOIS : ne dis rien s’il te plait. Tiens du savon pour les enfants, dit-elle en vidant la poche de son sac. Elle contourna le bâtiment principal de l’hôpital pour se diriger vers l’orphelinat. Elle était à 2 doigts de se mettre à pleurer quand elle le vit dans la vase jusqu’aux genoux, en train de prêter main forte à la réparation du réservoir d’eau … Elle décida de lui porter main forte, elle alla chercher une pelle et des bottes, elle arriva à côté de lui. LOIS avec un sourire:On a besoin d'aide? KIEFER avec un sourire forcé: ouais, ça ne sera pas de tord, plus on est plus que le tout va être réparer dans pas long. Kiefer se défoulait en pelletent la boue qui se trouvait dans le réservoir, il en avait besoin, il fallait qu'il prenne une décision, soit tout abandonner pour venir aider Lois et amener les enfant ici ou bien l'oublier pour toujours, couper tout contact avec elle, c'est drastique mais il était tanné de toutjours répetter la même chose aux enfants. De son côté Lois se sentis complètement désorienter en voyant Kiefer travailler aussi fort. Une fois fini, il débarca de cette fameuse vase, alla prendre une douche, si on peut appeller ça une douche.... Il se rabilla et alla se promener sur un petit chemin de terre qui longait un ruisseau, en chemin, il croisa deux jeune jouant de la guitare et chantant devant des enfants de la fain, ces enfants étaient souvent abandonner, le coeur de Kiefer batta de tristesse devant se spectacle qui s'offrait devant lui, il décida de se joindre à eux pour participer un peu à leur bonheur. Ces enfant avait souvent besoin d'amour et de chaleur humaine, besoin qu'on s'occuppe d'eux, le sourire de Kiefer était revenue en voyant ces jeunes sourire au moin un fois dans la journée. Lois nut le temps de se retourner pour voir Kiefer, il était partie comme une éclaire, elle voulait temps lui reparler, lui espliquer....elle emprunta le même chemin de terre que Kiefer avait pris quelques minutes avant, elle attendi sa voix au loin, elle courru et l'apperçu parmis ces jeunes, il avait l'air heureux, elle s'accotta sur un arbre et se mit à pleurer, elle trouva sa beau.
Elle regarda Kiefer et les jeunes se separer et continuer chacun leur chemin, elle le regarda s'éloigner, sécha ses larmes et retourna à l'orphelinat. Elle lui avait tout dit, c'était à lui de décider. Elle se remit au boulot dès son arrivée, pendant que les hommes volontaires terminaient de s'occuper de la canalisation dehors, elle apprit aux petites filles présentes à preindre les murs. Tâche un peu difficile quand on ne parle pas la même langue mais avec bcp de patience, elle arriva à un résultat ! Une fois la 1ère pièce teminée et sèche, elle les incita à peindre ce qu'elle voulait sur un des pans de murs, elle montrat l'exemple en esquissant une silhouette de petite fille. Les gamines prirent bcp de plaisir à cette activité...Après tout c'était ça le plus important. Après avoir mangé rapidement à l'hôpital avec qqs infirmières, elle retourna travailler, au programme, commande de mobiliers, matériels scolaires, recrutement de personnel, budget.. Les affaires de Kiefer était tjs dans la cour, il finirait bien par revenir...
La nuit était tombée quand Chris frappa à la porte ouverte. CHRIS : Une qui travaille plus que moi ! Tu viens manger ? LOIS lui sourit et s'étira : Non, Kiefer n'est pas encore revenu, je vais l'attendre...Enfin en espérant qu'il revienne cette nuit...Je me demande où il a bien pu passer. CHRIS s'appuya contre le mur : Une des infirmière m'a dit que c'était un acteur célèbre ? LOIS rectifia : Un acteur doué. CHRIS sourit à cette remarque : Donc l'argent...Ca vient de lui. LOIS : Non ça vient de moi. J'ai eu qqs succès artistiques moi aussi. CHRIS surprit : Cela fait 2 mois que l'on se voit tous les jours et tu ne me l'a jamais dit. LOIS haussa les épaules : Tu ne me l'a jamais demandé et puis...Ca n'a pas d'importance. CHRIS : Si tu le dis...La chambre de Klaus est libre si ton amoureux ne revient pas. LOIS lui sourit : Merci Chris.
Kiefer reprit le chemin de l'orphelinat, il avait passé sa journée à flâner. Il avait touché du doigt ce qui maintenait Lois ici. Sa décision était prise.. |
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| Sujet: Re: JEU - FAN-FICTION : KIEFER ET NOUS archives Ven 6 Avr - 8:08 | |
| Elle regarda Kiefer et les jeunes se separer et continuer chacun leur chemin, elle le regarda s'éloigner, sécha ses larmes et retourna à l'orphelinat. Elle lui avait tout dit, c'était à lui de décider. Elle se remit au boulot dès son arrivée, pendant que les hommes volontaires terminaient de s'occuper de la canalisation dehors, elle apprit aux petites filles présentes à preindre les murs. Tâche un peu difficile quand on ne parle pas la même langue mais avec bcp de patience, elle arriva à un résultat ! Une fois la 1ère pièce teminée et sèche, elle les incita à peindre ce qu'elle voulait sur un des pans de murs, elle montrat l'exemple en esquissant une silhouette de petite fille. Les gamines prirent bcp de plaisir à cette activité...Après tout c'était ça le plus important. Après avoir mangé rapidement à l'hôpital avec qqs infirmières, elle retourna travailler, au programme, commande de mobiliers, matériels scolaires, recrutement de personnel, budget.. Les affaires de Kiefer était tjs dans la cour, il finirait bien par revenir...
La nuit était tombée quand Chris frappa à la porte ouverte. CHRIS : Une qui travaille plus que moi ! Tu viens manger ? LOIS lui sourit et s'étira : Non, Kiefer n'est pas encore revenu, je vais l'attendre...Enfin en espérant qu'il revienne cette nuit...Je me demande où il a bien pu passer. CHRIS s'appuya contre le mur : Une des infirmière m'a dit que c'était un acteur célèbre ? LOIS rectifia : Un acteur doué. CHRIS sourit à cette remarque : Donc l'argent...Ca vient de lui. LOIS : Non ça vient de moi. J'ai eu qqs succès artistiques moi aussi. CHRIS surprit : Cela fait 2 mois que l'on se voit tous les jours et tu ne me l'a jamais dit. LOIS haussa les épaules : Tu ne me l'a jamais demandé et puis...Ca n'a pas d'importance. CHRIS : Si tu le dis...La chambre de Klaus est libre si ton amoureux ne revient pas. LOIS lui sourit : Merci Chris.
Kiefer reprit le chemin de l'orphelinat, il avait passé sa journée à flâner. Il avait touché du doigt ce qui maintenait Lois ici. Sa décision était prise ; ils allaient vivre leur vie du moment et quand elle aurait fini ici, elle reviendrait..De toutes façons, il n'arrivait pas à envisager la vie sans elle et il n'était clairement pas le maître du jeu.... Il comptait bien rester qqs jours ici et lui imposer certaines règles, notammet appeler les enfants plus régulièrement. Et puis lui, lui il pourrait revenir...Il était fâché après elle mais suffisament lucide pour savoir qu'il ne l'oublierait pas en 1 an, d'ailleurs il n'en avait pas envie. Quand il arriva à l'orphelinat, le pseudo bureau de Lois était encore allumé, il y entra et la découvrit endormie sur son bureau, sa joue appuyée sur ses avant bras...le stylo encore à la main...Une boufée de tendresse l'envahit totalement.. Il s'approcha d'elle et lui dégagea la nuque de ses cheveux pour pouvoir l'embrasser, elle se réveilla en sursaut et se leva d'un bond, le percutant avec la chaise au passage. Kiefer lança qqs jurons en se tenant le ventre. LOIS se mit à rire, en voyant, soulagée Kiefer dans cette position : Eh ! Ca t'apprendra à me faire peur ! KIEFER : Tu parles ! Je me contentais de t'embrasser... LOIS lui lança son regard expiègle auquel il ne résistait absolument pas : Tu m'embrassais ? Ah je n'ai rien senti...peut être devrais tu recommencer ? Il s'approcha d'elle et l'enlaça, l'embrassant avec force. Elle s'assit sur le bureau et il lui enleva son débardeur et gouta à ses seins. Elle lui enleva son tee shirt, voulant sentir sa peau contre la sienne. Il souleva sa jupe et ils firent l'amour sur ce vieux bureau colonial avec une grand intensité.
Ils se rhabillèrent rapidement et rejoignirent l'hôtel, fatigués, nerveusement...physiquement.. Elle avait accepté toutes ses conditions ; Demain ils allaient lui acheter un téléphone cellulaire et un portable afin de travailler plus vite et mieux. Elle s'installerait à leur hôtel, c'était grand, propre sans être luxueux et puis il avait un accès internet mais ce fût surtout la douche qui incita Lois à accepter !! Bien sur, Elle n'avait plus de rapport sensuels avec Chris. Kiefer était tjs épaté par les liens très forts qu'elle liait avec ses amants, même de passage. Ils restaient tous à ses côtés pour l'aider, par amitié..Il ne savait pas trop !...Lui detestait se retrouver en présence de qqun avec qui il avait couché et pour qui il n'avait pas de sentiment, ça le mettait terriblement mal à l'aise...Lois non...Il irait parler à ce mec pour le sonder un peu...Il resterait jusqu'à la fin de la semaine puis il rentrerait à L.A., un nouveau tournage commençait pour lui.. |
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